Veille documentaire

Favoriser la pratique d’activité physique et sportive pour toutes et tous et dans de nouveaux lieux est un enjeu fort de santé publique. C’est dans cet objectif que le ministère chargé des Sports a soutenu l’élaboration et la publication de l’AFNOR Spec S52-416, guide de référence en la matière.

Le Mois sans tabac est une opération nationale pilotée par Santé publique France (SPF) en partenariat avec le ministère de la santé et l’Assurance Maladie, qui s’inspire d’un dispositif anglais appelé « Stoptober » mis en œuvre en Grande Bretagne annuellement depuis 2012. Il s’agit d’une campagne d’information et d’accompagnement au sevrage tabagique qui prend la forme d’un défi collectif lancé aux fumeurs et à leur entourage et dont l’objectif est de leur proposer un arrêt du tabac pendant 30 jours durant le mois de novembre. 30 jours car cette temporalité dans l’arrêt multiplie par 5 les chances d’arrêter définitivement (West et Stapleton, 2008).

Arrêter de fumer, c’est renoncer à une habitude quotidienne solidement installée et changer de comportement. Cela ne se réalise pas du jour au lendemain. C’est une idée mûrement réfléchie qui nécessite de s’y préparer et d’être bien accompagné.e pour augmenter ses chances de succès. À ce titre, l’Ireps BFC accueille Françoise Amelot, Directrice de Tab’agir, qui vient présenter l’accompagnement à l’arrêt du tabac que le réseau propose aux fumeurs bourguignons-francs-comtois.

Engagée pour la 5e année à vos côtés, l’Ireps BFC, ambassadrice régionale, en partenariat avec Tab'agir poursuit sa mobilisation pour déployer l’opération en région.

Ce numéro de Repères rend compte du paysage général des politiques publiques en faveur du développement durable. Il présente les nombreux outils à disposition des collectivités territoriales dans l’objectif d’apporter une vision globale. Il met en exergue la plus-value des approches transversales et se fait l’écho des différentes manières et des avantages d’y associer les acteurs des territoires.

Le site du réseau d'acteurs du PNNS a pour objectif de mettre à disposition un outil de référence dans la démarche de mise en place de projets dans le domaine de la nutrition (promotion de la santé en alimentation, en activité physique et lutte contre la sédentarité). Il met en place un lieu d'interactions permettant aux acteurs de s'informer, de se former et d'agir en nutrition. Les bonnes pratiques sont mises en avant afin d'apporter des exemples de projets pouvant servir d'inspiration aux projets innovants de demain.

Cet événement prévu dans le Plan National Nutrition Santé doit sensibiliser les citoyens comme les professionnels du soin et de l’accompagnement à propos des enjeux, actions préventives et traitements de cette maladie silencieuse qui touche 2 millions de Français : personnes hospitalisées, personnes âgées à domicile ou en établissement.

La Haute Autorité de Santé, en partenariat avec la Fédération Française de Nutrition, actualise ses recommandations sur la dénutrition chez les personnes âgées de 70 ans et plus, population la plus à risque d’être exposée à ce problème de santé publique et chez qui les conséquences peuvent être dramatiques. Elle fournit ainsi aux professionnels de santé ou du secteur social et médico-social susceptibles de s’occuper des personnes âgées des outils adaptés et validés pour leur permettre d’identifier plus précocement les personnes âgées dénutries.

Ce dossier rassemble les articles publiés dans « La Grande Conversation du week-end » du samedi 16 octobre 2021, avec des contributions des rubriques Éducation et Santé.

Pourquoi sommes-nous beaucoup plus heureux.ses ensemble ?
Des liens sociaux positifs, durables, épanouissants, et empathiques sont essentiels à notre survie psychologique et physique.
La santé mentale, c'est les autres ?

Médecins Sans Frontières (MSF) et le Comede (Comité pour la santé des exilé·e·s) publient ce rapport afin d'alerter sur les conséquences de l’exil et de la politique de non-accueil de la France sur la santé mentale d’un nombre important de mineurs non accompagnés (MNA) qui ne sont pas pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance (ASE). En plus de majorer les pathologies psychiques préexistantes, les conditions de vie précaires des MNA favorisent l’apparition de nouveaux troubles. Ces constats sont le fruit de plus de trois ans de pratique clinique auprès des MNA dans le centre d’accueil de jour situé à Pantin en Ile-de-France.