Publié conjointement par la Fondation européenne d'études progressistes et la Fondation Jean Jaurès, ce rapport vise à alerter sur les violences dont les femmes en situation de handicap sont victimes, et soumettre des recommandations pour une meilleure prise en compte de leurs besoins.
Veille documentaire
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
Et pour ne rien manquer, n'hésitez pas à vous inscrire à la newsletter quotidienne La Veille du jour en vous inscrivant depuis cette page.
La revue Swaps est publiée par l'association Pistes (Promotion de l'information
scientifique, thérapeutique, épidémiologique sur le sida). Ce numéro propose un dossier alcool à l'occasion des trente ans de la loi qui encadre la publicité en faveur de l'alcool. La réduction des risques, le poids des lobbys, les stratégie des industriels accompagnent dans ce dossier un entretien avec Claude Évin.
La revue Swaps est publiée par l'association Pistes (Promotion de l'information
scientifique, thérapeutique, épidémiologique sur le sida). Ce numéro propose un dossier sur le crack en Île-de-France. Il aborde la question de la réduction des risques, expose une étude ethongraphique sur les territoires du crack à Paris, et fait un retour d'expérience sur la prise en charge des mineurs non-accompagnés.
L'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) publie un rapport qui évalue l’impact sanitaire et économique de la consommation nocive d’alcool et des effets sanitaires et économiques de cinq politiques de lutte contre la consommation nocive d’alcool en France.
Cet article porte sur le dispositif institutionnel d’éducation à la santé. Dans un quartier populaire de l’est lillois en voie de gentrification, il met en lumière la tension qui existe entre la « santéisation » des consommations alimentaires et des conduites corporelles et les usages sociaux des populations précarisées dont on souhaiterait qu’elles agissent différemment pour leur bien-être. Cette tension, qui est au cœur de ce que l’on peut qualifier de « gouvernementalité des corps » ou de « biopolitique contemporaine » est analysée à travers ses ressorts, les résistances qu’elle engendre mais aussi les rapports de domination qu’elle (re)produit.
L'observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) propose ce tableau de bord des indicateurs relatifs au tabac et au tabagisme en France, à la demande de la MILDECA. L'objectif est là la fois de rassembler les chiffres L'objectif est de synthétiser les chiffres les plus récents et de les rendre publics dans un délai rapide. Le tableau de bord du deuxième trimestre 2021 vient de paraître.
Le dispositif Coup de Pouce existe depuis 2015, il a été créé à l’initiative du CAMSP de Montbrison porté par l’APAJH Loire, dans le cadre d’un dispositif de « Prévention de dépistage de suivi des troubles du développement et de déficiences pour les enfants de 0 à 6 ans afin d’améliorer le repérage et l’orientation des enfants ayant ces problématiques ». Cette action est financée par l’ARS. Il s’agit d’une équipe pluridisciplinaire mobile (psychomotricienne, éducateur, médecin, orthophoniste, assistante sociale) basée et exerçant pour la grande majorité au CAMSP, qui se déplace à la demande des crèches et des écoles, avec accord parental quand les professionnels éducatifs et de la petite enfance repèrent des problématiques diverses ayant trait au développement des enfants afin d’observer l’enfant dans son milieu de vie et proposer des orientations adéquates. L’action vise donc à améliorer le repérage de situations problématiques et à faciliter les orientations mais aussi à renforcer les compétences des professionnels éducatifs dans le repérage et dans l’accompagnement des enfants ayant des besoins spécifiques. Suite à plusieurs années de financement l’ARS a souhaité évaluer ce dispositif.
Cette revue de la littérature porte sur des études qui ont testé les effets des programmes interactifs sur les réseaux sociaux sur la santé des personnes. Les auteurs se sont intéressés à la manière dont les programmes pouvaient affecter les personnes :- les comportements de santé (tels que le tabagisme, la consommation d'alcool, l'allaitement, les régimes alimentaires, l'activité physique, la recherche et l'utilisation des services de santé) ; - la santé (comme la forme physique, la fonction pulmonaire, les épisodes d'asthme) ; - la santé mentale (comme les niveaux de dépression, de stress, d'adaptation) ; - le bien-être ; et- si les personnes ont signalé des effets indésirables liés aux programmes interactifs sur les réseaux sociaux.
- L’accessibilité universelle est une approche inclusive qui prend en compte les différents besoins et les conditions de vie des individus. Elle vise notamment une utilisation équitable de l’environnement bâti. Ainsi, elle permet à toute personne de réaliser des activités de façon autonome et d’obtenir des résultats équivalents. L’aménagement du territoire et l’environnement bâti influencent l’accès aux ressources, la participation sociale et les habitudes de vie, lesquels contribuent au maintien d’une bonne santé physique et mentale. La conception d’environnements universellement accessibles permet de réduire les inégalités sociales de santé et de favoriser le vieillissement en santé, car elle rend les aménagements inclusifs, sécuritaires et confortables pour l’ensemble de la population.
<p class=
En 2018, le ministère des Solidarités et de la Santé et le secrétariat d’Etat chargé des personnes handicapées ont missionné la Haute Autorité de Santé (HAS) pour mener une enquête en vue de recueillir l’expérience et la satisfaction des résidents en EHPAD et des personnes en situation de handicap faisant l’objet d’un accompagnement par un établissement ou un service. La HAS a testé le questionnaire et les modes de recueil à l’aide d’une étude pilote menée début 2020 dans 9 EHPAD et 18 structures du secteur du handicap. L’objectif principal est d’évaluer la faisabilité et les conditions de déploiement national d’une enquête visant à mesurer la satisfaction des personnes accompagnées. Suite à cette enquête pilote, la HAS préconise un recueil de satisfaction en face à face pour les résidents en EHPAD. A l’inverse, l’usage du téléphone et d’internet sera privilégié pour les usagers d’ESAT.
Si le passé éclaire le présent, existe-t-il sur le plan historique et social des représentations de l’alcoolisme associées à la maladie/stigmate qui peuvent nous aider à mieux saisir ce phénomène ? Quels sont les acteurs principaux qui ont permis de valider l’équation d’alcoolisme à maladie ? Quelle place occupe le lien social dans ce processus d’étiquetage ? Le but de cet article est de réfléchir et d’analyser la tendance sociale du recours à la stigmatisation de la condition d’alcoolique comme étant une maladie. En premier lieu, nous procéderons à un essai de définition du concept de stigmatisation. En deuxième lieu, nous nous limiterons aux phases importantes ayant associé historiquement les modes de consommation à la déviance, voire à la stigmatisation. En troisième lieu, nous illustrerons des exemples en Amérique du Nord, en Europe et auprès des premières nations (Amérindiens). En guise de conclusion, nous considérerons le facteur du lien social comme une composante majeure dans la saisie de ce phénomène complexe.
La théorie présentée dans cet article vise à expliquer pourquoi de nombreuses personnes ne parviennent pas à transformer leur intention d’être physiquement actif en actions. Les principaux modèles de la motivation humaine indiquent que les processus cognitifs et affectifs sont des déterminants essentiels des comportements de santé, tels que l’activité physique. Cependant, des résultats récents suggèrent qu’un autre processus, l’attrait automatique pour la minimisation de l’effort pourrait permettre de mieux comprendre l’écart entre l’intention d’être actif physiquement et l’engagement réel dans l’activité physique.