Veille documentaire - Jeunes

L'équipe de rédaction décortique le concept de « santé mentale positive », qui fait l'objet d'un intérêt croissant depuis quelques années.

Ce document synthétise les résultats d'une consultation, ouverte de juin à août 2022, auprès des membres régionaux du Rrapps BFC, des partenaires identifiés dans le cadre du dispositif Pass'Santé Jeunes, et des acteurs du numérique. Son objet est de dresser un panorama des actions existantes en région sur la thématique écrans et jeunes. Il s'agit d'alimenter la connaissance sur les interventions, à plusieurs niveaux : publics ciblés, objectifs poursuivis, ressources mobilisées, partenaires sollicités et éventuelles difficultés rencontrées.

L'adolescence et le début de l'âge adulte sont des périodes vulnérables au cours desquelles des problèmes de santé mentale apparaissent souvent. Des recherches transversales ont montré qu'une forte utilisation des médias sociaux (SMU) est associée à une mauvaise image corporelle chez les jeunes, un facteur prédictif connu des troubles de l'alimentation. Cependant, les preuves expérimentales de haute qualité sont rares, ce qui limite la capacité à faire des inférences causales. La présente étude a examiné de manière expérimentale les effets de la réduction de l'utilisation du smartphone sur l'apparence et le poids chez des jeunes en détresse émotionnelle.

Le site Etincelles propose diverses ressources pour favoriser des parcours amoureux sans violence chez les jeunes.

Financé dans le cadre de l’appel à projet du Fonds de lutte contre le Tabac « Mobilisation de la société civile», à partir de septembre 2018 pour une période initialement de 3 ans, prolongée jusqu’en décembre 2022, le projet D-CAP visait à produire une connaissance expérientielle sur des interventions de prévention du tabagisme, allant de la prévention primaire à l’accompagnement au sevrage tabagique, pour 2 publics : auprès des jeunes âgés de 12 à 25 ans et auprès des personnes vulnérables (jeunes et adultes). Cette analyse transversale permet de tirer des enseignements d’une quarantaine de projets de prévention du tabagisme.

Compétences psychosociales, de quoi parle-t-on ? Ce n’est ni un sujet « technique », ni un sujet « à la mode », ou « bobo ». Sous ces termes, se cachent en réalité ce que nous souhaitons à tous pour nous même et nos proches : des compétences cognitives, sociales et émotionnelles. Elles s’apprennent dès le plus jeune âge et dans tous les milieux de vie, notamment à l’école, mais aussi dans les milieux d’accueil des jeunes enfants, dans les structures sociales y compris pour les adultes. Elles permettent de répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne. Un nombre croissant d’interventions reposent désormais sur des données scientifiques, que ce soit des programmes visant la gestion du stress, la régulation des émotions, l’écoute empathique, la gestion des conflits… Elles permettent donc des bienfaits prouvés en prévention des comportements à risque quels qu’ils soient et servent ainsi la prévention des addictions, la santé sexuelle, en développant une santé mentale positive.

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Le 11 avril, l'inspection générale des affaires sociales (IGAS) a publié un rapport sur la maltraitance dans les crèches. Comment vont réagir les organismes et les acteurs du secteur de la petite enfance ? Une crèche dijonnaise décrit son fonctionnement pour avoir des personnels plus apaisés.

La parentalité positive, rappelle Isabelle Roskam (05:50), docteure en psychologie, insiste sur le respect dans lequel parents et enfants doivent évoluer. Pour prendre soin de l'enfant, l'adulte, le parent doit tout à la fois offrir de la bienveillance (accueil, soutien, chaleur, expériences...) mais également un cadre, une fermeté, des limites claires. En effet, le rôle du parent est d'humaniser l'enfant, de le socialiser

Ce nouveau livre de Ludovic Gadeau, docteur en psychologie clinique et pathologique, interroge les limites de la parentalité positive au regard des enjeux de la parentalité au quotidien et des incidences sur l'enfant. Si l’éducation positive trouve sa place dans l’espace scolaire pour améliorer le bien-être des enfants et leurs compétences psychosociales, ce qui se codifie dans une pratique professionnelle dans le champ pédagogique peut-il être transféré dans la sphère privée et familiale ? Être parent, est-ce un métier, ou bien est-ce d’une autre nature ?

Un entretien avec Sophie Maes (03:33), pédopsychiatre.

Cette vidéo, d'une durée de 5 minutes, est à destination des professionnels. Elle est animée par Sophie Maes, pédopsychiatre.

Cette vidéo de 4 minutes est destinée à un public de professionnels ; elle est animée par Sophie Maes, pédopsychiatre.