Pour permettre à d’autres collectivités locales de faciliter la mise en œuvre d’un diagnostic sur l’activité physique et/ou la sédentarité de manière à les documenter sur
leur territoire, ce guide méthodologique présente les principes, les sources d’informations, les outils permettant de mobiliser les acteurs territoriaux et la population dans cette démarche participative, et un choix d’indicateurs pouvant être utilisés en fonction de son périmètre, des objectifs fixés et des moyens mobilisables.
Veille documentaire
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
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L'Assurance Maladie met à disposition du grand public un ensemble de données sur une cinquantaine de pathologies, traitements chroniques et épisodes de soins : diabète, syndrome coronaire aigu, insuffisance cardiaque, AVC aigu, cancer du sein, cancer du poumon, maladie de Parkinson, épilepsie, mucoviscidose, traitements anxiolytiques, maternité, etc. Quels sont les effectifs de patients pris en charge pour ces différentes pathologies ? Comment évolue la prévalence ? Comment l'effectif est-il réparti sur le territoire français ? Quelles sont les dépenses remboursées affectées à chacune des pathologies identifiées ?
La Coordination Nationale d’Accompagnement des Étudiantes et Étudiants, autrement dit Cnaé, est le nom de la nouvelle plateforme gratuite et confidentielle d’écoute, d’accompagnement, d’information et de signalement que vient de mettre en place le ministère de l’enseignement supérieur pour aider les étudiants en situation de mal-être ou confrontés à des situations de violence ou de discrimination.
Suivant leur sexe et leur apparence ethnique, les patients seront évalués différemment par les soignants des urgences, selon une étude réalisée au CHU de Montpellier. Ainsi les un homme blanc aurait 50% de chances supplémentaires qu’une femme noire d’être considéré comme une urgence vitale. Les chercheurs proposent des pistes pour remédier à ces discriminations
Magali Coldefy avec Philippe Maugiron, présente la contribution qu’ils ont faite pour le Haut conseil sur la qualification d'une approche population-centrée et partenariale en santé mentale. Ils plaident pour une réforme du système de santé mentale et proposent des orientations et des méthodes pour une meilleure intégration de la population, des usager.e. s et des patient.e.s dans la conception et le fonctionnement du système de santé, conçue comme moteur de transformation du système de santé », dans le champ de la santé mentale. Une meilleure information sur la santé mentale, les troubles, les ressources existantes, est nécessaire ainsi que la promotion de la santé mentale et la prévention des troubles psychiques. Il est nécessaire d’impliquer les personnes concernées et leurs proches comme partenaires, pour favoriser leur autonomie. Ils devront également être impliqués dans la gouvernance.
Le retour sur quinze ans d’expérience nous fait nous poser la question de l’existence d’une réelle politique vaccinale. La conduite d’actions synergiques incluant la prise de conscience collective de l’importance de la vaccination par les professionnels de santé, les établissements de santé et les patients, l’interopérabilité des outils numériques, le besoin de considérer conjointement la littératie en santé et l’empouvoirement est indispensable. Les externalités négatives en perspective sociétale de la non-vaccination sont humainement graves et médico-économiquement élevées. Les ressources sanitaires humaines et financières sont limitées. Une réflexion sociétale sur leur modalité de dispensation à l’échelle populationnelle est à mener et doit intégrer la capacité du système de santé à absorber d’autres crises sanitaires, sans quoi ces crises exposeront la population à une augmentation des inégalités sociales de santé et à un effondrement du système de santé.
Comment expliquer la désaffection croissante dont la vaccination fait l’objet en France, ainsi que la persistance de doutes sur l’utilité et la sécurité des vaccins qui s’expriment de manière paroxystique lors des crises sanitaires ?
En 2023, la formation « Âge » du Haut Conseil de la Famille, de l’Enfance et de l’Âge a focalisé ses travaux sur les conditions à réunir pour permettre aux personnes âgées vulnérables de bien vivre et bien vieillir à domicile. Le Conseil de l’âge a souhaité conduire des enquêtes, auprès de trois maillons majeurs de la politique du grand âge au
niveau local afin de disposer d’un éclairage sur leurs pratiques, leurs besoins et les difficultés auxquels ils sont confrontés pour mener à bien leurs missions auprès des personnes âgées : les centres communaux et intercommunaux d'action sociale (CCAS / Cias) ; les équipes médicosociales départementales (EMS APA) ; et les Services d'aide et d'accompagnement à domicile (Saad).
Les radiographies peuvent donner lieu à une discrimination raciale, en particulier, lorsqu’elles sont utilisées pour estimer l’âge de jeunes migrants qui sont encore mineurs.
Au cours des deux prochaines décennies, toutes les régions du Québec connaîtront une augmentation de la proportion de leurs citoyennes et citoyens âgés de 65 ans et plus. Les petites municipalités rurales seront les plus touchées par cette tendance. Focus sur le laboratoire Mosaïc qui codéveloppe des solutions innovantes pour soutenir le bien vieillir dans les espaces ruraux québécois.
En 2021, en France, 7 % des personnes de 60 ans ou plus vivant à leur domicile sont en perte d’autonomie. Ce taux dépasse 9 % dans 16 départements. Il s’agit pour la quasi totalité de territoires où la pauvreté est plus marquée qu’ailleurs et disposant souvent d’une offre restreinte de places d’hébergement pour personnes âgées dépendantes. La perte d’autonomie à domicile est légèrement plus répandue dans les communes urbaines : la population des seniors y est plus souvent pauvre et est un peu plus âgée que dans les communes rurales. Par ailleurs, l’accès plus aisé en milieu urbain à des soins ou à de l’aide peut faciliter le maintien à domicile.
Ce numéro d'Epitomé de la Fnors met en relief la pluralité des approches mises en œuvre par les ORS pour contribuer à une meilleure connaissance des besoins de la population des personnes âgées.