Le projet « Précarité et addiction : accompagner les conduites addictives pour l’insertion globale des personnes », financé par le Fonds de Lutte Contre les Addictions, a visé à transformer les organisations et les pratiques professionnelles de 44 établissements du secteur de l’AHI-L en collaboration étroite avec les acteurs spécialisés du secteur de l’addictologie. Entre 2022 et 2024, il a été co-porté par la FAS Nationale, les FAS Grand-Est, Ile-de-France, Nouvelle-Aquitaine et Occitanie et la Fédération Addiction.
Veille documentaire
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Après 18 mois de travail, la Fédération des acteurs de la solidarité, en partenariat avec l’Agence Nouvelle des Solidarités Actives, publie le rapport final de sa recherche action sur le dispositif du Contrat d’Engagement Jeune, volet Jeune en Rupture (CEJ JR).
La Délégation interministérielle à la prévention et à la lutte contre la pauvreté (DIPLP) présente son rapport 2024, soulignant les initiatives et les défis rencontrés dans la lutte contre la pauvreté. En 2022, 9,1 millions de personnes vivaient sous le seuil de pauvreté en France, représentant 14,4 % de la population. Le rapport met en avant des actions concrètes telles que les petits déjeuners gratuits à l'école, le programme MALIN pour la nutrition infantile, et le Pass colo pour les enfants de familles modestes. Le Pacte des solidarités, lancé en 2023, vise à soutenir les classes moyennes inférieures et les salariés modestes, avec un focus sur les jeunes, les familles monoparentales et les travailleurs pauvres. Le rapport insiste sur la nécessité d'une approche territoriale et collaborative, impliquant l'État, les collectivités, les associations et les entreprises.
Dans le cadre des formations destinées aux professionnels, il n’est pas rare que des émotions comme la joie, la tristesse ou la colère s’expriment. Elles sont parfois perçues comme socialement « déplacées ». Pourtant, elles émergent souvent de manière naturelle. Cette fiche repère se propose d’esquisser des premiers éléments de réponse à ces questionnements, en s’appuyant sur des repères théoriques et sur les retours d’expériences de l’équipe de formatrices et de formateurs de Promotion Santé ARA.
La santé mentale des enfants et des adolescents continue de se dégrader en France. Cette majoration des détresses psychiques et du mal-être des enfants et adolescents n'est pas une fatalité et les réponses à leur apporter sont multiples.
Comment leur offrir une prise en charge adaptée et un meilleur accès à l'accompagnement psychothérapeutique, éducatif et social, recommandé en première intention par les autorités de santé en France comme à l'international ? Comment mieux prévenir et réduire les facteurs sociaux et environnementaux de la souffrance psychique des enfants, tout en garantissant leur épanouissement et le respect de leurs droits ?
Dans ce nouveau rapport, le conseil de l'enfance et de l'adolescence du HCFEA prolonge ses travaux sur le sujet, déjà abordé en particulier dans le rapport : « La traversée adolescente des années collège » publié en 2021, le rapport 2023 « Quand les enfants vont mal, comment les aider » et le séminaire public qui l'a suivi, et la publication en 2024 d'un avis qui a renouvelé l'alerte.
Le profil sur le cancer par pays identifie les forces, les faiblesses et les domaines d’action spécifiques de chacun des 27 États membres de l’UE, de l’Islande et de la Norvège, afin d’orienter les investissements et les interventions aux niveaux européen, national et régional dans le cadre du plan “Vaincre le cancer en Europe”. Le profil sur le cancer fournit une synthèse des points suivants : la charge nationale du cancer, les facteurs de risque du cancer (en mettant l’accent sur les facteurs de risque liés au comportement et à l’environnement), les programmes de détection précoce, les performances en matière de soins oncologiques (en mettant l’accent sur l’accessibilité, la qualité des soins, les coûts et la qualité de vie des patients).
Les technologies numériques sont en train de remodeler nos vies, entraînant des effets significatifs sur notre bien-être, aussi bien au niveau personnel que sociétal. Alors que ces technologies sont de plus en plus intégrées dans notre vie quotidienne, il est crucial de sensibiliser à leurs répercussions positives et négatives, qui sont passées en revue dans le présent document. Si les innovations telles que l'intelligence artificielle dans les soins de santé et les dispositifs d'assistance renforcent l'autonomie des individus et améliorent l'accès aux services médicaux, elles présentent également des risques tels que les problèmes de santé mentale, la désinformation et les atteintes à la vie privée. La sensibilisation aux risques associés à la technologie numérique aide les individus à prendre des décisions plus éclairées et plus sûres. Dans le même temps, l'autonomisation va au-delà de la simple sensibilisation ; elle implique de donner aux utilisateurs le contrôle de leurs expériences numériques, en les dotant des compétences nécessaires pour mettre la technologie au service de l'éducation, de l'emploi et de l'épanouissement personnel. Enfin, une utilisation responsable du numérique est essentielle pour protéger la confidentialité des données, soutenir les valeurs démocratiques et respecter les normes éthiques. Si les technologies numériques ont le pouvoir d'uniformiser les règles du jeu, elles peuvent aussi aggraver les inégalités existantes si l'accès et les compétences sont inégalement répartis. Il est tout aussi important de combler la fracture numérique par des solutions inclusives adaptées. Il est donc essentiel de comprendre la relation entre l'utilisation des technologies et le bien-être, mais des recherches plus approfondies sont nécessaires pour saisir pleinement cette dynamique.
Commanditée par l’Agence régionale de la santé (ARS) Auvergne-Rhône-Alpes en partenariat avec les Conseils Départementaux et réalisée par le Centre régional d’études d'actions et d'informations en faveur des personnes en situation de vulnérabilité (CREAI) Auvergne-Rhône-Alpes, cette étude met en avant les dispositifs déployés en région Auvergne-Rhône-Alpes pour répondre aux besoins spécifiques des enfants décrits comme « doublement vulnérables », mis en œuvre ou en cours de développement sur la région, financés exclusivement par l’ARS ou de façon conjointe avec le Conseil départemental ou la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). Afin d’appréhender les spécificités des projets existants, sept dispositifs ont participé à des séances d’animation collectives. Elle permet de faire connaître la diversité des dispositifs installés ou en cours de développement dans la région Auvergne Rhône-Alpes, mais également les enjeux afférents à l’accompagnement de ces jeunes, afin de prévenir les risques de ruptures de parcours et offrir des réponses adaptées à leurs besoins multiples. Cette publication est complétée par un annuaire des dispositifs ASE-Handicap financés ou co-financés par l’ARS Auvergne-Rhône-Alpes téléchargeable au lien suivant : https://www.creai-ara.org/wp-content/uploads/2025/01/ANNUAIRE.pdf
En France, l’accueil, l’hébergement et l’intégration des étrangers relèvent de l’État, sous la supervision de la Direction générale des étrangers en France (DGEF) et de l’Office français d’immigration et d’intégration (Ofii). Toutefois, ces missions sont principalement mises en œuvre par des associations financées par ces organismes. Entre 2019 et 2023, une enquête commandée par le Sénat a examiné les dispositifs d’accompagnement et leur financement. Elle met en évidence le rôle essentiel des associations, dont les financements ont fortement augmenté (+23 %), atteignant 2,3 milliards d’euros. Les crédits dédiés à l’accompagnement des demandeurs d’asile et des réfugiés hébergés ont progressé de 45,5 %, tout comme le coût unitaire des places d’hébergement et du Contrat d’intégration républicaine (CIR). L’enquête souligne plusieurs failles : une définition imprécise des prestations d’accompagnement, un manque de coordination entre acteurs, notamment dans l’intégration, et un contrôle inégal des associations. Si l’Ofii applique des audits rigoureux sur certains dispositifs, ceux liés à l’hébergement restent peu encadrés. Des réformes sont en cours, comme le programme Agir pour l’intégration des réfugiés et l’obligation, dès 2026, d’un niveau de langue certifié pour l’obtention d’une carte de séjour.
Ce dossier est l’occasion de publier les actes d’un colloque organisé en partenariat avec l’école des Hautes études en Santé Publique (EHESP). Celui-ci a été organisé 1er février 2024, soit peu de temps avant l’adoption de la loi n° 2024-317 du 8 avril 2024 portant mesures pour bâtir la société du bien vieillir et de l’autonomie. Cette journée ambitionnait de proposer un état des lieux et des perspectives sur les actions de promotion en France. Furent ainsi abordés la définition du bien vieillir, le parcours de vie des personnes, les enjeux territoriaux du vieillissement de la population, les problématiques de l’aménagement de l’environnement des aînés ainsi que leur santé mentale. Les organisateurs se sont enfin saisis des questions juridiques en traitant des droits des personnes âgées au travers principalement du sujet de la maltraitance.
Le Baromètre de la précarité étudiante de la FAGE (Fédération des associations générales étudiantes) est une enquête réalisée auprès des bénéficiaires des AGORAé, épiceries sociales et solidaires étudiantes de la FAGE, mettant en lumière la situation de cette population, touchée de plein fouet par une précarité grandissante.
Évaluer et comparer la manière dont le soutien social (SS) sert de médiateur pour l'association entre la littératie et les résultats en matière de santé, et la manière dont la littératie en santé agit en tant que médiateur pour l'association entre le soutien social et les résultats en matière de santé.