Cette fiche porte sur la première compétence psychosociale (CPS) générale émotionnelle et présente de façon synthétique une compétence psychosociale émotionnelle spécifique : Comprendre les émotions (E1.1). Comprendre les émotions implique de mieux connaître la nature et la fonction des émotions et de développer deux principaux savoirs psychologiques : Savoir 1: Connaître la nature des émotions (composantes, liens avec les cognitions et les comportements, production via les besoins psychologiques et les déclencheurs, divers types) ; Savoir 2: Connaître la fonction des émotions (fonction d'information et fonction d'impulsion pour l'action). Cette compétence spécifique peut être mobilisée lors d'activités CPS. Ainsi, après une partie théorique, des exemples de pratiques sont présentés pour les adultes, les jeunes et les enfants.
Veille documentaire
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Cette fiche porte sur la première compétence psychosociale (CPS) générale cognitive et présente de façon synthétique une compétence psychosociale cognitive spécifique : Renforcer sa pleine attention – à soi (C1.6). Renforcer sa pleine attention – à soi - développe la capacité à percevoir ses pensées, ses émotions, ses envies, ses besoins, ses sensations dans l'ici et maintenant (…). Renforcer sa pleine attention –à soi- nécessite de développer trois principaux savoir-faire psychologiques : Savoir-faire 1: Diriger volontairement son attention sur l'expérience sensible présente ; Savoir-faire 2: Observer et accueillir pleinement l'expérience sensible présente sans la juger ni la modifier ; Savoir-faire 3: Réaliser au quotidien différentes activités formelles et informelles de pleine attention – à soi. Cette compétence spécifique peut être mobilisée lors d'activités CPS. Ainsi, après une partie théorique, des exemples de pratiques sont présentés pour les adultes, les jeunes et les enfants.
Explorer comment les activités physiques, sportives, adaptées ou centrées sur la nature et l’aventure peuvent soutenir le rétablissement, le lien social et le pouvoir d’agir, telle est la perspective de ce numéro Rhizome. Dans les lieux de précarité, de soin ou de handicap, sortir, marcher, courir ou boxer peuvent être perçus, par les personnes concernées comme par les professionnels, à la fois comme des médiations thérapeutiques ou des pratiques favorables à la santé ou, tout simplement, comme des expériences (extra)ordinaires.
Les mobilités actives scolaires renvoient aux modes de déplacements mobilisant la force
musculaire, utilisés par les enfants et les adolescents, pour réaliser les trajets entre le domicile et l’établissement scolaire.
Universelle, la marche est pourtant souvent rangée dans la catégorie des impensés. C’est justement pour la mettre à sa juste place que le Réseau vélo et marche, dans son dossier « Révéler la marche » revient sur la nécessité de planifier la politique piétonne et sur les différents outils à mobiliser pour révéler tout le potentiel de la marche. Documents de planification, hiérarchisation des voies, aménagements, limitation des vitesses, communication, … Le dossier s’appuie sur des exemples et actions portées par des collectivités engagées pour redonner à la marche sa place dans les politiques publiques de mobilité.
Grâce à une meilleure compréhension et à une évaluation plus juste des effets des systèmes alimentaires sur la santé, nous pouvons lutter plus efficacement contre les inégalités dans les systèmes alimentaires. Ce document pratique se penche sur la justice alimentaire comme priorité d’action de la santé publique sur les inégalités dans les systèmes alimentaires.
Depuis leur inscription dans la loi en 2014, les projets alimentaires territoriaux (PAT) sont devenus des outils incontournables pour relocaliser les systèmes alimentaires, renforcer les filières de proximité et construire des politiques alimentaires durables à l’échelle locale. Dans ce mouvement, la recherche publique – et en particulier INRAE – a joué un rôle central, à la fois comme observatrice, accompagnatrice et actrice de terrain. C’est cette richesse d’expériences et de contributions scientifiques que met en lumière le dossier publié par INRAE : « Alimentation et territoires : les scientifiques d’INRAE en appui des projets alimentaires territoriaux » (juillet 2023, coll. Appui aux politiques publiques).
La FAS Bretagne publie un rapport sur le vieillissement, qu’il soit prématuré ou non, des personnes en situation de grande précarité. Trop âgées pour les structures du handicap ; trop jeunes pour les établissements pour personnes âgées, trop pauvres pour assumer les frais d’hébergement, trop isolées pour bénéficier de solidarités familiales et trop éloignées des normes des établissements médico-sociaux pour y être intégrées.
Nous avons utilisé les données mises à disposition par l’Oqali (Observatoire de
l’alimentation, mis en œuvre conjointement par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE)) des secteurs des plats cuisinés frais et surgelés (recueillies en 20202). Ces secteurs rassemblent des plats complets traditionnels (choucroute, moussaka…) et des plats complets désignés par leurs constituants principaux (poisson/légumes/féculents ou viande/légumes), des éléments protéinés seuls tels que des cordons bleus ou des poissons panés ou encore des accompagnements seuls tels que des légumes ou féculents cuisinés. Notre étude s'est exclusivement portée sur les plats complets. Nous avons demandé des données complémentaires à l’Oqali pour l’étude des ingrédients et des allégations.
La Fédération des acteurs de la solidarité (FAS) a mené une enquête, première de cette ampleur, au niveau national auprès des associations agréées PSP, actrices essentielles de l’accompagnement des personnes en situation de prostitution. L’objectif : objectiver les freins d’accès au parcours, les disparités territoriales et les difficultés rencontrées par les associations.
L’objectif de l’enquête est dans un premier temps d’établir une tendance de fond, sans avoir la prétention de produire des données précises, en vue d’alimenter une observation sociale globale. Elle vise à poser un constat des tendances d’évolution de la féminisation de la précarité entre 2020 et 2023, ainsi que de la prise en charge actuelle des femmes en situation de rue. Il s’agit d’une première étape, dans une volonté de poursuivre les travaux d’observation sur le sujet des femmes à la rue en questionnant, dans un second volet, les dispositifs de la veille sociale, afin de permettre une analyse complète du sujet, vue par les acteur·rice·s de terrain.
Cette enquête constitue une suite de l’enquête menée par la FAS en fin d’année 2024 intitulée Femmes et sans abrisme : Quelles réalités ? Le phénomène vu par les SIAO. Elle s’appuie cette fois-ci sur les dispositifs dits de veille sociale, à savoir les accueils de jour et les maraudes. En effet, ces dispositifs ont pour mission de rencontrer et d’accueillir les personnes en situation de grande précarité et de rue, notamment les femmes sans-abri. Aussi, toute structure implantée sur le territoire national métropolitain et ultramarin dont la mission est d’aller vers les personnes vivant à la rue, ou les accueillant ont été ciblées par cette enquête. Les structures bénévoles sont également concernées.