Cette Étude présente un diagnostic du décalage entre l’ampleur des enjeux et des préoccupations citoyennes autour de l’alimentation et l’ambition des politiques publiques de l’alimentation, par un panorama des politiques publiques d’alimentation durable, saine et accessible à tous. Sur cette base, sont formulées des propositions concrètes sur la forme et le contenu d’une Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat (SNANC) suffisamment ambitieuse pour assurer la mise en oeuvre de la transition alimentaire.
Veille documentaire
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La Santé dans toutes les politiques (SdTP) est un instrument de politique qui exprime une vision globale de la santé et qui soutient des actions intersectorielles coordonnées afin d’améliorer les déterminants sociaux de la santé. Les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux pourraient adopter une politique-cadre axée sur la SdTP pour assurer une prise en compte plus systématique de la santé dans l’ensemble des politiques publiques sous leur juridiction, au-delà des soins de santé. Cet article vise à permettre aux acteurs de santé publique de mieux comprendre la SdTP et à clarifier ce à quoi on peut s’attendre d’une approche axée sur la SdTP dans le contexte politique canadien.
Ces travaux, menés par l'Ansa et le Crédoc entre juin 2021 et mars 2023, mettent en lumière les problématiques qui traversent le territoire et apportent, pour les décideurs institutionnels et les professionnels du secteur, des outils pour mieux y répondre. Ce projet, financé dans le cadre de France Relance et par la Région Ile-de-France, piloté par le GT5 « Accès à l'alimentation » sous l'égide de Madame Cécile Tagliana, Commissaire à la lutte contre la pauvreté, et appuyé par Action contre la faim, a associé de nombreux acteurs institutionnels et associatifs, et de personnes concernées.
La précarité alimentaire est un phénomène complexe et multidimensionnel, au croisement de problématiques économiques, sociales, géographiques et nutritionnelles. Ce caractère multidimensionnel complexifie sa mesure et sa restitution sous une forme simple. Or, objectiver un phénomène à travers des données partagées est une étape importante de sa prise en compte dans le débat public, l’élaboration de politiques ou solutions adaptées. Le premier enjeu du diagnostic est donc de proposer une méthodologie robuste, sur le plan scientifique et statistique, pour décrire la situation du territoire francilien au regard de la précarité alimentaire dans toute sa complexité. En effet, il n’existe pas aujourd’hui de données publiques permettant de rendre compte directement de la précarité alimentaire.
Ce nouveau livre de Ludovic Gadeau, docteur en psychologie clinique et pathologique, interroge les limites de la parentalité positive au regard des enjeux de la parentalité au quotidien et des incidences sur l'enfant. Si l’éducation positive trouve sa place dans l’espace scolaire pour améliorer le bien-être des enfants et leurs compétences psychosociales, ce qui se codifie dans une pratique professionnelle dans le champ pédagogique peut-il être transféré dans la sphère privée et familiale ? Être parent, est-ce un métier, ou bien est-ce d’une autre nature ?
Les premiers résultats de l’étude lancée par le ministère de la Transition énergétique sur le bilan énergétique du télétravail sont publiés : entre 20 et 30 % d’économie d’énergie lors d’une fermeture de site sur une journée. S’inscrivant dans le cadre du plan sobriété, l’étude a été réalisée par l’Ademe et de l’IFPEB (Institut français pour la performance du bâtiment).
La population repérée avec des limitations motrices ou organiques en 2019 par l'indicateur Fish (Faisabilité d'identification des personnes à risque de handicap) est plutôt équilibrée en termes de genre. Elle augmente avec l'âge en cohérence avec la population générale française. Dès lors que sont prises en compte plusieurs années de repérage (à partir des consommations de soins observées de 2012 à 2019 plutôt que sur la seule année 2019), les effectifs des personnes identifiées avec une limitation motrice ou organique en 2019 s'accroissent sans que la structure par sexe et âge de cette population soit modifiée.
Tout le monde s’est déjà senti moins en forme, ne nageant pas dans un bonheur total. Cependant, en France et comme dans la plupart des pays, nous ne sommes pas tous égaux face à ce type de ressenti, et plus généralement face à notre santé mentale. En effet la santé mentale est dépendante de notre statut socio-économique. Généralement, les travaux s’accordent sur le fait que les personnes ayant un bas statut socio-économique (par exemple, les ouvriers) se disent être moins heureux et ont plus de troubles de la santé mentale, comme de l’anxiété, que les personnes ayant un haut statut socio-économique (par exemple, les cadres d’entreprises). Les études présentées ici font la synthèse des connaissances issues de la psychologie sociale sur ces inégalités sociales de santé mentale.
L’analyse de la HAS expose pourquoi tenir compte du sexe et du genre en santé. Elle formule 10 propositions issues de ces constats pour faire de la prise en compte de ces facteurs un levier d’amélioration de la santé des femmes, des hommes, des personnes intersexes et des personnes trans. Elle prend aussi l’engagement de progresser elle-même à ce sujet dans le cadre de ses missions.
En plus de contribuer à la santé et au bien-être et d’avoir un impact positif sur l’environnement, adopter une politique qui mise sur une offre alimentaire saine permet de : • positionner et faire rayonner la municipalité comme proactive en matière de saines habitudes de vie à travers la diffusion de ses initiatives dans les médias sociaux et locaux ; • statuer sur le rôle de la municipalité et définir clairement ses engagements en matière de saines habitudes de vie auprès des citoyen.ne.s ; • se doter d’une ligne directrice pour mieux soutenir ou bonifier les actions déjà déployées par les différents services de la municipalité.
Dans ses travaux, le CESE définit la perte d’autonomie comme une situation dans laquelle se trouve toute personne confrontée à un problème de santé qui lui impose d’être aidée pour l’accomplissement des besoins essentiels de la vie. Par l’implication croissante de proches aidants, de personnels soignants et accompagnants, ou encore par les inégalités qu’elle peut engendrer, cette problématique est donc au cœur d’enjeux sociaux, géographiques, économiques, ou encore sociétaux, qu’il est urgent de prévenir et d’adresser.
L'objectif de cette Stratégie et plan d'action sur la promotion de la santé dans le cadre des Objectifs de développement durable 2019-2030 est de renouveler la promotion de la santé par des actions sociales, politiques et techniques qui s'attaquent aux déterminants sociaux de la santé afin d'améliorer la santé et réduire les inégalités dans le contexte de l'Agenda 2030. Ce document est lié à la Stratégie de l'OPS pour l'accès universel à la santé et la couverture sanitaire universelle et se concentre sur le travail avec tous les niveaux de gouvernement, en particulier le niveau local, pour autonomiser les personnes et les communautés dans leur environnement et territoires. Compte tenu de son importance, l'intersectorialité et la participation sociale sont considérées comme deux axes transversaux tout au long du plan d'action et doivent se refléter dans les activités pour réaliser chaque axe stratégique.