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YAPAKA.BE

Fourmillant de possibilités pour relier le corps, la tête et le cœur, le plein air nourrit toutes les sphères du développement en maturation. Dans la nature, l’enfant s’engage tout entier. Le corps en mouvement, à l’écoute de ses sensations et de ses émotions, il vit des expériences riches et variées qui contribuent à son épanouissement. L’apprentissage dehors et le jeu libre en nature apportent des bénéfices tant sur le plan cognitif que sur les plans affectif, émotionnel, langagier, moteur ou encore social.

Ainsi, l’éducation en plein air favorise une vision globale de l’enfant. Or cette vision holistique est parfois affaiblie par les pédagogies classiques qui ont tendance à envisager l’enfant dimension par dimension. Bon nombre d’enfants et d’enseignants ne se retrouvent pourtant plus dans cette représentation de l’élève comme une tête qui assimile des savoirs sur un corps immobile dans une classe bien rangée et silencieuse. En outre, la pédagogie du dehors est transversale puisqu’elle décloisonne et permet de mettre en lien les différentes matières approchées. Elle convient à tous les enfants, notamment à ceux qui sont en difficulté dans un système d’enseignement qui met la priorité sur le cognitif et les savoirs au détriment du sensoriel, du moteur et de l’émotionnel. La pédagogie du dehors privilégie l’educare, pratique qui rassemble à la fois les dimensions liées aux apprentissages et les dimensions affectives et du soin, particulièrement prégnantes chez les plus jeunes. En favorisant l’expression des intelligences multiples et le déploiement des compétences singulières de chacun, la pédagogie du dehors pourrait contribuer à la lutte contre le décrochage scolaire et l’orientation parfois trop rapide dans l’enseignement spécialisé.

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ALTERRE BFC - REPERES 2024 ; 58 : 48 p.

Dans ce numéro inédit de Repères, Alterre a choisi de raconter les transitions sociaux-écologiques de ce territoire par le prisme de l’expérimentation avec certains exemples marquants de ces initiatives locales, des rencontres inspirantes, des mutations en cours qui permettent d’envisager le territoire de demain.

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CEREMA.FR

Les défis et solutions pour adapter les territoires au changement climatique. Il met en avant huit clés essentielles pour l'adaptation, telles que l'aménagement de l'espace public face aux vagues de chaleur, la résilience des infrastructures de transport, et l'anticipation des risques d'inondation. Le document souligne l'importance de l'action locale et de l'engagement des citoyens pour minimiser les impacts environnementaux et améliorer la qualité de vie. Il propose également des études de cas et des ressources pour aider les élus à mettre en œuvre des stratégies d'adaptation efficaces.

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CCNE-ETHIQUE.FR

Les avancées techniques et scientifiques dans le domaine de la santé ont conduit à des progrès majeurs. Ces améliorations ont permis de guérir des personnes qui mourraient autrefois de leur pathologie, d’optimiser leur prise en charge et d’améliorer leur espérance ainsi que leur qualité de vie. Toutefois, ces progrès ne sont pas sans conséquences : ils transforment profondément notre rapport à la maladie et peuvent paradoxalement créer ou accentuer des situations de vulnérabilité. En effet, si ces avancées permettent de vivre avec des maladies chroniques et/ou les séquelles
d’accidents, elles peuvent également entraîner une complexification des parcours de
soins et de vie, notamment par la chronicisation ou la superposition de plusieurs pathologies, parfois associées à une altération de l’indépendance des personnes voire
de leur autonomie de décision. Ces avancées, indissociables des progrès de la médecine, soulèvent donc des interrogations quant à leurs limites qui constituent véritablement l’un des paradoxes du progrès médical Ainsi, dans cet avis, le CCNE propose une réflexion éthique sur la responsabilité de la médecine face à ces évolutions et le rôle de la société face à ces défis.

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COUR DES COMPTES

L’année 2024 a été marquée par l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris et par la promotion de l’activité physique et sportive en grande cause nationale. La dépense publique totale en faveur du sport était estimée en 2022 à 15,8 Md€. Elle est portée quasiment à parts égales par l’État (7,6 Md€, dont 6,3 Md€ relevant des ministères chargés de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur pour lesquels les 15-25 ans sont les bénéficiaires directs) et par les collectivités territoriales (8,2 Md€, essentiellement issus du bloc communal dont les jeunes profitent prioritairement compte tenu notamment de leur fort engagement associatif). Selon Eurostat, la dépense publique française en faveur du sport est la plus élevée de l’Union Européenne (UE) en valeur absolue. Elle représente 0,6 % du produit intérieur brut, contre 0,4 % en moyenne pour les pays membres de l’UE.

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COUR DES COMPTES

Les jeunes constituent un public sensible aux risques liés à la consommation d’alcool et de drogues illicites. Leur cerveau, qui n’atteint sa pleine maturité qu’à l’âge de 25 ans, est particulièrement vulnérable aux conduites addictives, surtout dès 12 ans, âge des premières expérimentations, voire des hospitalisations.

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COUR DES COMPTES.FR

Période de développement et de transition vers l’âge adulte, l’adolescence constitue parfois une phase de questionnement et de vulnérabilité qui nécessite un accompagnement adapté. Structures d’accueil intervenant dans le domaine sanitaire et social créées progressivement depuis le début des années 2000 pour répondre à ce besoin, les maisons des adolescents (MDA) accueillent, écoutent et orientent les jeunes de 11 à 21, voire 25 ans, leurs familles et les professionnels qui les accompagnent. En 2024, on en comptait 123 en activité. Financées principalement par l’assurance maladie, elles interviennent pour la plupart à l’échelle départementale

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COUR DES COMPTES.FR

En France, en 2023, près de 397 000 mineurs et jeunes majeurs en danger, faute de protection familiale suffisante, font l’objet d’une mesure de protection dans le cadre de l’aide sociale à l’enfance (ASE). 221 000 d’entre eux sont accueillis et hébergés, dont près de 31 900 jeunes majeurs1. Les parcours des enfants accueillis par l’ASE sont multiples mais présentent des traits communs et notamment des trajectoires marquées par des épreuves de vie et des ruptures douloureuses. Au sein des départements, qui assurent leur prise en charge, les services de l’aide sociale à l’enfance ont ainsi bien souvent la tâche difficile de se substituer dans la durée à la protection et à l’autorité parentales.

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ESPACE DE REFLEXION ETHIQUE BFC

Les avancées scientifiques et technologiques en médecine ont permis des progrès considérables, améliorant l’espérance et la qualité de vie des patients. Cependant, ces avancées ne sont pas sans conséquences. Elles transforment profondément notre rapport à la maladie et peuvent, paradoxalement, générer ou accentuer des situations de vulnérabilité. La complexification des parcours de soins, l’inégalité d’accès aux traitements et les limites du système de soins et médico-social exposent certaines populations à des formes accrues de fragilité. Face à ces défis, le C.C.N.E. consacre son Avis n°148 à une réflexion approfondie sur l’éthique du progrès médical et la nécessité de garantir une médecine plus humaine, plus juste et respectueuse des patients.

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ETUDES ET RESULTATS 2025 ; n°1332 : 8 p.

Fin 2022, 321 500 personnes sont accompagnées dans des établissements et services médicosociaux pour adultes handicapés. Entre 2018 et 2022, 6 100 personnes supplémentaires sont accompagnées, dont 87 % dans les services. Parmi les adultes accompagnés dans ces structures, 60 % sont des hommes et 12 % sont âgés de 60 ans ou plus, une part en hausse depuis 2006 (+9 points). Les durées d’accompagnement et les âges d’entrée et de sortie varient fortement selon le type de structure : les établissements ou services d’aide par le travail (Esat) accompagnent plus tôt mais aussi plus longtemps ; les établissements d’accueil médicalisés et les maisons d’accueil spécialisées (MAS) accompagnent plus tardivement et moins longtemps. 52 % des adultes accompagnés ont une déficience principale intellectuelle, dont 8 % sous une forme sévère. 46 % des personnes accompagnées (hors Esat) ont besoin d’une aide pour faire leur toilette et 37 % des personnes ne savent pas lire. [Résumé d'auteur]

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PETITS FRERES DES PAUVRES

Dans l’imaginaire collectif, les banlieues sont automatiquement associées à la jeunesse. Pourtant, ces quartiers vieillissent : la part des personnes de plus de 60 ans dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPPV), est la seule en hausse constante depuis les années 90 et elle représente désormais plus de 18 % des habitants de ces territoires. Face à cette réalité éloignée du bruit médiatique et ignorée des politiques publiques, les Petits Frères des Pauvres ont recueilli la parole des aînés vivant dans les quartiers populaires. L’objectif est de remettre sur le devant de la scène une population oubliée et dont le sort semble n’inquiéter personne. Précarité, isolement, mobilité, santé, adaptation des logements… autant de sujets sur lesquels ces hommes et femmes témoignent, exprimant à la fois leurs difficultés et leurs espoirs.

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CRIPS IDF

Les jeunes sont parfois amenés à se questionner sur leur genre, l’expression de celui-ci ou leur orientation amoureuse et sexuelle. Les professionnels de proximité sont essentiels pour les guider vers les ressources qui les aideront à se construire.