Ce jeu de plateau a été créé dans le cadre du Programme régional santé-environnement (PRSE3) Occitanie. Il a pour objectif de découvrir comment aménager un territoire pour améliorer la santé générale de la population. Il s’adresse à des joueurs issus de cultures et de professions différentes (techniciens de l'aménagement ou de la santé, animateurs Contrat local de santé, élus...). Le principe repose sur les échanges entre les participants afin de croiser et de prendre en compte l’ensemble des points de vue. Les joueurs proposent à l’intercommunalité du Grand Permignac de nouveaux aménagements favorables à la santé et à l’environnement. A chaque tour, ils se concentrent sur une échelle de territoire (communale, intercommunale, quartier) et trois scénarios d’aménagement sont proposés. En groupe, les joueurs peuvent choisir celui qui semble le plus pertinent en terme de santé ou dessiner leur propre scénario. Ils argumentent leur choix sur des critères de santé, tout en prenant en compte les enjeux économiques et sociaux qui en découlent.
Veille documentaire - Santé environnement
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Les composés potentiellement toxiques de l'alimentation font l'objet de de larges débats contradictoires pour leurs effets sur la santé. Ils regroupent les xénobiotiques provenant de la pollution et des traitements de l'agriculture, les mycotoxines et les additifs utilisés dans la transformation des aliments. Le marché agroalimentaire européen est soumis à des réglementations plus contraignantes que les marchés américains et asiatiques, avec cependant une ouverture de plus en plus grande à la mondialisation des échanges. Un groupe de travail (GT) a auditionné des experts et acteurs du domaine pour approfondir trois questions : quels sont les enseignements et les limites de la toxicologie alimentaire ? La traçabilité des sources et des modes de productions est-elle une réponse à l'enjeu de sécurité alimentaire face à la mondialisation ? Les labels de qualité alimentaire sont-ils suffisants pour assurer une information objective du consommateur sur la prévention du risque ?
Piétonnisation, ville sans voiture, végétalisation, création de pistes cyclables. Certaines tentatives pour créer des villes santé sont réussies, quand d’autres restent inabouties. Alors qu’en Belgique, les élections bruxelloises de l’année 2024 se sont en partie jouées sur le rejet du plan Good Moove, Charlotte Marchandise, directrice exécutive de l’European Health Association (EUPHA), rappelle que les politiques publiques sont un levier incontournable pour créer des villes plus respectueuses de la santé, de l’environnement, plus agréables à vivre et plus inclusives. A condition toutefois que deux impératifs servent de boussole : le bien-être des habitants et l’équité. Interview
Faire classe hors-les-murs n’est pas encore une pratique très répandue en France, même si elle s’est récemment développée à la faveur de la crise sanitaire du Covid. À l’école primaire de Mancenans (Doubs), plusieurs enseignants font cours une demi-journée par semaine dans la forêt voisine, y compris l’hiver. Selon les professeurs et les parents interrogés, les bénéfices pour les enfants sont nombreux : amélioration du bien-être à l’école, de l’estime de soi, de l’autonomie, de la capacité à créer et à communiquer. De leur côté, les enseignants ont le sentiment de retrouver un sens à leur métier.
Le Premier ministre Michel BARNIER et Agnès PANNIER-RUNACHER, ministre de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques, ont présenté le troisième Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC-3).
La ville de Marseille a recruté en juillet un directeur de la mission « Une Seule Santé » afin d’impulser dans tous les services de la Ville cette approche intégrée, globale et multisectorielle qui met en lumière les relations entre la santé humaine, la santé animale, la santé végétale et les écosystèmes.
Après deux années d’application de la théorie du Donut sur son territoire, la Ville de Grenoble, Capitale Verte Européenne en 2022, publie un rapport retraçant les grandes étapes de cet engagement pionnier en France. Ce document revient sur les réflexions ayant conduit au choix de ce modèle, sur ses applications stratégiques et opérationnelles, ainsi que sur les ressources et initiatives qui ont inspiré la démarche. Il présente les méthodologies et outils déployés dans le cadre de ce projet novateur.
Le présent document s'efforce de dévoiler les caractéristiques individuelles associées à un intérêt pour One Health. Grâce à la distribution d'une enquête en ligne distribuée au hasard à la population britannique, nous avons découvert des corrélations significatives entre les attitudes préexistantes à l'égard de la nature et des liens avec la nature et les animaux et l'intérêt pour One Health, qui est quantifiée par le nombre de pages supplémentaires de 1 des participants à l'information sur la santé convenues à la conclusion de l'enquête. En outre, les personnes ayant une santé mentale moins bonne ont manifesté un plus grand intérêt pour One Health. Les résultats suggèrent que l'intérêt pour One Health et les connexions de la population avec la nature et les animaux sont motivés par les mêmes préférences personnelles. Ces informations indiquent le potentiel de stratégies de communication plus ciblées pour des groupes spécifiques, facilitant une promotion plus efficace du concept de santé unique.
En France, chaque année, plus d’un milliard de repas sont servis à la cantine aux élèves scolarisés dans le 1er ou le 2nd degré, pour un coût total d’environ 12 Md€. Les enjeux soulevés par les politiques de restauration scolaire sont multiples. Pourtant, on sait peu de choses sur la fréquentation des cantines scolaires, le coût des repas ou le prix payé par les familles. Le Conseil de la famille du HCFEA publie un rapport qui comble ces lacunes et énonce diverses recommandations. Celles-ci visent l’amélioration des dispositifs existants, qu’ils soient nationaux ou locaux, afin de garantir le droit effectif à la restauration scolaire à tous les enfants et réduire les disparités territoriales en matière de fréquentation.
Publié chaque année, le Baromètre énergie-info est une étude menée par le médiateur national de l’énergie en vue de dresser un bilan de la situation énergétique en France. Cette année, le sujet des factures d’électricité reste une grande préoccupation pour beaucoup de ménages, qui voient leurs efforts dans les usages de consommation atteindre leurs limites.
Le présent document s'efforce de dévoiler les caractéristiques individuelles associées à un intérêt pour One Health. Grâce à la distribution d'une enquête en ligne distribuée au hasard à la population britannique, nous avons découvert des corrélations significatives entre les attitudes préexistantes à l'égard de la nature et des liens avec la nature et les animaux et l'intérêt pour One Health, qui est quantifiée par le nombre de pages supplémentaires de 1 des participants à l'information sur la santé convenues à la conclusion de l'enquête. En outre, les personnes ayant une santé mentale moins bonne ont manifesté un plus grand intérêt pour One Health. Les résultats suggèrent que l'intérêt pour One Health et les connexions de la population avec la nature et les animaux sont motivés par les mêmes préférences personnelles. Ces informations indiquent le potentiel de stratégies de communication plus ciblées pour des groupes spécifiques, facilitant une promotion plus efficace du concept de santé unique.
« Et si on se prenait enfin à rêver ? Rêver de politiques publiques élaborées pour accompagner le bonheur des habitants et plus seulement pour répondre à des objectifs de performance. N’est-il pas de meilleure réponse à apporter aux Français, qui expriment une anxiété croissante et un bien-être collectif fluctuant, que d’engager une dynamique collective nouvelle ? ». C’est en ces termes que le Président ANPP – Territoires de projet, Stéphane DELAUTRETTE souhaite poser le débat au sujet du bonheur local, comme nouvelle clef de lecture pour l’élaboration des politiques publiques de demain.