L’indicateur “Espèces exotiques envahissantes en Bourgogne-Franche-Comté” présente une synthèse des espèces exotiques envahissantes en Bourgogne-Franche-Comté et leur évolution depuis 70 ans. Cet indicateur se base sur l'indicateur national évolution du nombre moyen d'espèces exotiques envahissantes par département métropolitain (ONB, 2021).
Veille documentaire
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
Et pour ne rien manquer, n'hésitez pas à vous inscrire à la newsletter quotidienne La Veille du jour en vous inscrivant depuis cette page.
L’objectif de cette note est d’apporter des éléments sur l’impact économique d’une politique de virage domiciliaire. Cette note, qui se veut un premier apport du HCFEA, propose une estimation du coût de prise en charge des personnes en perte d’autonomie (principalement bénéficiaires de l’APA) et de sa répartition entre dépenses publiques et reste-à-charge (RAC) pour les personnes selon leur lieu de vie, mais aussi selon la configuration de leur ménage (en couple ou non) et leur niveau de revenu, pour différents GIR et niveaux de salaire horaire des intervenants à domicile.
Issu d'une capitalisation auprès des acteurs et actrices de dynamiques territoriales de santé, ce dossier ressources propose un état des lieux de la thématique et présente plusieurs actions inspirantes.
<ul class=diigo-annotations >
</ul>
Cette synthèse des données vise à informer les décideurs et les intervenants des changements survenus dans l’alimentation d’adultes québécois et canadiens durant la pandémie et à orienter les travaux subséquents en promotion de la saine alimentation dans le contexte actuel et pour les années à venir. Pour environ la moitié des thématiques étudiées, les données étaient insuffisamment nombreuses pour en tirer des conclusions. Pour l’autre moitié des thématiques recensées, bien que les données représentent des perceptions autorapportées de changement et qu’elles soient en majorité basées sur des échantillons non probabilistes de petite envergure et/ou non représentatifs, certains constats ont pu être tirés.
L’université est pleinement engagée pour soutenir la qualité de vie de ses étudiants. Depuis le début de la crise sanitaire, un guide des aides est régulièrement actualisé pour répondre à leurs besoins et les orienter dans leurs démarches.
Cet article critique le modèle intégrationniste de participation des usagers et usagères dans les institutions sociosanitaires au Québec et en France, caractérisé par un rapport extractiviste aux savoirs issus du vécu de ces personnes ainsi que par une vision individualiste, dépolitisée et non conflictuelle de la participation. L’exemple des groupes d’entendeurs et entendeuses de voix suggère un autre rapport aux savoirs expérientiels, que le modèle de l’écologie des savoirs proposé par Boaventura de Sousa Santos permet de mieux comprendre. L’article s’appuie la littérature scientifique ainsi que sur des données empiriques issues des recherches réalisées par l’auteur depuis 2009 dans le champ de la santé mentale.
Les quartiers prioritaires de la politique de la ville sont marqués par de fortes inégalités sociales et territoriales de santé, et la crise sanitaire que nous traversons est venue réaffirmer les vulnérabilités de ces quartiers, et des populations qui les habitent. Inégalités d’accès aux soins, prévalence de certaines pathologies, expositions à de nombreuses nuisances et pollutions… sont autant d’indicateurs qui le confirment. Au regard de ces enjeux, il apparaît donc que les urbanistes et les professionnels du renouvellement urbain ont un rôle à jouer dans la lutte contre ces inégalités de santé. Cette table ronde a réuni ainsi experts de santé publique, du renouvellement urbain et de la politique de la ville, afin d’explorer les solutions que l’urbanisme peut apporter pour répondre aux enjeux de santé dans les quartiers prioritaires.
En 2019, l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT/CGET) a lancé, en partenariat avec l’APVF, une Fabrique Prospective sur le thème : « Petites villes et santé environnementale : quelles attentes, quelles mutations et quelles ressources ? ».
Le Plan santé au travail 4 (PST 4) a été présenté mardi 14 décembre 2021 en Conseil national d’orientation des conditions de Travail (CNOCT), sous la présidence du Secrétaire d’État en charge des retraites et de la santé au travail, Laurent Pietraszewski. Le plan présenté ce jour pour la période 2021-2025 est le fruit d’un travail de co-construction entre l’État, les partenaires sociaux, la Sécurité sociale et tous les organismes de prévention. Il conforte le renversement de perspective opéré à partir du troisième Plan Santé au Travail en accordant la priorité à la prévention sur la réparation, dans la continuité de l’Accord National Interprofessionnel du 9 décembre 2020 et de la loi du 2 août 2021 renforçant la prévention de la santé au travail.
La Stratégie nationale de santé sexuelle comporte 6 axes qui se déclinent en 95 mesures : 1. Investir dans la promotion en santé sexuelle, en particulier en direction des jeunes, dans une approche globale et positive ; 2. Améliorer le parcours de santé en matière d'infections sexuellement transmissibles ; 3. Améliorer la santé reproductive ; 4. Répondre aux besoins spécifiques des populations les plus vulnérables ; 5. Promouvoir la recherche, les connaissances et l'innovation en santé sexuelle ; et 6. Prendre en compte les spécificités de l'outre-mer pour mettre en oeuvre la stratégie santé sexuelle.
L'objectif de cette revue Cochrane était de déterminer si les interventions basées sur la pleine conscience (ou MBI, de l’anglais Mindfulness-based intervention), c'est-à-dire les interventions impliquant une formation à la méditation de pleine conscience, améliorent les symptômes dus aux troubles liés à l’usage de substances (TLS) (en lien avec la prise d'alcool et/ou de drogues, à l'exclusion des troubles liés au tabagisme).
Nous ne sommes pas certains des programmes ou des traitements les plus efficaces pour aider les personnes à éviter de prendre du poids à long terme (jusqu'à 12 mois) lorsqu'elles arrêtent de fumer, ni de la façon dont ils influencent le succès de l'arrêt du tabac. En effet, les données probantes montrent des effets variés et peu clairs sur la prise de poids. D'autres études devraient continuer à examiner comment limiter la prise de poids chez les personnes qui arrêtent de fumer. Les futures études sur les nouveaux médicaments destinés à aider les personnes à arrêter de fumer devraient également mesurer l'évolution de leur poids.