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Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
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Campagne de com
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E-CANCER.FR

Les comportements et habitudes de vie peuvent avoir un impact considérable sur notre santé et en particulier sur le risque de développer un cancer. Alors que chaque année, près de la moitié des nouveaux cas de cancers pourraient être évités, grâce à des gestes du quotidien, les Français semblent ne pas toujours percevoir le juste poids des facteurs de risques évitables sur la survenue de la maladie. Consommation de tabac et d’alcool, alimentation déséquilibrée et sédentarité : quatre comportements qu’il convient d’ajuster aujourd’hui pour une meilleure santé demain.

Actualité
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LE MONDE.FR

Les troubles du neurodéveloppement sont en augmentation chez les enfants. La stratégie du gouvernement met l’accent sur la nécessité de dépister et de prendre en charge le plus tôt possible, mais les délais sont souvent encore beaucoup trop longs.

Actualité
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FRACEN ASSOS SANTE

Ce 2 avril se tient la Journée mondiale de sensibilisation à l’autisme. Elle marque le coup d’envoi du mois dédié aux troubles du spectre de l’autisme (TSA). Selon les estimations, ils affecteraient environ 1,5 % de la population. D’importantes avancées ont été enregistrées au cours des dernières années, en particulier en termes de prise en charge. Une nouvelle stratégie nationale autisme et troubles du neurodéveloppement 2023-2027 est attendue. Elle devrait prolonger la démarche entamée en 2005 avec le premier plan autisme et faire du sujet des adultes avec TSA une priorité.

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INSERM.FR

Les ventes de produits CBD se multiplient, mettant en avant des vertus « bien-être ». Mais scientifiquement, rien n’est prouvé sur les éventuels effets thérapeutiques du cannabidiol.

Appel à projet
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ARS BFC

Date limite de dépôt de dossier : 26 mai 2023. Cet appel à manifestation d’intérêt permettra de soutenir au niveau local des actions qui accompagnent la déclinaison des programmes régionaux de santé, des programmes régionaux de lutte contre le tabac, et des feuilles de route régionales de déclinaison du plan national de mobilisation contre les addictions. Les actions soutenues au niveau régional, annuelles ou pluriannuelles (2 à 3 ans) s’inscriront dans les 3 axes retenus par les instances du fonds : Axe 1 : Protéger les jeunes et prévenir l’entrée dans le tabagisme et autres addictions avec ou sans substance ; Axe 2 : Aider les fumeurs à s’arrêter et réduire les risques et les dommages liés aux addictions avec ou sans substance ; Axe 3 : Amplifier certaines actions auprès de publics prioritaires dans une volonté de réduire les inégalités sociales de santé.

Site web
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VILLES-SANTE.COM

Le Réseau français Villes-Santé, créé en 1990, est un réseau national composé de près de 100 villes et intercommunalités, issu du mouvement européen des Villes-Santé. Au travers de ses productions écrites, il vise à partager, soutenir et mettre en valeur les actions des Villes-Santé.

Publication
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INFORMATION DIETETIQUE 2022 ; 4 : pp. 40-41

Les diététiciens apportent une contribution essentielle en santé publique. L'expertise diététique se situe à différents niveaux de l'action.

Actualité
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IREPS NOUVELLE-AQUITAINE

Qu’est-ce que le concept de One Health (une seule santé) peut apporter à nos projets en promotion de la santé et d’éducation à l’environnement et développement durable ? Une série de 3 webinaires complémentaires à destination des acteurs du champ de la promotion de la santé et de l'éducation à l'environnement proposé en partenariat avec Graine Nouvelle-Aquitaine et soutenu par la Région Nouvelle-Aquitaine

Publication
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VIE SOCIALE 2022 ; 4 : pp. 145-59

À l’échelle de la population mondiale, l’accroissement de l’espérance de vie a pratiquement doublé lors du siècle dernier. Avec l’amélioration continue des réponses fournies en termes de provision de services, cette tendance s’étend désormais dans une certaine mesure aux personnes avec déficience intellectuelle (di). Toutefois, avec l’avancée en âge, les personnes avec déficience intellectuelle feront plus probablement l’objet d’un niveau de contraintes, de restriction des libertés, plus élevé en relation avec des processus dits de double discrimination, liés d’une part au vieillissement et d’autre part, à la situation de handicap. Ce « cumul des vulnérabilités » amène une vigilance accrue dans les pratiques d’accueil et d’accompagnement de ce public. L’enjeu d’un accompagnement centré sur la qualité de vie et le maintien des capacités implique un décloisonnement des secteurs du handicap et du vieillissement vers une réponse articulée et flexible qui puisse mutualiser les pratiques probantes et créer un dialogue intersectoriel centré sur les besoins des personnes qui vieillissent avec une déficience intellectuelle.
Au sein de cet article, nous approcherons le concept d’autodétermination et son abord en tant que principe permettant d’orienter les pratiques d’accompagnement des personnes vieillissant avec une déficience intellectuelle.

Publication
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VIE SOCIALE 2022 ; 4 : pp. 67-78

Dans les années 1980, l’augmentation spectaculaire de l’espérance de vie des personnes en situation de handicap a posé la question de leurs lieux et de leurs modes de vie après 50 ans. C’est ainsi que les établissements et services médicosociaux pour « adultes handicapés » se sont trouvés dépourvus devant cette avance en âge. Les professionnels de terrain et les familles des personnes en situation de handicap ont fait face en « bricolant » localement des réponses, soit à domicile, soit en institution. Les politiques publiques ont tardé à prendre en compte cette évolution, mais la politique publique en direction du champ du handicap a quand même bougé. Ce que les personnes en situation de handicap vieillissantes ont surtout mis en évidence, c’est l’incapacité des « politiques vieillesse » à satisfaire leurs souhaits en matière de modes et de lieux de vie. De ce fait, elles ont surtout mis en lumière, de façon plus générale, l’incapacité des « politiques vieillesse » actuelles à répondre aux besoins de toutes les « personnes âgées en incapacité ». En 2020, l’avance en âge des personnes en situation de handicap a donc contribué, parmi beaucoup d’autres facteurs, à la promesse législative de la création d’une nouvelle branche de Sécurité sociale, la branche Autonomie, pour répondre au besoin d’accompagnement de toutes les personnes « indépendamment de leur âge et de leur état de santé ». L’opérationnalité rapide de cette branche Autonomie pilotée par la cnsa et son financement pérenne doivent devenir une des priorités de l’actuel gouvernement.

Publication
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VIE SOCIALE 2022 ; 4 : pp. 49-64

Les champs du vieillissement et du handicap sont actuellement marqués par le développement de logements qui se veulent plus adaptés, plus ouverts, plus soutenants. Si la présence d’une vie partagée entre habitants est un élément central des projets qui bénéficient de financements publics, un débat émerge aujourd’hui sur les implicites de cette catégorisation de « l’habitat inclusif ». Dans quelle mesure le souhait de partager son habitat constitue-t-il une motivation ? Comment et avec quelles conséquences une vie collective est-elle susceptible d’émerger ? À partir d’une étude de cas centrée sur l’expérience vécue par les habitants d’un « béguinage » implanté dans une commune rurale, cet article décrit d’abord une pluralité de motivations à quitter son ancien logement. Il analyse ensuite l’ambivalence des projections en matière de vie collective. Enfin, il rend compte de l’émergence de relations de voisinage à géométrie variable. Au final, permettre aux personnes, quel que soit leur âge ou leur handicap, d’avoir plus de choix en matière d’habitat implique qu’elles soient libres d’habiter ou non avec d’autres personnes et le cas échéant de décider de ce qu’elles partagent.

Publication
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VIE SOCIALE 2022 ; 4 : pp. 35-47

L’auteur tente ici de partager à la fois son ressenti et ses constats, éclairés des analyses des spécialistes de la vieillesse, pour interroger la place et le rôle dévolus aux Aîné·e·s dans notre société. La réponse semble être dans l’initiative des Aîné·e·s, les premièr·e·s « sachant·e·s » sur la vieillesse par leur expertise d’usage, de se mobiliser eux(elles)-mêmes et, dans leur autoreprésentation, de prendre la parole pour « faire bouger les lignes ».