Dans le contexte de reprise de la vie festive à partir du 16 février 2022 en établissements de nuit, la MILDECA (Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives) a conçu une nouvelle campagne d'information, de prévention et de réduction des risques liés au GHB/GBL. Ces ressources sont libres de droits et vous pouvez donc les utiliser et les partager largement.
Veille documentaire - Addiction
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Santé publique France, en partenariat avec le Ministère en charge de la Santé et l’Assurance maladie, diffuse une campagne d’incitation à l’arrêt du tabac à destination des fumeurs et en particulier des publics les plus fragiles sur le plan socio-économique. Cette campagne a pour objectif de déconstruire les peurs liées à l’arrêt du tabac et à inciter les fumeurs à se faire aider dans leur arrêt en ayant recours à un professionnel de santé ou aux outils Tabac info service.
Ce guide a été élaboré à partir des réflexions et travaux du Groupe Formation, coordonné par la SRAE Addictologie Pays-de-la-Loire. Il a pour objectif de constituer un repère pour les professionnels en charge d’animer des formations Repérage précoce - intervention brève (RPIB) Alcool-Tabac-Cannabis – Public Jeunes, en permettant de disposer d’un socle commun que chaque formateur pourra adapter en fonction du contexte.
Le potentiel des clubs sportifs pour promouvoir la santé au-delà de l'activité physique a été reconnu par les chercheurs et les décideurs. Cette étude a recueilli les propositions des parties prenantes sur le soutien dont les clubs sportifs ont besoin pour accroître les efforts de promotion de la santé et les a classées par ordre de priorité en fonction de leur importance et de leur faisabilité.
Dans le contexte de reprise de la vie festive à partir du 16 février 2022 en établissements de nuit, la MILDECA (Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives) a conçu une nouvelle campagne d'information, de prévention et de réduction des risques liés au GHB/GBL. Ces ressources sont libres de droits et vous pouvez donc les utiliser et les partager largement.
Afin d’identifier les freins au sevrage tabagique et les leviers à mobiliser pour favoriser la demande d’aide de la part des fumeurs puis construire avec eux leur programme de sevrage « idéal », une étude qualitative individuelle à partir d’entretiens semi-directifs a été menée en mai 2019 auprès de 19 fumeurs en contemplation ou préparation (modèle transthéorique).
Ce rapport a été établi par l'équipe Santé publique de la Division de la santé, Direction de l'emploi, du travail et des affaires sociales de l'OCDE. Marion Devaux était responsable du projet, Alexandra Aldea et Aliénor Lerouge ont réalisé les analyses au moyen du modèle SPHeP-NCD de l'OCDE, et Yevgeniy Goryakin, Laura Suhlrie et Marta Bertanzetti leur ont apporté leur concours. Michele Cecchini a supervisé le projet. Tous les auteurs ont participé à la rédaction du rapport et à l'interprétation des résultats des analyses. Francesca Colombo, Mark Pearson et Stefano Scarpetta ont également mis leur expérience au service du projet. Lukasz Lech a apporté son aide aux auteurs pour les questions administratives et la mise en page. Ce rapport s'inscrit dans le cadre des activités de l'OCDE en économie de la santé publique. Il a été financé par la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA) et la Délégation à la sécurité routière (DSR), rattachée au ministère de l'Intérieur.
Du 14 février au 13 mars 2022, Santé publique France valorise la diversité des solutions d’arrêt à travers des témoignages réels, afin de montrer qu’il n’est pas si difficile de demander de l’aide auprès d’un pharmacien, d’un médecin, d’un professionnel de Tabac info service au 39 89, etc. et d’être accompagné gratuitement dans sa démarche.
En France, peu de travaux ont été menés jusqu'à présent sur la consommation d'alcool des jeunes de 18 à 30 ans. Or étudier la question de l'alcoolisation à l'« âge adulte émergent » permet de mieux appréhender les transformations lors de cette période charnière du pas¬sage de l'adolescence à l'âge adulte, qui tend à s'allonger, et se traduit par des situations et des parcours de vie très diversifiés. Au cours du cycle de vie, c'est entre 18 et 30 ans que le risque d'alcoolisation excessive, qui représente un risque « évitable », culmine avec une large proportion de risque ponctuel plutôt que chronique. A tout âge, l'écart entre hommes et femmes est très significatif, les premiers présentant un risque d'alcoolisation, tant ponctuel que chronique, environ deux fois plus élevé. Près des trois quarts des jeunes femmes ne présentent pas de risques, et elles modèrent leurs comportements plus tôt, dès 25-30 ans, alors que les hommes les accroissent encore. En revanche, entre 2002 et 2014, si le risque global d'alcoolisation excessive tend à diminuer chez les hommes du fait d'un risque chronique moindre, il a légèrement augmenté chez les jeunes femmes du fait du risque ponctuel. Enfin, des facteurs d'ordre socio-économique influent sur ces comportements au sein d'une même génération. Par exemple, à 18-24 ans, les hommes actifs occupés sont plus concernés par le risque global d'alcoolisation excessive que les étudiants ou les chômeurs, alors que seules les chômeuses sont moins concernées à cet âge. Chez les hommes comme chez les femmes et à 18-24 ans comme à 25-30 ans, ce risque augmente avec les niveaux d'éducation et de revenu. Ces résultats sont issus de l'Enquête santé européenne (EHIS) menée en 2014 et de précédentes Enquêtes santé et protection sociale (ESPS) de 2002 à 2012.
En France, peu de travaux ont été menés jusqu'à présent sur la consommation d'alcool des jeunes de 18 à 30 ans. Or étudier la question de l'alcoolisation à l'« âge adulte émergent » permet de mieux appréhender les transformations lors de cette période charnière du pas¬sage de l'adolescence à l'âge adulte, qui tend à s'allonger, et se traduit par des situations et des parcours de vie très diversifiés. Au cours du cycle de vie, c'est entre 18 et 30 ans que le risque d'alcoolisation excessive, qui représente un risque « évitable », culmine avec une large proportion de risque ponctuel plutôt que chronique. A tout âge, l'écart entre hommes et femmes est très significatif, les premiers présentant un risque d'alcoolisation, tant ponctuel que chronique, environ deux fois plus élevé. Près des trois quarts des jeunes femmes ne présentent pas de risques, et elles modèrent leurs comportements plus tôt, dès 25-30 ans, alors que les hommes les accroissent encore. En revanche, entre 2002 et 2014, si le risque global d'alcoolisation excessive tend à diminuer chez les hommes du fait d'un risque chronique moindre, il a légèrement augmenté chez les jeunes femmes du fait du risque ponctuel.
Enfin, des facteurs d'ordre socio-économique influent sur ces comportements au sein d'une même génération. Par exemple, à 18-24 ans, les hommes actifs occupés sont plus concernés par le risque global d'alcoolisation excessive que les étudiants ou les chômeurs, alors que seules les chômeuses sont moins concernées à cet âge. Chez les hommes comme chez les femmes et à 18-24 ans comme à 25-30 ans, ce risque augmente avec les niveaux d'éducation et de revenu. Ces résultats sont issus de l'Enquête santé européenne (EHIS) menée en 2014 et de précédentes Enquêtes santé et protection sociale (ESPS) de 2002 à 2012.
Grâce à nos téléphones et nos ordinateurs, nous accédons à des applis, des groupes de discussion ou des vidéos qui nous aident à prendre soin de notre santé mentale. Au risque, parfois, de devenir addict ?
L’objectif de cette revue de la littérature est d’analyser en particulier l’exposition et les effets, sur les comportements et les perceptions des jeunes, des messages en faveur de l’alcool sur les réseaux sociaux, incluant ceux diffusés par l’industrie, les influenceurs et les internautes. Peu de travaux ont synthétisé l’impact de ces contenus protéiformes : publicités classiques, pages officielles de marques, publications diffusées par des tiers (bars, influenceurs, etc.), contenus pro-alcool générés par les utilisateurs (commentaires, photos, vidéos, etc.).