Veille documentaire

Ce dossier vise à soutenir les professionnel·les dans la mise en place d’actions de promotion de l’activité physique et du mouvement auprès d’un public adulte dans une perspective de promotion de la santé et de réduction des inégalités. Il présente des repères théoriques, des leviers pour l’action, une grille réflexive et des ressources pour aller plus loin.

Les personnes en surpoids sont souvent soupçonnées de « manquer de volonté », et stigmatisées en conséquence. Pourtant, il est établi que la prise de poids n’est pas qu’une affaire de choix personnel.

Que vivent les personnes très corpulentes dans une société comme la nôtre ? Que révèle le stigmate de gros ou de grosse des normes qui pèsent différemment sur les hommes et sur les femmes ?

Le Collectif national des associations d’obèses (CNAO) en campagne pour les Journées Mondiales de l’obésité qui se tiennent du 4 au 6 mars. Thème retenu pour cette édition 2024, la lutte contre les stigmatisations. Le CNAO a réalisé un spot dont le message-clé est : « L’obésité n’est pas un choix ». A voir sans modération.

Il sera dévoilé simultanément à Besançon (Doubs) et à Dijon (Côte d'Or) à l'occasion de la 20e Semaine européenne de prévention et d’information sur l’endométriose qui a lieu du 4 au 10 mars 2024. La filière Endo BFC inaugure un programme inédit d'éducation thérapeutique du patient en ligne (e-ETP) pour les femmes malades et les professionnels de santé.

Ecrire un projet, c’est presque un métier... Vous avez à utiliser Ma démarche Santé et vous vous posez des questions sur ce qui est attendu dans chaque rubrique ? Ce guide vous accompagne pas-à-pas dans la rédaction de votre projet tout en vous apportant des conseils concrets pour un projet de qualité.

Un événement inédit en région tourné vers l’approche « une seule santé – santé environnement » et visant à dessiner, avec et en faveur des acteurs du territoire, les actions qui porteront le futur contrat local de santé du pôle métropolitain Nord Franche-Comté, sera organisé le 14 mars 2024 à Voujeaucourt, espace de la Cray. Au programme : temps d’interconnaissance, « conférence autrement », déambulations, ateliers et foire aux témoignages qui permettront de partager des initiatives et de s’inspirer pour co-construire un territoire plus durable et résilient face aux enjeux sanitaires et climatiques.

Dans un contexte marqué par une augmentation de tous les coûts de la vie, les Français sont de plus en plus nombreux à renoncer à l’achat de produits d’hygiène de base. Cette année, un Français sur deux indique que le contexte économique l’incite à réduire sa consommation de produits d’hygiène, une proportion en forte progression (+16 points vs. 2023). Encore plus préoccupant, l’étude dévoile qu’un Français sur cinq doit arbitrer entre l’achat de nourriture ou de produits d’hygiène ; ce chiffre atteint un niveau alarmant chez les jeunes de moins de 25 ans, deux fois plus nombreux à être concernés (40%). La précarité menstruelle se maintient elle aussi à un niveau élevé : 16% des femmes déclarent manquer de protections menstruelles pour elles ou leur fille, par manque d’argent (15% en 2023).

De nombreux rapports montrent que les populations les plus riches émettent davantage de gaz à effet de serre que les plus pauvres. Ce constat doit pourtant être nuancé pour organiser au mieux la lutte contre le changement climatique.

Une instruction ministérielle détaille le rôle que les services déconcentrés de l'État vont jouer pour faire vivre la Grande Cause nationale 2024 partout en France. Les territoires ne bénéficiant pas d'animation spécifique autour des Jeux olympiques sont particulièrement visés.

Alors que le 3ème Plan National Maladies Rares (PNMR3, 2018-2022) a permis d’atteindre des objectifs ambitieux dans le domaine du diagnostic et du suivi des traitements avec la mise en place de deux observatoires nationaux pilotés par les 23 filières de santé maladies rares, sa prolongation en 2023 a été l’occasion de mener d’intenses travaux d’évaluation et de préparation d’un 4ème plan (PNMR4) dont les premiers jalons ont été initiés.

En mars, l’Institut national du cancer lance sa nouvelle campagne de communication pour sensibiliser les Français à l’importance du dépistage du cancer colorectal. Il appelle les femmes et les hommes à partir de 50 ans à franchir ce pas décisif et souhaite inscrire le dépistage dans leur routine santé tous les 2 ans.