Derrière l’expression de jeunes dits « en difficulté », il existe de multiples profils de personnes âgées de 14 à 18 ans, associés à différentes catégorisations : en révolte, en voie d’insertion, en danger d’exclusion, en détresse sociale… Ces jeunes habitent dans des quartiers dits « défavorisés » où les taux de précarité, d’échec scolaire, de délinquance juvénile, de chômage sont plus élevés que dans d’autres quartiers. Dans ces lieux, beaucoup actions s’appuyant sur les pratiques sportives ont été mises en place, en particulier dans le cadre des politiques de la ville, et elles sont présentées comme des facteurs de cohésion sociale, qui permettraient d’accrocher les jeunes et de les « re-socialiser », de les réinsérer.
Veille documentaire - Jeunes
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L’adoption de politiques et de directives alimentaires dans les écoles canadiennes permet d’accroître l’offre et la consommation d’aliments riches en nutriments tout en réduisant l’accès à des aliments et des boissons riches en sucres, en sodium et en gras saturés. Ces politiques favorisent des changements positifs pour la santé des enfants et des adolescents, tels qu’un meilleur indice de masse corporelle. Cependant, elles ont des effets mitigés sur la performance scolaire. Le présent document de principes présente les principaux éléments des politiques alimentaires en milieu scolaire, notamment les normes nutritionnelles. Ces politiques doivent respecter les recommandations du Guide alimentaire canadien et promouvoir la consommation d’aliments et de boissons riches en nutriments, dont la teneur en gras saturé, en sucre et en sodium est plus faible.
L’adoption de politiques et de directives alimentaires dans les écoles canadiennes permet d’accroître l’offre et la consommation d’aliments riches en nutriments tout en réduisant l’accès à des aliments et des boissons riches en sucres, en sodium et en gras saturés. Ces politiques favorisent des changements positifs pour la santé des enfants et des adolescents, tels qu’un meilleur indice de masse corporelle. Cependant, elles ont des effets mitigés sur la performance scolaire. Le présent document de principes présente les principaux éléments des politiques alimentaires en milieu scolaire, notamment les normes nutritionnelles. Ces politiques doivent respecter les recommandations du Guide alimentaire canadien et promouvoir la consommation d’aliments et de boissons riches en nutriments, dont la teneur en gras saturé, en sucre et en sodium est plus faible.
Replay vidéo et audio du webinaire consacré à l'éducation à la santé, dans le cadre des Mardis de l'IH2EF (Institut des hautes études de l'éducation et de la formation). Les intervenants ont cherché à répondre aux questions : Qu'est-ce que l'éducation à la santé ? En quoi le fait de former les enseignants aux compétences psychosociales favorise-t-il le bon développement des élèves ? Comment rendre l'école promotrice de santé ?
L’INJEP et la DEPP (direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance) publient les derniers résultats issus de l’enquête menée en partenariat sur les activités des jeunes en dehors du collège. À 13 ou 14 ans, les collégiens occupent leur temps libre par des activités fortement fédératrices : sport, écoute de la musique, jeux vidéo, sans oublier les devoirs.
Afin de renforcer les collaborations entre les acteurs de santé publique et les professionnels de la petite enfance ainsi que l’implication de ceux-ci dans la réduction des inégalités sociales de santé, ce webdocumentaire, créé par la Société Française de Santé Publique, vise à contribuer à la réflexion éthique liée à l’accompagnement à la parentalité et à permettre ainsi de réfléchir, seul ou en équipe, et avec les familles, aux pratiques, aux postures, aux modalités de cet accompagnement.
Quel est le rapport des jeunes de quartiers populaires à l’école ? Comment ces personnes racontent-elles leur orientation scolaire quand les difficultés économiques limitent le champ des possibles ? Que signifie à leurs yeux « réussir », et quel rôle leur scolarité joue-t-elle dans cette trajectoire ? La recherche participative Pop-Part (2017-2022) a documenté ces questions ; elle portait plus largement sur les pratiques et les représentations des jeunes de quartiers populaires dans dix villes franciliennes.
La cité catalane, gouvernée depuis 2015 par la gauche alternative, a fait du bien-être de sa population, en particulier des plus jeunes, une de ses priorités. Administrations et tissu associatif sont mobilisés pour recréer du lien communautaire.
« Mission : retrouve ton cap » est un dispositif de prévention de l'obésité infantile, expérimenté depuis trois ans sur certains territoires, et déployé aujourd'hui dans tout l'hexagone. Son objectif : prévenir, grâce à une prise en charge pluridisciplinaire, le surpoids et l'obésité chez les enfants de 3 à 12 ans.
La jeunesse a été durement éprouvée par les deux ans de pandémie : insertion professionnelle ralentie, perte de liens sociaux dans une période de la vie où ceux-ci sont essentiels, dégradation de la santé psychique. En mars 2022, alors que le virus semble moins menaçant, mais que débute la guerre en Ukraine, le moral des 18-30 ans s'améliore. Les jeunes Français se montrent ainsi plus positifs sur leur vie actuelle
et leurs perspectives. Au-delà de l'effet du retour à la vie normale, la reprise du marché du travail semble nourrir ce regain d'optimisme. Quelques stigmates de la période subsistent toutefois : des sentiments de solitude épisodiques plus fréquents et, chez les jeunes femmes, une part d'états d'esprit positifs en retrait de 6 points par rapport à la période pré-crise.
Les recommandations en matière éducative prescrivent généralement de maintenir les enfants de moins de trois ans éloignés des écrans et d’accompagner très progressivement leur insertion dans leur quotidien dans les années qui suivent. La réalité, telle que décrite par la cohorte Elfe, est différente : à deux ans, les trois quarts des enfants sont maintenus à distance des écrans numériques (hors télévision), mais dès l’âge de trois ans et demi, plus de quatre sur dix en utilisent régulièrement et plus de la moitié à cinq ans et demi. Durant les six premières années de la vie, seuls quatre enfants sur dix sont durablement maintenus à distance des écrans numériques et plus de cinq sur dix augmentent, parfois fortement, leur temps d’écran. À l’inverse, un enfant sur dix avait une utilisation très développée dès deux ans et voit sa consommation diminuer. Ces trajectoires dépendent non seulement des caractéristiques sociales des familles, notamment de leurs ressources économiques et culturelles, de la place de la fratrie mais également des pratiques des parents, qu’elles soient individuelles ou partagées avec l’enfant avant ses trois ans.
La COVID-19 a transformé l’environnement médiatique familial et suscité des recherches sur les effets de l’exposition aux médias sur écran et de leur utilisation chez les jeunes enfants. La présente mise à jour d’un document de principes de la SCP publié en 2017 passe de nouveau en revue les bienfaits et les risques potentiels des médias sur écran chez les enfants de moins de cinq ans et s’attarde sur leur santé développementale, psychosociale et physique. Quatre principes reposant sur des données probantes — limiter le temps d’écran, en atténuer les effets négatifs, les utiliser en pleine conscience et donner l’exemple d’habitudes saines — continuent d’orienter l’expérience précoce des enfants dans un paysage médiatique en rapide évolution. Les connaissances sur l’apprentissage et le développement des jeunes enfants éclairent les pratiques exemplaires recommandées aux professionnels de la santé et aux professionnels de la petite enfance (p. ex., éducatrices à la petite enfance, fournisseurs de services de garde). Les conseils préventifs devraient désormais inclure l’utilisation des écrans par les enfants et les familles en contexte de pandémie (et par la suite).