Plusieurs facteurs compliquent la scolarité des enfants en situation de handicap et/ou ayant une mesure de protection de l’enfance : les attendus de l’école souvent en décalage avec les besoins et les capacités de chacun, des ruptures dans leurs parcours de vie et un risque de déscolarisation accru, etc. La HAS publie donc des recommandations de bonne pratique (RBPP) pour permettre aux professionnels des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ESSMS) des secteurs du handicap et de la protection de l’enfance de contribuer par leurs actions à accompagner et soutenir les parcours scolaires de ces enfants.
Veille documentaire
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La seconde étude est issue de l’enquête ÉPICOV, menée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) et la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) depuis le début de la crise sanitaire. Cette enquête porte sur 135000 personnes représentatives de la population âgées de 15 ans ou plus en 2020 et vise à mesurer les liens entre les conditions de vie et l’exposition au virus. Dans la perspective de comprendre les effets de la crise sanitaire sur les parcours de vie des jeunes, les auteurs ont mené par ailleurs, pour le compte de l'INJEP, 48 entretiens auprès de jeunes femmes et hommes d'horizons sociaux divers. L'exploitation de l'enquête ÉPICOV, ainsi que son prolongement qualitatif, révèlent l'hétérogénéité des conditions de vie de la jeunesse et démontre comment la crise sanitaire a exacerbé les inégalités au sein d'une même classe d'âge.
Ce guide est le fruit d'un travail collaboratif et participatif entre professionnels, universitaires, personnes malades et aidants. Il présente les principales interventions non médicamenteuses (INM) à proposer aux personnes vivant avec la maladie d’Alzheimer, telles que des programmes d’activités physiques adaptées, d’art-thérapie, d’interventions assistées par l’animal, d’interventions basées sur la danse, de musicothérapie, de réhabilitation cognitive, de thérapie par la réminiscence et de thérapie par la stimulation cognitive.
Si la crise liée au coronavirus a déjà fait couler beaucoup d’encre et fait l’objet de nombreux débats (politiques, médiatiques, scientifiques, familiaux, amicaux, sur les réseaux sociaux…) pour autant, que peut-elle raconter sur notre quotidien et sur nos sociétés ? Au fil des semaines confinées, cette situation a révélé la profondeur des traits inégalitaires de nos sociétés. Elle a également défié la vision individuelle et médicale de la santé, en forçant à prendre en compte les déterminants sociaux de la santé susceptibles de jouer dans l’augmentation ou la diminution de la contamination et propagation du virus voire dans la distribution d’autres effets socio-sanitaires de l’épidémie.
On a beaucoup entendu parler « des jeunes » durant la crise sanitaire qui a frappé notre pays. Pendant que d’aucuns les accusaient de négliger les précautions sanitaires et de participer à la propagation du virus, de nombreux professionnels travaillant avec ces publics n’ont pas tardé à pointer le manque de communication adaptée à leur égard et se sont alarmés des conséquences désastreuses de la réduction drastique de leur vie sociale et académique sur leur santé mentale. Marie-Marie van der Rest, chargée de communication chez Univers santé, a accepté de revenir avec nous sur la campagne Kot’Vid Friendly, à destination du public étudiant, née dans cette période si particulière.
À partir des données démographiques de 40 pays à « longévité élevée » *, Carole Bonnet, Emmanuelle Cambois, et Roméo Fontaine, chercheurs à l’Ined, éclairent les dynamiques actuelles en matière de santé, d’évolutions familiales et conjugales ou de transferts entre générations, et appréhendent les défis tels que ceux liés aux financements des pensions de retraite et du soutien à l’autonomie.
Ce projet vise à comprendre les facteurs qui influencent la venue des jeunes aux Consultations jeunes consommateurs Avancées et en améliorer l’efficacité.
Les pratiques professionnelles ETP évoluent. Lors de l’expérimentation des maladies neurodégénératives (MND) 2015–2019 en Occitanie, l’accompagnement des équipes a reposé sur un environnement mettant à disposition des ressources, en facilitant leur usage dans un processus réflexif devant favoriser le développement individuel et collectif des pratiques. L’objectif de cette étude est de caractériser l’évolution des pratiques professionnelles.
L’Institut national du cancer publie une édition unique d’un magazine dédié à la prévention des cancers : chiffres clés, conseils pratiques, repères de consommation et avis d’experts pour aider chacun d’entre nous dans l’adoption de ces gestes au quotidien pour prendre soin de notre santé.
Ce numéro présente dix-sept articles utilisant des données et des enquêtes conduites dans quatre continents et une vingtaine de pays, tous sur les thèmes du « chez-soi » et des soins aux personnes âgées.
En 2020, 222 000 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été enregistrées en France, ce qui représente une baisse d’environ 4 % par rapport à 2019, principalement observée en métropole. La pandémie de Covid-19 et les mesures prises pour limiter sa diffusion ont eu un impact sur les conceptions durant le premier confinement, entraînant la diminution des naissances observées en 2020, et aussi celle des IVG.
Chez les personnes âgées très sédentaires, l’augmentation du temps passé à pratiquer une activité physique modérée à vigoureuse (vélo, marche rapide ou natation) est bénéfique pour la prévention du risque cardiovasculaire, mais seulement si elle s’accompagne d’une réduction du temps passé assis. C’est ce que révèle une étude menée par des chercheurs Inserm qui ont exploré la dépendance entre les niveaux d’activité, de sédentarité et le risque cardiovasculaire chez plus de 3 000 personnes.