Ces environnements alimentaires malsains favorisent une mauvaise alimentation, pauvre en nutriments, et contribuent à l'augmentation du surpoids et de l'obésité chez les enfants et les adolescents, et ce, même dans des pays qui luttent encore contre la dénutrition chez les enfants.
Veille documentaire - Nutrition
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Craquez-vous devant les petites frimousses coiffées de toques de cuisinier, vêtues d’un tablier, fouet à la main ? Au-delà des clichés mignons, cuisiner avec de jeunes enfants regorge de possibilités d’apprentissage. Pourquoi ne pas en profiter pour réaliser des ateliers de cuisine à la fois ludiques et pédagogiques, alignés avec le programme éducatif Accueillir la petite enfance et le cadre de référence Gazelle et Potiron du ministère de la Famille du Québec ? Aperçu d’une approche qui fait son chemin dans les milieux de la petite enfance de la province.
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Depuis leur introduction dans l’article L-111-2-2 du code rural et de la pêche maritime en 2014, les Projets alimentaires territoriaux (PAT) ont l'ambition de fédérer les différents acteurs d'un territoire autour de la question de l'alimentation, contribuant ainsi à la prise en compte des dimensions sociales, environnementales, économiques et de santé de ce territoire. Les projets qui répondent à ces objectifs peuvent être reconnus par le ministère en charge de l’agriculture et de l'alimentation, et le porteur peut utiliser la marque et le logo associé.
Comment et pourquoi faire du sport un véritable outil pour améliorer le bien-être psychologique des individus ? Avec une dégradation de l'état général de santé mentale de la population, accélérée depuis la crise sanitaire, la question est devenue un enjeu majeur de santé publique. La santé mentale a d'ailleurs été désignée Grande Cause Nationale en 2025. Or le sport reste largement sous-exploité pour servir cette cause, alors même qu'il permet au mieux de soigner, sinon de réduire les troubles psychologiques.
À travers trois nouvelles études présentées ce 10 septembre, l'Ademe confirme l'impact réel de la marche, du vélo et même du covoiturage sur la décarbonation des mobilités. L'agence de la transition écologique insiste en outre sur les multiples vertus des deux premiers modes de déplacement, au bénéfice du commerce local, de la santé et de l'économie en général.
L’école s’est longtemps construite autour d’une dualité entre le corps et l’esprit. Or l’activité physique bénéficie aux performances cognitives, nous dit la recherche, et la sédentarité a des effets néfastes à long terme sur le bien-être des jeunes. Comment changer la donne dans les établissements ?
Cet article explore la question de savoir si l'activité physique peut améliorer le bien-être au travail pour les personnes atteintes de déficience intellectuelle travaillant en Établissements et Services d’Aide par le Travail (ESAT). Il souligne que le travail est crucial pour l'autonomie et l'intégration sociale, mais que les personnes en situation de handicap, notamment celles avec une déficience intellectuelle, rencontrent des obstacles significatifs à l'emploi. Le texte met en évidence l'importance du bien-être au travail, souvent mesuré par la satisfaction professionnelle, et examine comment des facteurs externes à l'environnement de travail, tels que l'activité physique, peuvent influencer positivement la récupération et le détachement du travail, éléments essentiels pour réduire le stress et le burn-out. L'article conclut sur la nécessité de recherches supplémentaires pour confirmer ces effets bénéfiques et développer des interventions adaptées à cette population spécifique, souvent confrontée à l'inactivité physique.
Êtes-vous de celles et ceux qui rêvent que l’éducation alimentaire fasse un jour partie intégrante du programme scolaire ? Saviez-vous que plusieurs initiatives à vocation pédagogique existent déjà en milieu scolaire primaire, dont un projet d’ateliers culinaires qui roule depuis plus de 20 ans ? Conçus par des expert·es en enseignement et en nutrition et arrimés au Programme de formation de l’école québécoise et à l’approche École en santé, ces ateliers ciblent quatre compétences pour améliorer la littératie alimentaire des élèves de 5 à 12 ans.
La SNSS 2025 - 2030 fixe une feuille de route ambitieuse, articulée autour 12 mesures concrètes, pour lever les freins à la pratique sportive et accompagner chaque Français quel que soit son âge, son état de santé ou ses conditions de vie.
L’ouvrage présente 34 initiatives portées par des associations, tiers-lieux, collectivités et collectifs agricoles, illustrant la variété des pratiques de démocratie alimentaire, de l’épicerie participative au maraîchage intensif, en passant par des dispositifs d’accès à l’alimentation pour les publics vulnérables. Ce panorama invite à penser la mutualisation, la coopération inter-acteurs et la valorisation des expériences locales pour renforcer la résilience alimentaire sur les territoires.
La précarité alimentaire est devenue plus visible depuis la crise sanitaire du Covid-19 et la période d’inflation qui a suivi : par exemple, les banques alimentaires ont recensé une hausse de 9 % de la demande en 20221 et elles ont vu la proportion d’étudiants parmi leurs bénéficiaires augmenter significativement2 . Ce phénomène n'a pas été temporaire : sur une période plus longue, le nombre de personnes accompagnées par la Croix Rouge française a ainsi augmenté de 14 % entre 2021 et 2024. Les précédentes études du CRÉDOC ont montré qu’en France, selon les années, entre 10 % et 16 % de la population déclarent qu’il leur arrive « parfois » ou « souvent » de ne pas avoir assez à manger. D’autres indicateurs peuvent nous aider à cerner les contours de la précarité alimentaire, notamment à travers des approches par les attitudes, telles que le sentiment de restriction ou la peur à l’idée de manquer d’aliments, voire par des comportements et des stratégies d’adaptation dans sa consommation alimentaire. Cette nouvelle investigation du CRÉDOC montre ainsi que 7 % de la population sont contraints, chaque semaine, de réduire leur nombre de repas par manque de moyens financiers. Faute d’un budget suffisant, 9 % réduisent leurs portions alimentaires. Une même proportion se dit souvent inquiète à l’idée de manquer d’aliments et encore 9 % déclarent qu’ils n’ont pas les moyens financiers de manger de la viande, de la volaille ou du poisson ne serait-ce qu’un jour sur deux. Enfin, 12 % déclarent ne pas avoir assez à manger et 16 % disent plus généralement se restreindre en termes d’alimentation. Ce nouveau volet de notre programme de recherche sur la précarité permet de mieux en comprendre les différentes facettes, en apportant plus de précisions et de nuances à ce sujet complexe. Elle permet aussi de mettre en évidence un halo de situations intermédiaires entre les plus précaires et les personnes confrontées à des situations moins intenses ou moins cumulatives mais auquel il convient cependant de prêter attention.
La deuxième stratégie nationale sport-santé, portant sur la période 2025-2030, vient d'être dévoilée. Elle entend faciliter la lisibilité des dispositifs existants, dont les maisons sport-santé, et s'adresse plus particulièrement à des publics prioritaires, dont les jeunes, de plus en plus sédentaires.