Huit cas graves de grippe sur dix admis en réanimation et déclarés à Santé publique France concernent des personnes non vaccinées. Alors que l’épidémie sature les hôpitaux, des soignants constatent que même les populations à risque rechignent à recevoir leur injection.
Veille documentaire
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
Et pour ne rien manquer, n'hésitez pas à vous inscrire à la newsletter quotidienne La Veille du jour en vous inscrivant depuis cette page.
Pour éviter des colères ou cacher des réalités difficiles aux enfants, les parents peuvent recourir à de petits mensonges. Une solution de facilité qui peut nuire au lien de confiance.
Située à l’hôpital de la Croix-Rousse, la chambre pédagogique est unique en son genre. Dédiée à l’éducation des futurs et jeunes parents sur les enjeux de santé environnementale, cette chambre pédagogique est également accessible aux sages-femmes libérales de la communauté territoriale de santé Croix-Rousse Presqu’île.
Cet article traite du déplacement du concept d’autonomie sociale du champ de la santé au champ du social, qui reste pertinent lorsque nous cherchons à comprendre comment les personnes en grande marginalité perçoivent leur place et leur rapport à leur accompagnement. Ce déplacement du paradigme de la prise en charge à celui de l’accompagnement vient éclairer des dimensions jusque-là inaperçues et permet de penser la réconciliation de la figure de l’individu-acteur avec celle de l’individu-autonome.
La colère et le sentiment d’injustice des jeunes face à l’inaction environnementale et à ses impacts présents et futurs sont justifiés. Néanmoins, il est possible de renforcer leur confiance en l’avenir, leur résilience et leur pouvoir d’agir face aux défis complexes de notre monde et à l’évolution vertigineuse de ceux-ci.
Sur la période 2017-2021, 627 personnes écrouées sont décédées par suicide (dont 598 personnes détenues et 95,5 % d'hommes). Le taux annuel de suicide était de 17 pour 10 000 personnes chez les hommes et de 23 pour 10 000 personnes chez les femmes. Il était, à âge égal, 10 fois plus élevé pour les hommes et 40 fois plus élevé pour les femmes en prison qu'en population générale. Un trouble psychiatrique a été rapporté pendant la détention pour 64 % des cas de suicide. Parmi les personnes concernées, près d'un tiers n'avait pas d'antécédent psychiatrique connu avant l'incarcération. Le suicide avait été précédé d'une ou de plusieurs tentatives de suicide pour 46 % des cas, avant ou pendant l'incarcération. La semaine précédant le suicide, un événement marquant, le plus souvent de nature pénale, carcérale ou familiale, avait été retrouvé pour 61 % des cas et 60 % avaient consulté à l'unité sanitaire. Au moment du suicide, un risque suicidaire avait été repéré par l'administration pénitentiaire pour 44 % des cas. Le taux de suicide est 6 fois plus élevé la première semaine de détention, deux fois plus élevé en détention provisoire, et 14 % des suicides sont survenus au quartier disciplinaire. Santé publique France considère que le taux de mortalité par suicide chez les personnes détenues constitue un point d'attention et met en avant l'importance de renforcer le déploiement des dispositifs de prévention du suicide en milieu carcéral.
Plus de 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle : c’est l’augmentation moyenne des températures mesurées par les agences de surveillance du climat pour l’année 2024. Un record qui ne s’explique que partiellement par les activités humaines émettrices de gaz à effet de serre et que les scientifiques cherchent désormais à comprendre.
Certains des problèmes de santé publique les plus persistants dépendent du comportement humain. Il s'agit, entre autres, d'une surconsommation d'antibiotiques, de la consommation de tabac et d'alcool, d'une vaccination sous-optimale et d'un dépistage du cancer. Ces défis appellent une action fondée sur des données factuelles qui s'appuie sur la compréhension de ces comportements en matière de santé et du contexte culturel dans lequel ils se déroulent et qui est axé sur l'engagement avec les personnes touchées. L'utilisation de preuves, de modèles et de méthodes à partir d'idées comportementales et culturelles (BCI) permet de s'adapter et de les affiner avec précision aux services, les politiques et la communication liés à la santé, améliorant ainsi leurs résultats. L'un des éléments clés de l'ICB est l'évaluation d'impact, dont l'objectif principal est d'évaluer si une intervention mise en œuvre a atteint son objectif escompté. Ce guide fournit des considérations et des outils pour aider à évaluer l'impact des interventions qui traitent du comportement en matière de santé. Il complète le Guide de l'OMS pour l'adaptation des programmes de santé en encourageant une évaluation solide des interventions et en fournissant des points de départ pour collaborer avec un expert évaluateur. Le présent guide examine les questions clés qui sous-tendent l'évaluation de l'impact des interventions portant sur le comportement en matière de santé: pourquoi évaluer? Quand évaluer? Que va-t-il évaluer? Comment évaluer? Pourquoi l'intervention (non pas) a-t-elle fonctionné? Une boîte à outils d'accompagnement offre des cadres, un outil de décision et des informations approfondies qui complètent les conseils donnés dans la première partie du guide.
Ce cadre fondé sur des données probantes et le guide des ressources sont des outils pratiques destiné à soutenir l'amélioration des résultats en matière de santé par les responsables des soins de santé et des communautés, en abordant les questions sociales non médicales liées à la santé qui ont une incidence sur la santé des personnes.
Cette recommandation s’adresse aux professionnels exerçant au sein des services mandataires, des établissements et services sociaux et médico-sociaux hébergeant ou accompagnant les personnes en mesure de protection, aux médecins et équipes de soins, aux mandataires judiciaires à la protection des majeurs, aux préposés d’établissements, aux mandataires familiaux, , aux services sociaux de droit commun, aux personnes concernées et à leurs proches aidants. Elle peut aussi être utile aux juges des tutelles.
Date limite de dépôt de dossiers : 28 février 2025. Cet appel à projets est exclusivement destiné associations nationales agréées jeunesse et éducation populaire conformément à l’article 8 de la loi n° 2001-624 du 17 juillet 2001. Seront soutenus, les projets s’inscrivant dans les priorités suivantes : 1) Engagement ; 2) Actions favorisant l’engagement et l’accès aux responsabilités, notamment des jeunes ; 3 ) Actions permettant la promotion de la citoyenneté, l’égalité de genre et la lutte contre toutes formes de discrimination.
Cette dixième édition de « Drogues et addictions, chiffres clés » met à jour les données disponibles sur les addictions et la consommation de substances psychoactives, incluant les drogues légalement accessibles aux adultes et les drogues illicites.