Les adolescents se caractérisent par un fonctionnement limite : instabilités, colères, difficultés à s'identifier comme une personne qui existe avec assez de confiance... Cela nécessite que des adultes soient présents pour eux. Leur plus grosse angoisse est qu'il n'y ait personne pour eux, ils provoquent d'ailleurs parfois pour s'assurer de cette présence de l'autre. Le rôle de l'adulte est alors d'accepter ses attitudes, les comprendre, leur donner du sens, sans les cautionner. Pour aider les adolescents, la présence d'adultes, leur écoute authentique est indispensable. Faire sentir à l'adolescent qu'on est présent avec ce qu'on est, ce que la vie nous a appris, tout en étant différent de lui par le fait qu'on soit justement un adulte.
Veille documentaire - Santé mentale
Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.
Pour consulter la veille documentaire sur une thématique du Rrapps ou sur un type d'information particulier (Appels à projet, publications, outils pédagogiques), vous pouvez utiliser les filtres ci-contre.
L'association SOS Homophobie publie comme chaque année son rapport sur les discriminations envers personnes LGBTI. Les données statistiques sont issues des témoignages adressés par les personnes aux différents dispositifs d’écoute de l’association. Elles sont classées en plusieurs thématiques (agressions physiques, discriminations au travail, en famille, mal de vivre, etc.), et analysées par nos bénévoles. Ce rapport constitue une référence qui permet de présenter chaque année l'évolution des discriminations LGBTIphobes en France. C’est le principal support militant de l’association pour donner la parole aux victimes et attirer l’attention des institutions politiques.
La campagne « Levons les tabous sur la santé mentale » s’articule autour de trois axes : 1) Un kit d’animation pour les jeunes de 10 à 18 ans ; 2) des podcasts avec l'intervention de personnalités ;
Date limite de dépôt de dossier : 9 juin 2023. L'opération « Quartiers d'été 2023 » a pour ambition que cette période estivale soit pour les habitants des quartiers prioritaires de la politique de la ville : - un temps de respiration, de divertissement et de découverte (promouvoir le sport, favoriser l'accès à la culture, accompagner le départ en vacances, développer l'esprit critique et citoyen des jeunes, soutenir la parentalité...) ; - un temps de rencontres et de renforcement du lien social. Elle vise les thématiques suivantes : promouvoir le sport ; favoriser l'accès à la culture ; voyager et élargir ses horizons ; apprendre, apprendre sur soi ; soutenir la parentalité ; prendre soin de soi et des autres ; prendre soin de la nature ; saisir les opportunités pour gagner en expérience ; s'initier à la mobilité ; se rencontrer et se retrouver ; favoriser le rapprochement population-institutions.
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Les Semaines d’information sur la santé mentale (SISM) s’adressent au grand public. Chaque année, citoyens, associations, professionnels organisent des actions d’information et de réflexion dans toute la France.
La littératie en santé mentale trouve son origine dans la littératie en santé plus « générale » avec un focus spécifique sur le bien-être mental. Sa première définition, en 1997 par Anthony Jorm, utilise une approche médicalisée car elle se réfère à la connaissance et aux croyances sur les problèmes de santé mentale qui favorisent leur identification, gestion ou prévention. Plus tard, entre 2014 et 2016, le concept de promotion de la santé mentale est ajouté par Stan Kutcher qui introduit les notions de résilience et de psychologie positive. Ainsi, la littératie en santé mentale est définie comme un déterminant modifiable de la santé mentale dont il existe plusieurs échelles de mesure. La plus complète, à présent, est la Mental Health Literacy Scale de O’Connor&Casey validée aussi en français. À partir du programme « Premiers secours en santé mentale », diverses interventions pour améliorer la littératie en santé mentale ont été évaluées et initiées récemment en France.
Cet article propose une analyse des relations entre l’isolement résidentiel, le sentiment de solitude et l’engagement, perçues par 1 237 étudiants en études sportives durant l’épidémie de Covid-19. Les étudiants ayant vécu seuls durant le confinement et qui ont affirmé que la solitude constituait un des facteurs les plus limitants sont aussi ceux qui expriment les perceptions les plus négatives de leur engagement dans la formation à distance. Ces résultats mettent l’accent sur les effets délétères du confinement et les risques du « tout numérique » à l’université.
La réalité virtuelle reste souvent associée au jeu vidéo. Elle a pourtant aujourd’hui de nombreuses applications, y compris en santé. Voilà comment elle pourrait bientôt soigner phobies, addictions…
Le rapport conjoint de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche (IGESR) sur la qualité de vie des étudiants en santé (QVES) identifie des initiatives nationales, régionales et locales contribuant à améliorer la qualité de vie des étudiants des différentes filières médicales et paramédicales.
La campagne « Levons les tabous sur la santé mentale » s’articule autour de trois axes : 1) Un kit d’animation pour les jeunes de 10 à 18 ans ; 2) des podcasts avec l'intervention de personnalités ;
La campagne « Levons les tabous sur la santé mentale » s’articule autour de trois axes : 1) Un kit d’animation pour les jeunes de 10 à 18 ans ; 2) des podcasts avec l'intervention de personnalités.
Le suicide est un phénomène complexe relevant de plusieurs facteurs et de déterminants - sociaux, psychologiques, environnementaux- qui sont de plus en plus connus, et par là même travaillés. On dénombre comme facteurs de risque les troubles psychiques, les antécédents familiaux, l’appartenance à un groupe vulnérable, les conditions de vie, l’isolement etc..
La prévention du suicide est une priorité de santé publique, et qui, depuis quelques années maintenant, prend de l’épaisseur.
En effet, plusieurs acteurs, de la recherche, de la santé, mais aussi des associations, s’engagent depuis longtemps et convergent désormais pour une politique de prévention efficace, accessible et témoignant du fait qu'il est possible de sortir d’une crise suicidaire à tout moment, avec le soutien et l'accompagnement adapté.