La loi n° 2022-140 du 7 février 2022 relative à la protection des enfants vient d'être promulguée le 8 février 2022.
Elle comprend quarante deux articles visant à améliorer le quotidien des enfants protégés, mieux les protéger contre les violences, améliorer les garanties procédurales en matière d'assistance éducative, améliorer l'exercice du métier d'assistant familial, renforcer la politique de protection maternelle et infantile, mieux piloter la protection de l'enfance ou encore mieux protéger les mineurs non accompagnés.
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Cette stratégie nationale 2022-2025 de prévention des infections et de l'antibiorésistance en santé humaine s’inscrit dans la continuité de la feuille de route interministérielle 2016 pour la maîtrise de l’antibiorésistance et du programme national d’actions pour la prévention des infections associées aux soins (PROPIAS) de 2015. Elle répond à trois objectifs principaux. D'abord, il s'agit de prévenir les infections courantes, comme les bronchites, les gastro-entérites, grâce à des gestes du quotidien et à la vaccination. Ensuite, elle vise à réduire le risque d’infections associées aux soins, notamment les infections nosocomiales. Et enfin il importe de préserver l’efficacité des antibiotiques, pour que tous les Français puissent continuer à guérir des infections bactériennes fréquentes.
La loi n° 2022-140 du 7 février 2022 relative à la protection des enfants vient d'être promulguée le 8 février 2022.
Elle comprend quarante deux articles visant à améliorer le quotidien des enfants protégés, mieux les protéger contre les violences, améliorer les garanties procédurales en matière d'assistance éducative, améliorer l'exercice du métier d'assistant familial, renforcer la politique de protection maternelle et infantile, mieux piloter la protection de l'enfance ou encore mieux protéger les mineurs non accompagnés.
Depuis 2015, l’établissement et service d’aide par le travail (Esat) de l’Adasms (Association dervoise d’action sociale et médico-sociale), basé à Puellemontier en Haute-Marne et dirigé par Béatrice Égu, a adapté la formation « Devenir acteur Prap » pour la déployer auprès de ses travailleurs en situation de handicap mental. Une démarche qui a ensuite été adoptée dans d’autres Esat de la région Grand-Est et vers d’autres entreprises plus classiques.
En mai 2021, plus de 120 chercheurs, acteurs et décideurs ont partagé leurs connaissances et leurs pratiques pour favoriser l'accès à la vaccination contre la Covid-19 des personnes en situation de précarité due à l'exclusion liée au logement (sans-abri, bidonvilles, aires d'accueil, personnes hébergées). Ce groupe de Mobilisation des connaissances (MobCo), piloté par Santé publique France, a permis de définir collectivement des pistes d'action.
L’objectif de cette revue de la littérature est d’analyser en particulier l’exposition et les effets, sur les comportements et les perceptions des jeunes, des messages en faveur de l’alcool sur les réseaux sociaux, incluant ceux diffusés par l’industrie, les influenceurs et les internautes. Peu de travaux ont synthétisé l’impact de ces contenus protéiformes : publicités classiques, pages officielles de marques, publications diffusées par des tiers (bars, influenceurs, etc.), contenus pro-alcool générés par les utilisateurs (commentaires, photos, vidéos, etc.).
Ce document fait état des recommandations émises à ce jour et des rôles et des mesures qui concernent la santé publique pour assurer un avenir juste et durable où tout le monde a la possibilité de vivre une vie bien remplie.
Cette étude a pour objectifs de dresser un état des connaissances de la santé mentale des jeunes ligériens âgés de 11 à 18 ans avant la crise sanitaire Covid-19 et de mesurer l’impact de cette crise sur la souffrance psychique et le recours aux soins de cette population. Les données d’enquêtes en population, ainsi que celles de l’Observatoire régional des urgences (ORU) et du Système national des données de santé (SNDS) ont été mobilisées et mises en perspective par des points de vue de professionnels de terrain (pédopsychiatres, urgentistes, médecins généralistes, professionnels des maisons des adolescents) exerçant dans la région.
Destiné aux praticien·ne·s qui travaillent avec des personnes âgées, ce guide vous permettra de mieux comprendre les enjeux qui touchent les personnes âgées LGBT et d’orienter votre travail pour qu’elles se sentent en sécurité dans les services et institutions.
Le livret a été élaboré par un groupe de travail associant la CNAF, des parents et les principaux acteurs du secteur de la petite enfance. Il est organisé en 4 parties : Une explication sur l’utilisation du livret et sur les étapes qui suivront après qu’il soit complété ; des grilles de questions organisées suivant l’âge de l’enfant. Par exemple « Tenir la tête droite » à 6 mois, « Faire des coucou » à 12, empiler 5 cubes à 24, ou encore « copier un cercle » à 36 mois ; de l’information sur les troubles du neuro-développement et des conseils sur la façon d’accompagner les parents pour les professionnels de la petite enfance ; des liens vers les structures et services ressources
Les conseils locaux de santé mentale (CLSM) sont des instances de concertation et de coordination autour de la santé mentale à l’échelle locale. Si tous les acteurs de chaque territoire couvert par un CLSM sont invités à y participer, l’engagement des élus locaux, des représentants de la psychiatrie publique, des usagers et des aidants constitue une condition sine qua none pour pouvoir se définir comme CLSM.
Pour poser cette condition, le Centre collaborateur de l’OMS de Lille (CCOMS), qui a contribué à la définition des CLSM, s’est appuyé sur les recommandations internationales en matière de santé mentale. Ces dernières invitent à penser que la collaboration de ces différents acteurs – élus locaux, représentants de la psychiatrie publique, usagers et aidants – augmente les chances que les actions et politiques locales mises en œuvre dans le champ de la santé mentale soient efficaces.
Cette revue de la littérature rapporte les différentes mesures de lutte contre les îlots de chaleur urbains pouvant être mises en œuvre au Québec par les décideurs et gestionnaires immobiliers publics et privés, les acteurs municipaux, les organismes à but non lucratif et autres concepteurs de projets afin d’assurer des milieux de vie sains et confortables aux citoyens.