Cette boîte à outils vise à favoriser le développement d’une image corporelle positive et à prévenir la grossophobie
Veille documentaire - Nutrition
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Données statistiques sur l'obésité et le surpoids en France
Les Petites Cantines est un réseau non lucratif de cantines de quartier où les convives s’accueillent et se rencontrent au travers de repas durables, participatifs et à prix libre, pour tisser des relations de qualité et contribuer à la construction d’une société fondée sur la confiance. Il s’appuie sur l’entraide et l’intelligence collective.
Le Canada connaît aujourd’hui d’importants changements démographiques. Ces changements sont marqués par un accroissement de la proportion de personnes âgées au sein de la population. Ce vieillissement rapide de la population est accompagné de pressions grandissantes sur le système de santé, sur l’économie du pays, ainsi que sur la société en général. Il est donc primordial de se questionner sur les actions pouvant être faites pour diminuer l’impact de ces changements démographiques, en visant principalement l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé.
Les maladies non transmissibles sont en perpétuelle augmentation dans le monde et le mode de vie est un facteur d'influence majeur de la santé. Parmi elles, les troubles liés à l'usage de l'alcool, du tabac et d'autres substances psychoactives (produits qui modifient l'état de conscience) constituent un problème de santé publique. Les addictions sont des pathologies d'ordre cérébral caractérisées par une dépendance à une substance ou à une activité avec des conséquences délétères. L'objectif de ce travail était donc de faire une synthèse des connaissances sur le lien entre les conduites addictives et la pratique d'activité physique. Sur cette thématique, des études ont montré que la pratique d'activités physiques aurait tendance à réduire les consommations d'alcool, de tabac et des autres substances psychoactives (les personnes physiquement actives étant moins susceptibles de consommer des cigarettes ou des drogues illicites). De plus, des effets positifs telle que l'augmentation de l'abstinence sont observés dans le cadre d'une prise en charge dans la plupart des études. Enfin, même si la balance bénéfices-risques semble pencher en faveur de l'activité physique, il faut tout de même garder en mémoire qu'elle pourrait également, pour certaines populations ou dans certaines conditions, favoriser l'entrée dans des consommations ou les augmenter. Cependant, il est nécessaire de pondérer ces résultats au regard de l'hétérogénéité méthodologique entre les différentes études et donc du faible nombre d'études par situation évaluée (population cible, type de prévention ou de consommation, etc.). Enfin, le fait que les effets positifs de l'activité physique sur les conduites addictives ne soient pas particulièrement retrouvés sur le long court dans plusieurs études est aussi un résultat important à souligner. Ainsi, aucune conclusion forte ne peut être retenue. Des tendances peuvent être exposées mais nécessitent d'être approfondies par des études supplémentaires pour minimiser les biais cités ci-avant
Les maladies non transmissibles sont en perpétuelle augmentation dans le monde et le mode de vie est un facteur d’influence majeur de la santé. Parmi elles, les troubles liés à l’usage de l’alcool, du tabac et d’autres substances psychoactives (produits qui modifient l'état de conscience) constituent un problème de santé publique. Les addictions sont des pathologies d’ordre cérébral caractérisées par une dépendance à une substance ou à une activité avec des conséquences délétères. Pour lutter contre ces comportements délétères à la santé, certaines activités, dont les activités physiques font partie, semblent pouvoir être d’une aide précieuse pour lutter contre la dépendance. Dans ce cadre, la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca) et l’Observatoire national de l’activité physique et de la sédentarité (Onaps) se sont associés pour conduire un projet centré sur les liens entre les activités physiques et sportives, la sédentarité et les addictions. La première phase de ce projet, consistant en une revue de littérature sur les liens existants entre l’activité physique et les consommations de substances psychoactives, a été publiée au mois de janvier 2023 et est à retrouver ici. Depuis cette publication, la Mildeca et l’Onaps ont poursuivi leurs travaux avec l’élaboration d’un mémento visant à capitaliser des interventions de prévention primaire de la consommation de produits par l’activité physique, et d’intégration de l’activité physique dans la prise en charge d’usagers dépendants. Cette deuxième phase fait l’objet du présent rapport.
Le traitement précoce de l’obésité infantile est sûr et efficace, soutient cette équipe de pédiatres et de nutritionnistes de l’Institut Karolinska (Suède) qui démontre tous ses bénéfices à la fois à court et à long terme dans l’International Journal of Obesity. Les chercheurs appellent surtout à soutenir les parents à promouvoir un mode de vie sain au sein de la famille. C'est une condition essentielle du succès de la perte de poids chez l'enfant.
Une étude suggère que manger tard pour la première ou la dernière fois de la journée serait associé à un risque cardiovasculaire plus élevé.
Pour la première fois, cette étude montre que les lipides retrouvés dans la circulation après la digestion d’un repas peuvent agir directement sur les neurones du « système de la récompense ».
La promotion de l’activité physique et sportive sera la grande cause nationale de 2024. Mais la communication interroge : seules les personnes déjà actives semblent intégrer les messages.
Pour garantir la santé des enfants, notamment ceux de milieux modestes, on peut les impliquer dans des actions d’éducation à l’alimentation pour en faire de véritables consommateurs éclairés.
Des changements dans l’algorithme du Nutri-Score auront lieu à compter du 1er janvier 2024, pénalisant les produits qui contiennent trop de sucres, d’édulcorants ou de sels.