Cet arbre des méthodes d'évaluation d'impact part des questions d'impact, identifie en réponse les principales conditions à l'usage des différentes approches, puis considère les méthodes à disposition de l'évaluateur.
Veille documentaire
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
Et pour ne rien manquer, n'hésitez pas à vous inscrire à la newsletter quotidienne La Veille du jour en vous inscrivant depuis cette page.
La modification du cahier des charges fixant les modalités de mise en œuvre de l'expérimentation visant à réduire la souffrance psychique des jeunes a pour objet de modifier le point 2.2 du précédent cahier des charges pour lever la limite d'inclusion de 500 jeunes pouvant être inclus par territoire, et intégrer au champ de l'expérimentation les jeunes dès 6 ans. Il modifie également le point 2.4 pour faciliter l'adhésion des professionnels, et fixe la liste des territoires concernés par l'expérimentation
Cette étude met en lumière différents constats convergeant tous vers une réalité selon laquelle les différences ne se font pas nécessairement entre types de collectivités mais plutôt en fonction de leur taille. Les grandes communes semblent avoir plus de facilités pour financer la transition écologique que les petites villes. L’étude parvient à mettre en exergue les enjeux du financement de la transition écologique dans les petites villes, en proposant une réflexion argumentée qui mène à un ensemble de pistes d’évolutions possibles.
Comment faciliter le transfert et l'utilisation des connaissances scientifiques au sein des pratiques courantes ? Ce numéro analyse l'intérêt de s'appuyer sur les données probantes - en intégrant tant les connaissances scientifiques qu'expérientielles des professionnels et des usagers - dans le champ de la prévention et de la promotion de la santé. L'actuel contexte de pandémie Covid-19 a démontré nos difficultés à penser et à agir en période de crise sanitaire et d'incertitude. Une trentaine d'experts - des chercheurs aux professionnels de terrain - ont contribué à ce dossier central.
Prepsy Contact est un projet d’accompagnement des professionnels et d’orientation des jeunes présentant des troubles psychiques dans la réduction des effets du tabac, de l’alcool et du cannabis. Son objectif : renforcer les liens entre addictologie et psychiatrie.
S’imposant comme une solution alternative à la prise en charge institutionnelle, l’habitat inclusif s’adresse à des personnes souhaitant vivre en logement autonome tout en bénéficiant de temps partagés, au sein d’un environnement sécurisé et adapté, en lien avec les services sociaux, ambulatoires, médico-sociaux et sanitaires le cas échéant. Du fait de sa vocation d’inclusion sociale et citoyenne, ce type d’habitat se doit d’être ouvert sur la cité et favoriser pleinement le « vivre ensemble » pour limiter le risque d’isolement des publics parfois fragiles. Axé sur le « vivre ensemble » et l’animation de la vie collective, le forfait vise prioritairement à financer la mise en oeuvre du projet de vie sociale et partagée.
Date limite de dépôt de dossier : 15 septembre 2021
Cet appel à projets permettra de soutenir au niveau local des actions qui accompagnent la déclinaison des programmes régionaux de santé, des programmes régionaux de lutte contre le tabac, et des feuilles de route régionales de déclinaison du plan national de mobilisation contre les addictions. Les actions soutenues au niveau régional, annuelles ou pluriannuelles (2 à 3 ans) s’inscriront dans les 3 axes retenus par les instances du fonds : Axe 1 : Protéger les jeunes et éviter l’entrée dans le tabagisme ainsi qu’éviter ou retarder l’entrée dans la consommation d’autres substances psychoactives ; Axe 2 : Aider les fumeurs à s’arrêter et réduire les risques et les dommages liés aux consommations de substances psychoactives ; Axe 3 : Amplifier certaines actions auprès de publics prioritaires dans une volonté de réduire les inégalités sociales de santé. Date limite de dépôt de dossier : 30 octobre 2021
Depuis 2018, le groupe de travail « Santé » du Club ANRU+, copiloté avec l'ARS Île-de-France, réunit les territoires qui portent des projets favorables à la santé dans les quartiers en renouvellement urbain, qu'ils bénéficient des fonds complémentaires des Programmes d'investissements d'avenir (PIA) 1 ou non. L'ensemble des travaux menés à ce jour sont à restitués dans un carnet de l'innovation dédié. L'objectif de ce carnet est de rendre plus systématique une lecture des opérations de renouvellement urbain à travers le prisme de la santé pour en minimiser les impacts négatifs, et plus encore pour encourager les acteurs du renouvellement urbain à mobiliser des leviers favorables à l'émergence de lieux de vie sains et aux comportements favorables à la santé. Il s'organise en trois parties : une première partie est consacrée aux enjeux de la prise en compte de la santé : pourquoi intégrer la santé dans les projets de renouvellement urbain ? ; une seconde partie est dédiée à la prise en compte de la santé aux différentes phases du projet : diagnostic, programmation, conception, exécution du chantier, évaluation : comment favoriser la santé grâce au projet de renouvellement urbain et ainsi faire de ce projet un levier opérationnel pour une meilleure appréhension de la santé ? ; et une troisième partie constituée de neuf fiches projets favorables à la santé.
Passer en toute sécurité de l’enfance à la vie adulte est le droit de tous, y compris les personnes handicapées. Mais au-delà de la sécurité, les jeunes du monde entier ont le droit de participer à leurs communautés, de s’exprimer et d’être écoutés, de partager les avancées technologiques et de les concevoir, d’être créatifs et d’être impliqués par rapport aux sujets qui les concernent. Une inclusion totale des jeunes handicapés implique de reconnaître qu’ils ont aussi le droit de participer activement à la société en tant que membres égaux, avec les mêmes droits et privilèges que tous les autres jeunes.
Les 25es Rencontres professionnelles du RESPADD, réalisées en partenariat avec le Groupement addictions Franche-Comté, la Société psychédélique française et le CHS Saint-Ylie Jura, se sont tenues les jeudi et vendredi 3 et 4 juin 2021 à la Commanderie de Dole. Cette nouvelle édition des Rencontres du RESPADD a permis d'explorer les nouveaux usages des drogues en santé mentale et a fait le point sur les recherches en cours en France et à l’international. Au programme, des communications d’experts et des échanges sur les derniers résultats de recherche, les nouvelles applications thérapeutiques, les coopérations entre le monde médical et les associations de patients.
L’adolescence est une période charnière dans le cycle de vie caractérisée par un paradoxe : d’un côté, l’envie d’autonomie (se distinguer, affirmer ses propres choix, s’émanciper, avoir ses amis, etc.) et de l’autre, la dépendance à l’entourage familial (attentes comportementales et affectives, dépendance économique, etc.). Au-delà des sujets souvent mis en avant dans les médias (cigarette, alcool, drogues, etc.), la construction identitaire des adolescent(e)s passe par l’expérimentation de pratiques dans tous les domaines de la vie quotidienne et notamment l’alimentation, l’activité physique et la sédentarité. Depuis les années 2000, les connaissances scientifiques sur ces comportements se multiplient afin de mieux les appréhender et de trouver les moyens de les rendre favorables à la santé/la qualité de vie. L’enquête HBSC s’intéresse à ces champs à travers plusieurs questions relatives à la fréquence de la prise alimentaire du petit-déjeuner et à celle des repas pris en famille ; à la consommation de certains aliments (fruits, légumes, sucreries, boissons sucrées, boissons énergisantes associées ou non à de l’alcool) et à la nature et la fréquence des activités physique et sportive. Les données françaises sont analysées et comparées avec les précédentes vagues de l’enquête HBSC en France (2010 et 2014) ainsi qu’avec celles collectées en 2018 dans les autres pays ayant participé à l’enquête.
Une politique de discrimination « positive » consiste à traiter de manière préférentielle certaines catégories de population pour améliorer l’égalité des chances. On considère ainsi que pour établir une l’égalité réelle en pratique, il faut avantager les personnes défavorisées au départ.