Veille documentaire - Nutrition

En France, nous vivons de plus en plus longtemps grâce aux progrès de la médecine. En revanche, dès 65 ans, apparaissent des maladies qui peuvent impacter la qualité de vie et le confort du quotidien. Ces maladies ont pour conséquence la dépendance et sont responsables dans la majorité des cas d’une hospitalisation voire d’une entrée en EHPAD. Il est pourtant possible d’anticiper et de prendre en charge ces maladies grâce à une alimentation adaptée et quelques nouvelles habitudes simples.

Cette synthèse des données vise à informer les décideurs et les intervenants des changements survenus dans l’alimentation d’adultes québécois et canadiens durant la pandémie et à orienter les travaux subséquents en promotion de la saine alimentation dans le contexte actuel et pour les années à venir. Pour environ la moitié des thématiques étudiées, les données étaient insuffisamment nombreuses pour en tirer des conclusions. Pour l’autre moitié des thématiques recensées, bien que les données représentent des perceptions autorapportées de changement et qu’elles soient en majorité basées sur des échantillons non probabilistes de petite envergure et/ou non représentatifs, certains constats ont pu être tirés.

Dans le cadre du réseau PNNS en Bourgogne-Franche-Comté, un atelier créatif est proposé le 11 janvier à Saint Amand en Puisaye pour imaginer des actions de promotion de la santé en nutrition en milieu de travail. Cet atelier s’inscrit dans le projet national Manger mieux, Bouger plus au travail développé par le CNAM ISTNA avec l’INCA.

La première rencontre des acteurs du Programme National Nutrition Santé s’est tenue le 30 septembre 2021 à Saint Apollinaire. Elle a réunit plus de 50 professionnels et élus autour de plusieurs questions : Comment s’appuyer sur le Réseau Régional d’Appui à la Prévention et Promotion de la santé pour développer des actions ? Comment le réseau PNNS peut-il faciliter l'articulation des dynamiques nutrition sur les territoires ? Comment construire des plans d'actions adaptés aux besoins ? Comment penser l’évaluation des actions Nutrition dans le cadre de la dynamique PNNS ?

Après l’âge, l’obésité est le principal risque de forme sévère de Covid-19. La sédentarité favorisant le surpoids, l’activité physique pourrait jouer un rôle dans la prévention des complications.

Avec le lancement de son Observatoire territorial du sport et de la jeunesse, l’INJEP met à disposition près de 100 indicateurs du sport sur tout le territoire français ainsi que des données locales sur les accueils collectifs de mineurs sans hébergement. Construits à partir de plusieurs sources, ces indicateurs sont restitués sous forme de cartes dynamiques, de tableaux et de graphiques et peuvent être mis en rapport avec des données sociodémographiques. Des données sur la jeunesse ont été ajoutées en décembre 2021 (diplômes du Bafa, du Bafd, et sur les volontaires en service civique).

Inégalités sociales, alimentation et santé sont étroitement liées. Seule une politique publique volontariste peut inverser la tendance.

Santé publique France lance la nouvelle édition de la campagne En 2-2 avec 6 nouvelles recettes gourmandes, rapides, peu chères et faciles à préparer aux jeunes de 18 à 30 ans.

Cette vidéo vise à « sensibiliser le milieu scolaire aux mobilités actives » et notamment limiter l’accompagnement des enfants à l’école en voiture. Cette opération s’adresse cette fois-ci aux parents d’élèves et aux écoliers du cours élémentaire, pour les encourager à utiliser les modes actifs (vélo ou marche). Cette communication prolonge l’action engagée en septembre 2020, lors du lancement de la capsule E-learning destinée aux enseignants et directeurs d’école primaire.

Dans son Panorama de la santé 2021, l’OCDE indique que la pandémie a eu de très graves répercussions sur la santé mentale des individus, puisque la prévalence des troubles anxieux et dépressifs a plus que doublé dans la plupart des pays possédant des données sur le sujet, et en premier lieu au Mexique, au Royaume-Uni et aux États-Unis. La pandémie a d’autre part mis en relief les risques induits par les comportements préjudiciables à la santé, dans la mesure où le tabagisme, l’alcoolisme et l’obésité augmentent la probabilité de mourir de la COVID-19. Le rapport note que l’obésité continue de gagner du terrain dans la plupart des pays de l’OCDE, 60 % de la population, en moyenne, y étant considérée en surpoids ou obèse.

Que l’on souffre de maladies chroniques, que l’on reprenne le sport ou que l’on souhaite juste s’entretenir, adapter son activité physique est la clé pour en maximiser les effets santé.