Dans le 2d degré, les thématiques sont plus complexes. Elles incluent des notions biologiques d’anatomie et de reproduction, de prévention des risques, ainsi que des notions liées aux droits humains. Objectifs du programme : 1) Transmettre des connaissances sur la sexualité et la santé, sur la reproduction, la contraception et la prévention des infections sexuellement transmissibles (IST) ; 2) Favoriser des choix éclairés et responsables ; 3) Lutter contre les discriminations : sensibiliser aux stéréotypes, notamment de genre, et promouvoir l’égalité et le respect entre les sexes ; 4) Prévenir les violences sexuelles et le harcèlement : inculquer les notions de consentement, de respect et de droit.
Veille documentaire
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Dans le 2d degré, les thématiques sont plus complexes. Elles incluent des notions biologiques d’anatomie et de reproduction, de prévention des risques, ainsi que des notions liées aux droits humains. Objectifs du programme : 1) Transmettre des connaissances sur la sexualité et la santé, sur la reproduction, la contraception et la prévention des infections sexuellement transmissibles (IST) ; 2) Favoriser des choix éclairés et responsables ; 3) Lutter contre les discriminations : sensibiliser aux stéréotypes, notamment de genre, et promouvoir l’égalité et le respect entre les sexes ; 4) Prévenir les violences sexuelles et le harcèlement : inculquer les notions de consentement, de respect et de droit.
Dans le 1er degré, les apprentissages portent sur la vie affective et relationnelle. Les questions liées à la sexualité ne sont pas abordées. Objectifs du programme : 1) Apprendre à se connaître et à connaître son corps ; 2) Améliorer le bien-être, encourager les élèves à s’exprimer ; 3) Permettre des choix responsables ; 4) Respecter les autres et vivre ensemble grâce au respect et à l’empathie ; 5) Prévenir les violences sexistes et sexuelles
Dans le 1er degré, les apprentissages portent sur la vie affective et relationnelle. Les questions liées à la sexualité ne sont pas abordées. Objectifs du programme : 1) Apprendre à se connaître et à connaître son corps ; 2) Améliorer le bien-être, encourager les élèves à s’exprimer ; 3) Permettre des choix responsables ; 4) Respecter les autres et vivre ensemble grâce au respect et à l’empathie ; 5) Prévenir les violences sexistes et sexuelles
Les sciences du bonheur (sciences cognitives, comportementales, économiques…) démontrent toutes, l’avantage significatif des relations. Les initiatives territoriales essaiment pour donner à voir la puissance des relations en action. Il est temps de replacer les relations au cœur du projet de société et de bâtir les fondements et potentiels d’une société des liens et l’actualité le confirme. Institution d’un ministre chargé des mesures contre la solitude et l’isolement au Japon (Février 2021) qui suit le Royaume Uni (2018), création d’une commission internationale de l’OMS pour favoriser le lien social (OMS, Novembre 2023), légifération en faveur d’un Bureau du lien social à la Maison blanche (The National Strategy for Social Connection Act, Mai 2023), programmation d’un parti politique français concentré sur le lien social, appel à une Fédération française pour le lien social pour lutter contre les méfaits de la solitude sur la santé publique (Le monde 4 Janvier 2024), institution d’une Chaire “Social care – Lien social et santé” à l’EHESP… Que ce soit dans le domaine de la santé, de l’éducation et de la formation, du travail, de la vie de la cité et des territoires ou de l’écologie, il existe de nombreuses orientations de transformation sociétale vertueuses et souhaitables dessinant les fondements d’une société des liens.
Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde. Des registres nationaux ont démontré une inégalité dans la prise en charge de l’infarctus du myocarde chez la femme entrainant une surmortalité. L’objectif de ce rapport est de sensibiliser la population et l’ensemble des acteurs de santé à cette problématique cruciale et de formuler 4 recommandations concrètes pour améliorer la prévention, le diagnostic, la gestion et surtout le pronostic de cette maladie chez la femme.
La CNSA publie le premier rapport de la branche Autonomie. Ce rapport met en lumière les données nationales et territoriales les plus récentes concernant les publics, les solutions d’accompagnement et les moyens financiers dédiés à la politique de l’autonomie.
Depuis quelques décennies, le numérique se développe et a un impact important sur nos modes de vie, sur les modèles d'affaire des entreprises ou sur les modalités d'action de l'Etat. Il a été depuis longtemps perçu comme intrinsèquement vertueux d'un point de vue environnemental (dématérialisation, virtuel…). Est-ce toujours le cas ? Si certaines applications du numérique ont un impact positif sur l'environnement, l'impact environnemental du secteur numérique est déjà significatif et en forte croissance.
L’inactivité physique, qui concerne plus d’un quart de la population mondiale, est reconnue comme un facteur majeur d’incidence de maladies chroniques et de mortalité prématurée. Face à cette pandémie, le développement d’interventions favorisant l’adoption et le maintien d’un mode de vie actif est devenu une préoccupation majeure de santé publique. L’objectif de cette revue narrative est de proposer un état des lieux de la littérature existante sur les bénéfices des interventions utilisant les technologies numériques comme catalyseurs pour encourager l’adoption de modes de vie physiquement actifs, tout en identifiant les points de vigilance qui accompagnent leur déploiement. Les études montrent un effet modéré mais positif de ces interventions sur le niveau d’activité physique. Toutefois, si ces dernières se révèlent bénéfiques pour une majorité de personnes, indépendamment de l’âge, de l’état de santé ou de l’outil numérique mobilisé, les effets s’atténuent avec le temps et leur efficacité n’est pas avérée pour les individus ayant un statut socio-économique faible. Pour résoudre les problèmes d’équité en matière de santé, les recherches futures devraient se concentrer sur l’identification des outils numériques et des techniques de changements de comportements les plus adaptés à des populations spécifiques. Au regard de cet objectif, l’intégration des connaissances scientifiques et des modèles théoriques dans les outils et interventions numériques élaborés pour promouvoir l’activité physique reste insuffisante.
En 2018, un Programme national de dépistage organisé du cancer du col de l’utérus (PNDOCCU) a été instauré en France pour réduire l’incidence et la mortalité du cancer du col de l’utérus (CCU), ainsi que les disparités d’accès au dépistage. Cet article examine les taux de couverture du dépistage, tant spontané que par invitation, pour évaluer les progrès réalisés vers les objectifs nationaux de réduction des disparités territoriales et d’âge.
La participation au Programme national de dépistage organisé du cancer du sein (PNDOCS) est d'environ 50%. Ceci positionne la France comme un pays éloigné de la recommandation européenne de 70% de participation. Cependant, il existe un niveau élevé de dépistage du cancer du sein hors PNDOCS. L'objectif de cette étude est d'estimer le taux de couverture totale du dépistage du cancer du sein en France hexagonale de 2016 à 2022.
En France, la participation au Programme national de dépistage organisé du cancer colorectal (PNDOCCR) est faible, en-deçà des recommandations européennes. Parallèlement, il existe une pratique d’exploration endoscopique qui permet à un certain nombre de personnes d’être couvertes par une modalité de dépistage du cancer colorectal (CCR). Les données du Système national des données de santé (SNDS) permettent de comptabiliser et de caractériser les personnes ayant réalisé un test immunochimique fécal (FIT) ou une exploration endoscopique colorectale. L’objectif de ce travail était d’estimer les taux de couverture du dépistage du CCR chez les hommes et les femmes de 50 à 74 ans pour l’année 2022. Au niveau national, le taux de couverture était de 47,8%, plus élevé pour les femmes. Il augmentait avec l’âge et variait selon les régions. La majorité (58,4%) des personnes couvertes avaient réalisé un FIT dans un délai inférieur ou égal à 2 ans, avec d’importantes variations régionales : en Bourgogne-Franche-Comté, près de deux personnes couvertes sur trois l’étaient par un FIT alors qu’en Corse, cette proportion n’était que d’un tiers. Au niveau national, la proportion de personnes couvertes par une exploration endoscopique colorectale (sans FIT récent) était de 41,6%. Elle était d’environ un tiers en Bourgogne-Franche-Comté, Normandie et à La Réunion, et d’environ deux tiers en Guyane et en Corse. Si les taux de participation au PNDOCCR sont publiés annuellement par Santé publique France, ce travail montre l’intérêt d’y ajouter la publication régulière des taux de couverture, meilleur reflet de la réalité du dépistage du CCR dans notre pays.