L’objectif de ce projet soutenu par la CNSA était de construire un programme de recherche interrogeant la façon dont les gérontotechnologies ou les habitats adaptés pouvaient permettre aux personnes âgées d’éviter une entrée en institution, ou du moins de choisir le lieu de leur fin de vie. Pour ce faire, un consortium constitué d’acteurs issus du monde de la recherche en santé et en sciences humaines, du monde de l’innovation, de bailleurs sociaux et des représentants des personnes âgées a été formé et s’est réuni à plusieurs reprises. Ses réflexions ont été nourries par les expériences de chacun de ses membres, des visites de terrain et une revue de la littérature scientifique internationale.
Veille documentaire
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
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Promouvoir l’activité physique dans les territoires est un dossier de connaissances appartenant à la collection D-CoDé Santé. Il a été réalisé dans une perspective d’aide à la décision en santé publique et en promotion de la santé.
En raison de leur popularité et de leur attrait dans la population en général, les technologies numériques sont susceptibles d’apporter une contribution particulière aux interventions de promotion des saines habitudes de vie. La stratégie d’intervention examinée dans le présent document consiste à utiliser les technologies numériques dans le cadre d’une intervention de promotion d’un mode de vie physiquement actif, en particulier les applications mobiles, les jeux vidéo actifs et les sites Internet.
Cette enquête vise, de façon générale, à mieux comprendre les enjeux du groupe « Je ne fume plus ! #jnfp » dans la démarche d’arrêt du tabac de ses membres. Il s’agit également de réaliser cet état des lieux directement après la fin du Mois sans Tabac (enquête réalisée début décembre), puisque nous sommes partenaires de ce dispositif national mis en place par Santé Publique France.
Dans le cadre de la campagne de vaccination contre la Covid-19, la Direction générale de la santé (DGS) a saisi le 29 janvier 2021 la Haute Autorité de Santé (HAS) afin de de recueillir son avis sur les évolutions des compétences en matière de vaccination des pharmaciens, des sages-femmes et des infirmiers en tenant compte des caractéristiques des différents type de vaccins.
Afin d’ajuster la stratégie de priorisation au fur et à mesure de l’acquisition des connaissances, la HAS a procédé à l’actualisation de la revue de la littérature des facteurs de risque de formes graves et de décès associés à la Covid-19 ainsi que des facteurs de risque d’ex-position lui permettant de fonder les choix de personnes à vacciner en priorité compte tenu de leur risque.
L’étude a pour objectif d’évaluer l’impact de la crise sanitaire jusqu’au mois de novembre 2020 en France sur la santé mentale des étudiants au travers de divers indicateurs : détresse psychologique, soutien social, solitude, symptômes dépressifs et symptômes anxieux. Elle se base sur les données recueillies dans le cadre de l’enquête longitudinale COVER portant plus largement sur les facteurs de risque et les comportements des étudiants de Rennes face à l’épidémie de Covid-19.
A l’occasion de la 148e session du Conseil exécutif de l’OMS organisée du 18 au 26 janvier 2021, le directeur général de l’OMS a présenté un rapport sur la préparation et la riposte en santé mentale à la pandémie du COVID-19. Le rapport comprend une liste de recommandations actualisées, visant à réduire au minimum les conséquences de la pandémie sur la santé mentale.
Les inégalités sociales de santé (ISS) sont définies comme « toute relation entre la santé et l’appartenance à une catégorie sociale » (Inpes, 2010). En général, l'état de santé sera d'autant moins bon que l'on se trouve dans une catégorie sociale défavorisée, cette distribution se faisant de façon graduée tout au long de la hiérarchie sociale. Ces inégalités concernent toute la population et ne se réduisent pas à une opposition entre les personnes les plus défavorisées et les autres. Elles s’accompagnent d’inégalités territoriales reflets des disparités socioéconomiques des territoires, mais également des disparités dans l’offre et l’accessibilité locale de services sanitaires, sociaux et médico-sociaux. [résumé auteur]
Dans ce numéro de la revue Sciences et Actions Sociales, est interrogé l’impact des nouvelles formes d’alimentation sur l’action sociale. Plus précisément, il s'agit d'étudier des outils de compréhension des changements alimentaires identitaires et environnementaux qui traversent aujourd’hui la société et affectent les modes de consommation des populations les plus démunies. À partir de l’analyse de recherches empiriques, des pistes de réflexion sont élaborées pour une meilleure prise en compte de ces changements dans le cadre de l’intervention sociale.
La première phase de confinement de 2020 semble avoir été l'occasion d'une réflexion sur les modes de vie et de changement dans les pratiques quotidiennes. A travers les processus d'immersion, il s'agit ici d'étudier l'impact du confinement sur les pratiques alimentaires durables. L'analyse menée sur trois collectes de données permet de montrer des profils d'évolution des pratiques alimentaires. Notamment, le confinement a généré une alimentation plus durable pour 30% des répondants, essentiellement du fait d'une augmentation des achats de produits locaux et de saison.