La borréliose de Lyme (BL) est la maladie vectorielle transmise par les tiques la plus fréquente en France. En 2016, un plan national de lutte contre les maladies transmises par les tiques a été lancé par le ministère de la Santé, incluant l’amélioration de la prévention contre les piqûres de tiques. L’étude analyse la connaissance de la population française sur la BL et la prévention contre les piqûres de tiques à partir du Baromètre santé 2019, enquête téléphonique menée auprès d’un échantillon probabiliste de personnes âgées de 18-85 ans résidant en France métropolitaine. Les données ont été comparées aux résultats du Baromètre 2016.
Veille documentaire - Santé environnement
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Agriculture, jardin thérapeutique, marche, intervention de plein air... Ce numéro de Rhizome thématise différentes activités en lien avec la nature. Dans un contexte où les indices d’une crise écologique majeure se font jour, les contributions discutent notre rapport à notre environnement et à la nature. La lecture de ce numéro nous invite alors à porter une attention toute particulière à la terre, situer nos possibilités d’agir – cliniques, politiques, sociales – et à interroger les effets bénéfiques sur notre santé d’une vie en harmonie avec les éléments naturels.
Si on se fie aux études sur l’udeskole (concept scandinave signifiant « hors de l’école »), enseigner les contenus disciplinaires à l’extérieur augmente la pratique de l’activité physique tout en étant une bonne pratique pédagogique. L’udeskole est défini par des activités éducatives régulières et obligatoires dans des environnements naturels et culturels comme des forêts, des parcs, des communautés locales, des usines et des fermes [3]. Sous l’impulsion de ce mouvement déclenché au milieu du XXe siècle, les pratiques d’enseignement à l’extérieur gagnent maintenant en popularité sur plusieurs continents.
Dans le cadre de l’appel à projet « Coin de verdure pour la pluie » de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse, la Ville d’Aix-en-Provence et le CPIE du Pays d’Aix se sont associés pour expérimenter une action de désimperméabilisation des cours de 2 groupes scolaires de la Ville.
Un urbanisme favorable à la santé (UFS) promeut une démarche de santé globale et la positionne comme facteur essentiel à l’attractivité du territoire, tout en luttant contre les inégalités de santé. Il s’agit d’aborder les questions d’urbanisme et d’aménagement selon une approche systémique et positive de la santé. Ce concept a été initié par le réseau des villes santé de l’OMS Europe en 1987, comme étant « des pratiques d’aménagement qui tendent à promouvoir la santé et le bien-être des populations tout en respectant les 3 piliers du développement durable ».
Une étude établit pour la première fois l’impact sur le neurodéveloppement des enfants d’un mélange de perturbateurs endocriniens très répandus dans la population.
Ce petit insecte ennemi envahit progressivement les villes de la Nouvelle-Aquitaine, en remontant du sud vers le nord. Sa présence accrue induit un problème de santé publique. S’il a déjà piqué une personne malade, il peut retransmettre des maladies tropicales telles que la dengue, le chikungunya ou le zika. Comment les collectivités locales peuvent-elles lutter à l’échelle de leur territoire ? L’Agence Régionale de Santé Nouvelle-Aquitaine a missionné Graine Nouvelle-Aquitaine afin d’élaborer une enquête pour connaître les besoins des collectivités.
Les inégalités sociales de santé sont reflétées en matière de nutrition, avec un continuum dans la distribution des comportements alimentaires, les populations plus vulnérables ayant des comportements alimentaires globalement moins favorables à la santé. La consommation de fruits et légumes en particulier montre des disparités importantes entre les groupes sociaux, et peut être considérée comme un marqueur social. Les politiques publiques, en se focalisant sur l’information nutritionnelle, peuvent contribuer à l’aggravation de ces inégalités. Il est donc essentiel d’accompagner l’information des populations par des mesures en faveur d’un environnement par défaut favorable à la santé, pour rendre évident et accessible un choix « sain ».
Le Conseil scientifique COVID-19, dont la mission est d’éclairer les autorités dans la gestion de la présente crise à l’aune des données scientifiques, a souhaité partager dans un exercice inédit ses réflexions sur un concept qu’il lui apparait urgent de développer afin d’introduire une organisation multisectorielle de la santé : le concept « One Health » ou « Une seule santé » : la crise pandémique nous engage à collectivement mettre en oeuvre des changements institutionnels, des activités de recherches transdisciplinaires, des actions concrètes sur le terrain en s’appuyant sur le tissu social, une formation repensée et une éducation de tous - y compris de nos décideurs - afin d’être mieux préparés aux futures émergences infectieuses à travers une approche One Health.
L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE), le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) portent la définition opérationnelle d’Une seule santé de leur groupe consultatif, le Groupe d’experts de haut niveau « Une seule santé » (OHHLEP) , dont les membres représentent un large éventail de disciplines scientifiques et de secteurs liés aux politiques pertinentes pour Une santé du monde entier. Les quatre organisations travaillent ensemble pour intégrer One Health afin d’être mieux préparées à prévenir, prévoir, détecter et répondre aux menaces pour la santé mondiale et promouvoir le développement durable.
Date limite de dépôt de dossier : 28 mars 2022. La Région Bourgogne Franche-Comté organise depuis 2020 son « Festival des solutions écologiques ». Cet événement populaire encourage associations, élus, entrepreneurs et citoyens, tous acteurs de cette transition sur le territoire à présenter et partager leurs initiatives et projets avec le grand public afin d’illustrer le champ des possibles et d’inciter au passage à l’action.
Aujourd’hui plus personne ne doute de notre surproduction de déchets et de son impact sur l’environnement. Pour autant, notre production de déchets ménagers et assimilés n’a quasiment pas baissé depuis dix ans… Comment les collectivités peuvent-elles inciter à moins jeter et à mieux trier ? Pourquoi certains s’engagent quand d’autres ne font rien ? Cette fiche reprend les enseignements tirés de la psychologie sociale et des retours d’expérience.