Ce document propose de rassembler les connaissances sur la pratique sportive des personnes handicapées en France. Il revient dans un premier temps sur les enjeux méthodologiques liés à la mesure de la pratique sportive des personnes handicapées et sur la présentation des sources actuellement disponibles. Dans un second temps, il présente un panorama de la pratique sportive des personnes handicapées âgées de 15 ans et plus, réalisé à partir de l'Enquête nationale sur les pratiques physiques et sportives réalisée en 2020 par l'INJEP. Cette analyse va au-delà de la simple mesure du niveau de pratique et de la fréquence de la pratique et revient également sur des dimensions plus rarement abordées comme les motivations, les activités physiques et sportives pratiquées détaillées, ainsi que les modalités de pratique des personnes handicapées (où ? dans quel cadre ? avec qui ?) et leur spécificité par rapport à l'ensemble des Français. Ce rapport se termine par un portrait des personnes handicapées peu et pas pratiquantes et une analyse des principaux freins à leur pratique d'activités physiques et sportives.
Veille documentaire - Nutrition
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
Et pour ne rien manquer, n'hésitez pas à vous inscrire à la newsletter quotidienne La Veille du jour en vous inscrivant depuis cette page.
Cette étude flash s’appuie sur l’Enquête nationale sur les pratiques physiques et sportives (ENPPS) menée par l’Injep en 2020 et est complétée par un éclairage sur l’offre d’équipements sportifs en QPV d’après la base permanente des équipements (BPE) de 2023.
À l’occasion de la 5ème édition de la Semaine nationale de la dénutrition, des webinaires sont organisés du 12 au 19 novembre. Ce programme est accessible à tous, et a pour objectif de transmettre les réflexes pour mieux prévenir, diagnostiquer et prendre en charge plus efficacement la maladie.
Gazelle et Potiron est un cadre de référence destiné aux professionnels de la petite enfance pour offrir aux tout-petits un milieu favorable aux saines habitudes de vie. Il propose des orientations et pratiques à privilégier pour y parvenir. Une formule de microapprentissage est proposée, composée de webinaires et de cours en ligne. Les idées concrètes sont privilégiées, avec des pistes d’actions et d’activités nécessitant peu, ou pas du tout, de matériel et réalisables à l’intérieur comme à l’extérieur.
L'ONG Action contre la faim publie ce rapport à l'occasion des 20 ans des Directives sur le droit à l'alimentation de la FAO et de son 5e anniversaire de présence en France. Son objet est d'étudier la mise en œuvre par la France du droit à l'alimentation, sur son territoire, et dans ses liens avec les pays tiers. Les thématiques étudiées sont la gouvernance, l'accès à l'alimentation, les systèmes alimentaires, l'alimentation durable.
Près de 300 élèves de 6e ont passé une journée à l’Agropôle du Marault (Magny-Cours), à l’occasion de la Semaine du goût organisée par le Conseil départemental. Au menu : un petit-déjeuner et un déjeuner composés majoritairement d’ingrédients locaux, et souvent bio, et quatre ateliers de sensibilisation au bien-être animal, à l’agriculture biologique et à l’activité physique, thème central de cette édition.
En France, la pratique de l’activité physique par les enfants et adolescents est nettement insuffisante, alors que leur niveau de sédentarité ne fait que s’aggraver. Le manque d’activité physique va croissant avec l’avancée en âge, surtout chez les jeunes filles et les élèves d’établissements situés en zones défavorisées. Seuls 20 % des garçons et 10 % jeunes filles en situation de handicap atteignent les recommandations en activité physique émises par l’OMS. La sédentarité, autre comportement à risque pour la santé, affecte tout particulièrement les enfants et adolescents qui passent en moyenne 3 à 4h30 par jour devant un écran. Même si le rôle des parents est fondamental, l’école et l’environnement périscolaire tiennent une place importante pour changer le comportement des enfants et adolescents. C’est pourquoi l’Académie nationale de médecine recommande de pérenniser les mesures déjà mises en place, renforcer la place de l’EPS (en accordant une attention toute particulière aux jeunes filles, enfants en surpoids ou obèses), sensibiliser tous les enseignants à la lutte contre la sédentarité, impliquer les parents pour promouvoir les déplacements actifs vers l’école. Enfin, une attention toute particulière doit être portée sur la mise en place de programmes d’activité physique adaptés pour les enfants et adolescents en situation de handicap.
Et si, pour prendre soin de sa santé, on commençait par bouger ? Le nouveau podcast de l'Assurance Maladie, baptisé Bouger, c'est bon pour la santé, proposera en 5 épisodes une exploration des bienfaits de l’activité physique et des risques que font peser la sédentarité sur la santé publique.
À partir d’une analyse collégiale menée au travers de plus d’une centaine d’auditions et d’un groupe de travail mobilisé sur une période de 18 mois, le présent rapport formule 6 recommandations majeures, chiffrées et testées. Il émet des solutions concrètes et applicables visant à réduire la précarité alimentaire et à guider notre société vers une alimentation plus saine et accessible à tous, en s’appuyant sur des leviers socio-économiques, culturels et géographiques.
Une consommation élevée de sucre, particulièrement sous la forme de boissons sucrées, est associée à des impacts négatifs sur la santé comme le développement de caries, le diabète de type 2 et le gain de poids. Face à cette situation, l’Organisation mondiale de la Santé suggère de mettre en place diverses politiques publiques qui pourraient permettre de réduire l’apport en sucre de la population. Elle recommande, entre autres, la mise en place de cibles de réduction du sucre qui se définissent comme des objectifs chiffrés visant la réduction des teneurs en sucre des aliments transformés. Dès lors, quelles données sont disponibles actuellement au Québec pour nourrir une réflexion concernant l'élaboration et la mise en oeuvre de telles cibles ?