Veille documentaire - Nutrition

Des chercheurs ont étudié les moyens les plus efficaces pour faire baisser la consommation de viande de la population, sans contrainte. L’objectif est de rendre les habitudes alimentaires moins nuisibles pour les émissions carbone et la biodiversité.

Chaque personne gaspille en moyenne 30 kg d’aliments par an. Au sein des foyers, la lutte contre le gaspillage alimentaire peut être appréhendée de diverses façons, avec parfois des chocs entre générations.

Date limite de dépôt de dossier : 7 avril 2025. Ce label « Ville Active et Sportive » récompense les initiatives et politiques des communes en faveur du développement de l’activité physique et sportive pour toutes et tous. Il apporte une reconnaissance à leur engagement volontariste, ainsi qu’à l’énergie déployée par les élus en charge du sport, leurs équipes et les acteurs du sport sur le terrain.

Le Food Transect est une démarche d’enquête et de questionnement sur l’alimentation et l’agriculture dans un quartier. En se penchant sur leur vécu et celui d’habitant.es lors d’une balade, les personnes enquêtent et réfléchissent aux problématiques et changements possibles en terme d’alimentation sur un territoire.

La sédentarité apparaît comme une réalité répandue chez les jeunes, notamment en lien avec l’utilisation excessive des technologies. Afin de faire face à ce phénomène qui semble de plus en plus présent en raison du changement des habitudes de vie des jeunes, il devient crucial de considérer des interventions pédagogiques qui jouent sur le temps actif en classe, en plus des périodes d’éducation physique. En effet, cela pourrait non seulement encourager un mode de vie actif, mais également augmenter l’engagement des élèves dans leurs apprentissages

Le CDES et Pluricité ont accompagné l’Observavoire des Métiers du Sport et la CPNEF Sport dans la réalisation d’une étude d’impact social, sociétal et économique du sport. Cette étude adopte une approche scientifique rigoureuse pour analyser l’impact global du sport et de l’activité physique, en s’appuyant sur une synthèse approfondie des connaissances issues de la littérature académique, des enquêtes empiriques et des évaluations d’impact.

La distribution de produits frais associée à une action éducative vise à promouvoir, auprès des élèves bénéficiaires, des comportements alimentaires plus sains et à améliorer leur connaissance sur les produits et les filières agricoles et agroalimentaires.

L'objectif de ce programme est d'éveiller le goût des enfants et des adolescents et de leur faire intégrer la notion de « bien manger » en stimulant leur curiosité et la découverte de produits qu’ils n’ont pas ou peu l’habitude de consommer.

Date limite de dépôt de dossier : 28 février 2025. Dans le cadre du programme européen « Lait et Fruits à l’école », des appels à projets (AAP) sont lancés par FranceAgriMer pour la mise en œuvre de mesures éducatives d’accompagnement des distributions de produits auprès des élèves bénéficiaires d’une part, et, d’autre part, la mise en œuvre d’actions d’information ou de publicité relatives à la déclinaison française du programme européen.

Les aliments dits ultratransformés font partie de l’offre alimentaire mais suscitent des préoccupations pour la santé. Or, l’ultratransformation est un concept qui reste encore à étayer scientifiquement. Ce constat étant posé, l’Anses s’est penchée sur les études disponibles sur le sujet. Son expertise identifie des signaux suggérant un lien entre la consommation de tels aliments et un risque plus élevé de développer des maladies chroniques. L’enjeu, à présent, est d’identifier les mécanismes qui sous-tendent ces risques. Parmi les pistes à explorer, l’Agence recommande de s’intéresser aux effets des nouvelles substances qui peuvent se former lors de la transformation des aliments. Elle invite par ailleurs à ne pas négliger les autres leviers d’action pour améliorer l’alimentation de la population.

Outil en ligne pour comparer l'empreinte carbone des aliments.

La moitié des fruits cultivés en France comporte au moins un pesticide potentiellement dangereux. Derrière les enjeux de transparence sur ces produits et leur utilisation, on retrouve des obstacles de nature légale, administrative, technique et sociale. Des voies d’amélioration sont toutefois possibles, du champ jusqu’à l’assiette, pour le riverain d’exploitation agricole comme pour le consommateur.