En promotion de la santé, le concept de « besoin de santé » s’inscrit dans le champ de la santé globale. Les besoins de santé peuvent donc relever de n’importe quel déterminant : accès aux ressources, aux droits ou aux services, lien social, savoir-faire, capacité à communiquer, estime de soi, etc. S’intéresser seulement au niveau de connaissance ou aux habitudes de vie des personnes est donc insuffisant au regard du grand nombre de déterminants.
Veille documentaire
Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.
Pour consulter la veille documentaire sur une thématique du Rrapps ou sur un type d'information particulier (Appels à projet, publications, outils pédagogiques), vous pouvez utiliser les filtres ci-contre.
Pour que les adolescent·es soient en bonne santé et se sentent bien pendant cette étape de leur vie et à l’âge adulte, il est fondamental de mettre en avant le bien-être psychologique et d’avoir accès aux soins de santé mentale.
Tou·te·s les porteurs·euses de projets, sur les territoires, en lien avec la santé mentale des jeunes peuvent postuler. Clôture des candidatures le 14 avril.
Un urbanisme favorable à la santé (UFS) promeut une démarche de santé globale et la positionne comme facteur essentiel à l’attractivité du territoire, tout en luttant contre les inégalités de santé. Il s’agit d’aborder les questions d’urbanisme et d’aménagement selon une approche systémique et positive de la santé. Ce concept a été initié par le réseau des villes santé de l’OMS Europe en 1987, comme étant « des pratiques d’aménagement qui tendent à promouvoir la santé et le bien-être des populations tout en respectant les 3 piliers du développement durable ».
Selon un rapport publié par le Comité permanent de la santé de la Chambre des communes du Canada, le traitement des maladies chroniques liées à l’inactivité physique coûte au système de santé jusqu’à l'équivalent de 4 % des coûts totaux des soins de santé. Ce document met l'accent sur l’importance de développer la littératie physique pour la vie et dans divers environnements et milite pour que la littératie physique soit intégrée dans les planifications, les programmes et les politiques.
Cette Note trimestrielle de conjoncture s'intéresse essentiellement aux évolutions des valeurs moyennes des indicateurs de bien-être subjectif produits par le CEPREMAP. Ceux-ci évoquent une situation contrastée, dans des dimensions et modalités multiples.
Si l’analyse de drogues est désormais reconnue comme un outil de réduction des risques, il demeure important d’évaluer son efficacité. Quel impact sur la réduction des événements indésirables liés à la consommation ? Quelle amélioration des connaissances, compétences et capacités d’agir des personnes qui consomment des produits psychoactifs ? C’est à ces questions que va répondre l’étude CheckNow pilotée par l’équipe SanteRcom du laboratoire SESSTIM (Sciences économiques et sociales de la santé & traitement de l’information médicale) du CNRS et de l’université d’Aix-Marseille. Elle est menée en partenariat avec l’association d’usagers Psychoactif.
L’insécurité alimentaire est reconnue comme un problème majeur de santé publique et peut constituer une barrière importante à la consommation d’une alimentation équilibrée. L’instabilité économique et les pertes d’emploi associées à la pandémie de COVID-19 au printemps 2020 peuvent avoir un impact important sur la sécurité alimentaire des ménages québécois.
À l’aide d’études transversales, 1) décrire l’ampleur, l’évolution et les populations vulnérables à l’insécurité alimentaire au Québec dans le contexte de la pandémie de COVID-19 et 2) identifier les différences sur le plan de la consommation alimentaire habituellement associée à l’insécurité alimentaire chez les adultes québécois.
Cette veille réalisée par l’équipe Saine alimentation et mode de vie actif (SAMVA) est destinée en premier lieu aux acteurs du réseau de santé publique. Les publications scientifiques recensées sont choisies pour leur pertinence en regard de la promotion de la saine alimentation et du mode de vie physiquement actif, dans une perspective de prévention des problèmes reliés au poids et des maladies chroniques.
Lancés en 2019, les dispositifs « Aisance Aquatique » et « Savoir Rouler à Vélo » ont pour objectif
de garantir à chaque enfant l’acquisition de savoirs sportifs fondamentaux indispensables pour
leur épanouissement, leur santé, leur autonomie et leur sécurité.
Afin d’accompagner les collectivités dans la mise en œuvre de ces deux dispositifs, le ministère
chargé des Sports a élaboré 2 guides construits autour de fiches thématiques.
Ces 2 guides portent l’ambition de donner aux collectivités les clés de compréhension et de
mise en œuvre, pour l’un de l’Aisance Aquatique, pour l’autre du Savoir Rouler à Vélo. Construits
autour de 6 fiches thématiques, ils ont vocation à fournir des informations générales et pratiques
et s’accompagnent à la fin de chaque fiche de liens pour aller plus loin dans les informations et
ressources à disposition.
Dans le cadre de la lutte contre les espèces exotiques envahissantes en France, le ministère de la Transition écologique et l’Office français de la biodiversité lancent un premier plan d’action pour prévenir l’introduction et la propagation des espèces exotiques envahissantes. Il vise notamment à renforcer la coordination et la mobilisation des acteurs et amplifier la coordination des politiques de santé humaine, santé animale et santé de l’environnement dans une approche « Une seule santé ». Elaboré en concertation avec l’ensemble des parties prenantes, et notamment les instances scientifiques, les organisations socioprofessionnelles et les ONG, il détaille et renforce le volet prévention de la stratégie nationale relative aux espèces exotiques envahissantes adoptée en 2017.
Réutiliser les eaux usées pour économiser l’eau douce, c’est l’une des vertus de ce que l’on nomme la « reuse ». Cette démarche constitue un levier essentiel dans un contexte où le réchauffement climatique augmente la pression sur la ressource hydrique.
Agir pour freiner le réchauffement climatique exige non seulement de bien comprendre les problèmes, mais aussi d’adopter une approche holistique pour inciter les individus à choisir des modes de vie plus durables. Il s’agit pour cela d’identifier les facteurs qui les poussent à minimiser leurs impacts négatifs sur l’environnement – par exemple, la conversion aux mobilités douces, le refus des articles à usage unique ou l’effort apporté au recyclage – et ceux qui entravent cette démarche.