Le gouvernement a enfin présenté ce lundi 27 novembre la stratégie nationale sur la biodiversité à l'horizon 2030. Elle comprend 40 mesures et 200 actions qui visent à mettre fin à l'érosion de la biodiversité.
Veille documentaire
Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.
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Mettre en œuvre des démarches participatives en promotion de la santé nécessite d'en comprendre les fondements. Définitions et présentation des différents concepts en jeu.
Cet ouvrage dresse un panorama des inégalités sociales dans plusieurs domaines. La satisfaction dans la vie et le bien-être, l’état de santé des jeunes et leur consommation de substances psychoactives, la proximité sociale des personnes en couple, les inégalités de niveau de vie et de patrimoine, les inégalités d’orientation à la fin du collège et les inégalités en matière de santé, en France et en Europe sont ainsi abordés en mobilisant les nomenclatures socio-économiques ou socioprofessionnelles. Par ailleurs, deux dossiers analysent le niveau de vie des ménages en 2022, année marquée par une forte inflation.
Le risque que des bactéries résistantes aux antibiotiques passent des animaux à l’humain (et vice-versa) est réel. Quels sont les couples de bactéries et d’antibiotiques à surveiller en priorité ?
« Gender fluid », « non binaires », « queer »… La palette des autodéterminations de genre augmente progressivement parmi les jeunes générations. Décryptage.
L'Aide médicale de l'Etat (AME) permet-elle de lever les barrières financières à l'accès aux soins des personnes étrangères en situation irrégulière ? De précédents travaux menés à partir de l'enquête Premiers pas ont montré que l'AME est associée à un non-recours aux soins moins fréquent, mais aussi qu'elle favorise les consultations médicales en cabinet ou en centre de santé, plutôt que dans les services d'urgence et les associations. Ainsi, les modalités de recours aux soins des personnes couvertes par l'AME se rapprochent de celles du reste de la population résidente. Dans cette seconde étude, nous comparons les consommations de soins de ville des personnes couvertes par l'AME à celles des personnes couvertes par la Complémentaire santé solidaire non contributive (CSS-NC). Comme les bénéficiaires de l'AME, les personnes couvertes par la CSS-NC ont de faibles revenus. Elles sont aussi en plus mauvais état de santé que le reste de la population française. Les consommations de soins ambulatoires de ces deux groupes de population sont-elles proches ? Les résultats, basés sur l'étude de deux cohortes administratives construites à partir des données de remboursement de 2018 de la Caisse primaire d'assurance maladie de Gironde, montrent que les deux populations ont des consommations voisines sur l'ensemble des postes de soins, à l'exception des postes bien couverts par la CSS-NC, mais en revanche peu couverts par l'AME, comme les soins dentaires et l'optique.
Une sélection de pistes d’actions à mettre en place pour faire face à cette éco-anxiété chez les #enfants et les #jeunes. La première partie est consacrée au développement des compétences psychosociales (#CPS) qui représente un levier important pour gérer les émotions difficiles et les exploiter pour agir. La deuxième partie présente l’importance de l’éducation au développement durable (#EDD) qui est un autre levier essentiel pour diffuser des connaissances, impulser des changements de comportements et permettre à chacun d’être acteur au quotidien de la transformation et de la mise en œuvre des objectifs de développement durable. Une présentation d’un panel d’#initiatives inspirantes impulsées par les jeunes clôture ce dossier.
Dans la région Bourgogne-Franche-Comté, collectivités et entreprises se mobilisent pour manger mieux et bouger plus tout au long de la vie. Aux côtés de l'Agence Régionale de Santé, l'IREPS (instance régionale d'éducation et de promotion de la santé) anime le réseau d'acteurs du Programme National Nutrition Santé. Au menu, des ressources régionales à connaître et des conseils à ne pas manquer.
Dans l’hypothèse d’une dégradation de leurs capacités physiques et cognitives, la majorité (60%) des Français privilégient l’adaptation de leur logement à l’entrée dans un logement adapté. Ce souhait est d’autant plus renforcé chez les seniors. Les trois-quarts des retraités (73%, soit + 13 points) envisagent avant tout aménager leur domicile pour y rester en sécurité. Un quart (24%) de la population française souhaiterait plutôt emménager dans un logement adapté, à savoir un habitat intermédiaire entre le domicile et l’établissement spécialisé. Paradoxalement, les retraités, qui sont plus susceptibles d’être concernés par ce type d’habitat, souhaitent moins souvent y emménager (ils sont 17%, soit -7 pts au regard de l’ensemble des Français interrogés). La mobilité vers ce type d’habitat n’est pas anticipée. Elle est plus particulièrement envisagée lors d’une dégradation de l’état physique ou cognitif. L’habitat dit intermédiaire, entre le domicile et l’EHPAD, en dehors des résidences services, sans distinction claire entre résidences autonomie (relevant du médico-social) et résidences services seniors (offre de logement privée) est peu connu dans sa diversité, notamment les habitats inclusifs (habitat partagé, béguinage…) avec des projets de vie partagée. Toutefois, ces habitats sont perçus comme étant de possibles réponses aux besoins de lutte contre l’isolement, de sécurisation liés à l’avancée en âge tout en préservant son indépendance, son espace personnel. L’offre de services partagés (restauration, ménage) est plus particulièrement appréciée des retraités.
Par une personnalisation fluide poussée à l’extrême, TikTok a créé une plateforme addictive, en dépit des éléments de plus en plus nombreux qui attestent les graves risques pour la santé qui découlent d’une utilisation compulsive des réseaux sociaux par les enfants. En examinant de plus près les risques du ciblage de contenu sur TikTok, les recherches d’Amnesty International montrent que la page « Pour toi » peut facilement faire tomber les enfants et les jeunes qui signalent un intérêt pour la santé mentale dans des « spirales » de contenus potentiellement dangereux, notamment des vidéos qui idéalisent et encouragent les pensées dépressives, l’automutilation et le suicide. Les risques liés à TikTok renforcent les difficultés des enfants et des jeunes aux prises avec la dépression, l’anxiété et l’automutilation en mettant leur santé mentale et physique en danger.
Les effets du dérèglement climatique sont visibles partout dans nos territoires et les élus locaux, comme toujours, sont en première ligne de ces difficultés et des solutions à leur apporter. Leur action n'est pas simple à mettre en oeuvre et comporte de multiples volets. La question du « comment faire » se pose à chacun d'entre eux : comment repérer les vulnérabilités sur lesquelles il faut intervenir en priorité ? Comment identifier, lancer ou accélérer des projets favorables à l'environnement ? Comment concilier les urgences du quotidien et la demande sociale avec des enjeux de long terme ? Comment organiser sa gouvernance et mobiliser son administration pour que les objectifs entrent dans les pratiques ? Comment trouver les relais et les échos dans son territoire pour entraîner les autres acteurs dans une dynamique vertueuse ? Ce rapport se fait le porte-parole des réussites et bonnes pratiques locales et appelle de passer de la logique des pionniers à celle de la massification. Le rapport est construit comme une boite à outils et met à disposition les méthodes, ressources et exemples inspirants pour réussir sa propre transition environnementale. Il se veut une boussole pratique pour répondre aux interrogations rencontrées par les élus et leur administration.
L’observatoire régional de la santé Bourgogne-Franche-Comté mène une étude autour du Covid-19 et de ses conséquences sur la santé mentale. Elle recherche des personnes âgées entre 18-24 ans et 50-64 ayant souffert de problèmes avant et après la pandémie.