Ce dossier du magazine « Santé conjuguée », publié par la Fédération Maisons médicales à Bruxelles, est consacré aux relations entre travail et santé. En effet, l’expression d’un mal-être au travail se répand dans tous les secteurs, se manifestant par du stress, de la fatigue, de l’épuisement professionnel, des troubles musculosquelettiques, des accidents… De même, l’absence d’emploi sur une longue durée et la précarité financière qui l’accompagne ont aussi des effets profondément néfastes. Ce dossier propose d’explorer l’angle mort entre le monde du travail et la médecine générale et les autres professions de santé qui exercent en maison médicale.
Veille documentaire - Personnes en situation de précarité
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Alors que les taux de personnes détenues présentant un trouble psychologique ou mental sont élevés, il reste encore beaucoup à faire pour soigner cette population particulièrement sensible.
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie une étude sur les jeunes accueillis en établissement de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Cette étude repose principalement sur l’édition 2017 de l’enquête auprès des établissements et services de la protection de l’enfance (ES-PE). Elle décrit le profil des jeunes mineurs non accompagnés (MNA) accueillis en établissement, en comparaison des jeunes n’ayant pas ce statut en protection de l’enfance (non-MNA).
L'ARS Île-de-France lance une coalition d’acteurs qui entend décloisonner les champs d’interventions de la santé et du logement. En effet, l’implication de chaque partie prenante est une condition indispensable pour apporter une réponse appropriée aux défis actuels relatifs à la réduction des inégalités de santé en Île-de-France.
En 2018, la SFSP a organisé un séminaire autour de l’éthique de l’accompagnement à la parentalité, qui posait déjà cette question : « de quoi j’me mêle ? ». Dans ce cadre, Micheline, Oriane et Béatrice, militantes du mouvement ATD Quart-Monde, accompagnées par Nathalie Victor, en charge des questions de santé pour ce mouvement, ont partagé avec le public leur témoignage et réflexions autour de la parentalité.
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie un Dossier de la DREES sur les jeunes accueillis en établissement de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Cette étude repose principalement sur l’édition 2017 de l’enquête auprès des établissements et services de la protection de l’enfance (ES-PE). Elle analyse les dynamiques de maintien et de sortie, au cours de l’année 2017, de l’ensemble des jeunes accueillis au sein des établissements de l’ASE. Elle présente également des éléments de trajectoires, notamment résidentielles, des jeunes sortants de ces établissements en 2017.
Fin 2017, 28 000 mineurs non accompagnés (MNA) sont pris en charge par les services de l’aide
sociale à l’enfance (ASE). Parmi eux, 11 400 sont accueillis dans un établissement de l’ASE, quasi
exclusivement en maisons d’enfants à caractère social (MECS) et en foyers de l’enfance. Juste avant leur entrée dans un établissement, un quart des MNA ne faisaient pas l’objet
de mesures de protection par l’ASE et un quart dormait en centre d’hébergement, dans
un hébergement de fortune, une habitation mobile ou dans la rue.
Date limite de dépôt des dossiers : 1er mars 2023. Le Réseau d'écoute, d'appui et d'accompagnement des parents en Saône-et-Loire se nommé Parents 71. Il est piloté conjointement par la Caisse d'allocations familiales et par le Département de Saône-et-Loire au titre du soutien à la parentalité. L'appel à projets offre une opportunité à des acteurs de Saône-et-Loire de développer des actions de soutien à la parentalité. Plus spécifiquement, cet appel à projets propose une aide financière au développement d'actions d'accompagnement et de prévention concernant la fonction parentale.
Cette synthèse dresse un portrait des connaissances sur les interventions de groupe favorisant le renforcement du réseau de soutien social des parents vivant en contexte de vulnérabilité lors de la période de la périnatalité et de la petite enfance. Une recension des écrits a été réalisée afin d’analyser l’efficacité des interventions de groupe, en fonction de leurs caractéristiques et des différentes dimensions du réseau de soutien social des parents ; et d’identifier les facteurs facilitant ou contraignant leur réussite.
Date limite de dépôt de projet : 17 mars 2023. Les actions prioritaires financées par le Fonds Interministériel de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation (FIPDR) sont destinées à promouvoir des projets répondant aux orientations fixées par la stratégie nationale de prévention de la délinquance : 1) Agir plus tôt et aller plus loin dans la prévention : 2) Aller vers les personnes vulnérables et mieux les protéger ; 3) La population, nouvel acteur de la prévention de la délinquance.
Les dates limites de dépôt sont : 27 février, 19 mai, 25 août et 14 novembre 2023. Depuis janvier 2018, l’Agence Régionale de Santé (ARS) Bourgogne Franche-Comté délègue la gestion de l’enveloppe "Fonds d'intervention régional" (FIR) santé publique à la FeMaSCo-BFC. Cette enveloppe est entièrement consacrée aux actions de prévention et promotion de la santé et bénéficie aux maisons de santé pluridisciplinaires et aux structures de santé pluri-professionnelles de 1er recours. Afin de faciliter le dépôt des demandes FIR, les commissions sont maintenant programmées à l'année.
Sur le site internet de la FeMasSCo se trouvent un guide d'écriture et le modèle 2023 de demande de financement.
Ce numéro parle logement et santé, plus exactement précarité énergétique et santé. Nos concitoyens confrontés à ce phénomène de précarité énergétique décrivent bien en quoi cela pèse sur leur santé et celle de leurs enfants. Mais, souvent, nous ne savons que faire, concrètement. Ailleurs, en Grande-Bretagne par exemple, ces sujets sont au cœur d’actions partagées en santé publique. Alors il nous faut progresser, notamment dans les quartiers populaires, et inventer des stratégies pratiques. En agissant à la racine (c’est la compétence de ceux qui interviennent sur le logement), mais aussi en sensibilisant les professionnels de santé, et surtout en écoutant les habitants concernés. Comment mieux ventiler sans refroidir ? Comment faire face aux dépenses d’énergie sans peser sur celles de la santé et celles nécessaire au développement des enfants ? Quels sont nos droits ? Souvent, discuter santé commence par discuter de froid, d’humidité, de chauffage, d’habitat, de difficultés financières.