Ce cadre de référence présente les fondements, les objectifs et les éléments-clés à prendre en considération quant aux meilleures pratiques en matière de promotion de la santé mentale positive et de prévention en contexte scolaire, en cohérence avec l’approche École en santé et le référent EKIP. Il vise d’abord à soutenir les directions régionales de santé publique dans la mise en œuvre du projet Epanouir et ensuite, à informer l’ensemble des partenaires, dont les milieux scolaires primaires et secondaires, incluant les centres de formation professionnelle et les centres d’éducation des adultes, en priorité, afin d’en développer une vision commune. Il est destiné à tout professionnel ou gestionnaire des réseaux de la santé et des services sociaux, de l’éducation et communautaire qui œuvre en promotion de la santé mentale et en prévention en contexte scolaire. (Résumé de l'éditeur)
Données probantes et prometteuses - Santé mentale
Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.
Pour consulter la veille documentaire sur une thématique du Rrapps ou sur un type d'information particulier (Appels à projet, publications, outils pédagogiques), vous pouvez utiliser les filtres ci-contre.
78% des Français redoutent de vieillir et ce alors même que l’on vieillit plutôt bien en France puisque seuls 8% des plus de 60 ans et 20% des plus de 85 ans sont dépendants. Cette étude invite à changer de regard sur la vieillesse et promouvoir des stratégies d’épanouissement spécifiques aux aînés pour vieillir heureux et construire une société de tous les âges.
La pandémie Covid-19 a un impact négatif majeur sur la santé mentale de la population, objectivé par des enquêtes scientifiques et par les professionnels qui travaillent en première ligne. Une trentaine d'experts et de professionnels de terrain dressent un état des connaissances et analysent les conséquences que la pandémie a sur la santé mentale de l'ensemble de la population. Ils formulent des recommandations pour l'action. Ce numéro spécial questionne en particulier l'éthique et les inégalités sociales et territoriales de santé.
Le document est structuré en trois parties correspondant à 3 étapes : connaître, comprendre, agir. La première partie fait le point sur l’état actuel des connaissances et les concepts de référence concernant la santé mentale des 0-4 ans. La deuxième partie propose de comprendre les liens directs entre les pratiques éducatives, les conditions de vie et le développement psychique du jeune enfant. La troisième partie, est consacrée à la mise en pratique, des savoirs à l’aide des outils, des ressources et des compétences disponibles.
Pour une forte proportion de la population mondiale, la santé mentale et le travail sont étroitement liés. La santé mentale ne se limite pas à l’absence de problèmes de santé mentale. Il s’agit plutôt d’un état de bien-être mental qui permet à chacun de faire face au stress de la vie, de réaliser son potentiel, de bien apprendre et de bien travailler, et de contribuer à sa communauté. Les problèmes de santé mentale surviennent indépendamment de la question de savoir si le travail y a contribué de manière causale. Une mauvaise santé mentale a un effet négatif sur le bien-être et le fonctionnement d’une personne au plan cognitif, comportemental, émotionnel, social et relationnel, sur sa santé physique, ainsi que sur son identité personnelle et son bien-être par rapport au travail. La capacité d’une personne à travailler peut donc être compromise par une réduction de la productivité et des performances, une baisse de la capacité à travailler en toute sécurité ou des difficultés à conserver ou à obtenir un emploi. Le présentéisme (ou baisse de productivité, où se situent les coûts financiers les plus importants), l’absentéisme et la rotation du personnel touchent à la fois les travailleurs et les employeurs et, en retour, l’économie de la société...
Ce rapport démontre l'importance de s'engager en faveur de la santé des enfants. En s'appuyant sur des connaissances scientifiques, il montre pourquoi les thèmes de l'activité physique, de l'alimentation et de la santé psychique sont des piliers essentiels à la santé des enfants. Il est structuré en 8 chapitres : 1) le concept de cadre de vie ; 2) les principes généraux et les méthodes pour promouvoir la santé des enfants ; 3 ) l'égalité des chances et les vulnérabilités ; 4) l'efficacité des interventions précoces ; 5) la promotion de l'activité physique régulière ; 6) la promotion d'une alimentation équilibrée ; 7) la promotion de la santé psychique ; 8) les interactions entre l'alimentation, l'activité physique et la santé psychique. Les auteurs proposent en outre différentes recommandations ainsi que des interventions et approches qui ont fait leurs preuves.
Ce rapport démontre l'importance de s'engager en faveur de la santé des personnes âgées. En s'appuyant sur des connaissances scientifiques, il montre pourquoi les thèmes de l'activité physique, de l'alimentation et de la santé psychique sont des piliers importants pour la santé à un âge avancé et très avancé. Il est structuré en 9 chapitres : 1) la description du groupe cible des personnes âgées ; 2) les principes généraux et les méthodes pour promouvoir la santé chez les personnes âgées ; 3 ) les bénéfices de la promotion de la santé ; 4) l'égalité des chances en matière de santé ; 5) le potentiel du numérique dans la promotion de la santé chez les personnes âgées ; 6) la promotion de l'activité physique ; 7) la promotion d'une alimentation équilibrée ; 8) la promotion de la santé psychique ; 9) les interactions entre l'alimentation, l'activité physique et la santé psychique. Les auteurs proposent en outre différentes recommandations ainsi que des interventions et approches qui ont fait leurs preuves.
Ce rapport démontre l'importance de s'engager en faveur de la santé des adolescents et des jeunes adultes. En s'appuyant sur des connaissances scientifiques, il montre pourquoi les thèmes de l'activité physique, de l'alimentation et de la santé psychique sont des piliers essentiels à la santé des adolescents. Il est structuré en 8 chapitres : 1) la phase de vie de l'adolescence ; 2) les principes généraux et les méthodes pour promouvoir la santé des adolescent-e-s et jeunes adultes ; 3 ) l'égalité des chances et les vulnérabilités ; 4) l'usage des médias numériques ; 5) la promotion de l'activité physique régulière ; 6) la promotion d'une alimentation équilibrée ; 7) la promotion de la santé psychique ; 8) les interactions entre l'alimentation, l'activité physique et la santé psychique. Les auteurs proposent en outre différentes recommandations ainsi que des interventions et approches qui ont fait leurs preuves.
Ce dossier de connaissances propose des informations récentes sur la santé mentale des adolescents. Il s’articule en trois parties : « Comprendre », « Repérer » et « Prévenir ». La première partie fournit des éléments de cadrage et un état des lieux de la santé mentale des jeunes au niveau national et en région Occitanie. La partie « Repérer » présente différents outils de repérage et de diagnostic ainsi que les orientations possibles de prise en charge. La troisième partie fournit des pistes d’orientation et présente des initiatives inspirantes qui permettent de promouvoir une bonne santé mentale auprès de ces jeunes.
L’ampleur de la crise sanitaire liée à la COVID-19 a nécessité l’application de mesures restrictives sans précédent engendrant toute une série de conséquences sociales, psychologiques, économiques, et environnementales, dont une dégradation du bien-être et de la santé mentale de la population générale et, plus particulièrement, de certains groupes spécifiques. Au vu de la distanciation sociale imposée par le confinement, l’utilisation d’outils numériques pour communiquer a explosé, tant dans la sphère privée que professionnelle. Dès lors, l'auteur s'interroge sur le rôle du le numérique en tant qu'outil pour renforcer et promouvoir la santé mentale de la population, mais aussi sur les stratégies à adopter pour développer des actions ayant pour objectif de promouvoir la santé mentale par la voie des médias web. Cette synthèse, destinée aux décideurs politiques et aux professionnels de la santé, contribue à répondre à ces questions à travers une revue de la littérature scientifique et grise. [D'après résumé d'auteur]
Dans cet avis, le Haut conseil de la santé publique (HCSP) identifie les actions à mettre en œuvre pour améliorer la politique de la promotion de la santé mentale et de la prévention des troubles psychiques dans le contexte de l'épidémie de Covid-19 et examine l’évolution des principaux déterminants de santé mentale de la population pendant cette crise sanitaire. Il émet des recommandations supplémentaires aux mesures proposées par le Ministère en charge de la santé en vue d’améliorer la santé mentale de la population française, sur la base d’une analyse des démarches innovantes issues des initiatives territoriales, des interventions à l’étranger (benchmark) et des données probantes en s'inscrivant dans la volonté de réduction des inégalités sociales et territoriales de santé. Les interventions sont structurées selon les populations auxquelles elles s'adressent : adultes en population générale, professionnels de santé, patients Covid-19 et populations en situation de fragilité, enfants, jeunes et personnes âgées.
Cette revue de la littérature porte sur des études qui ont testé les effets des programmes interactifs sur les réseaux sociaux sur la santé des personnes. Les auteurs se sont intéressés à la manière dont les programmes pouvaient affecter les personnes en termes de comportements de santé ; de la santé en général ; de la santé mentale (comme les niveaux de dépression, de stress, d'adaptation) ; et du bien-être.