Ce guide se veut être un outil pratico-pratique à destination des professionnels et des aidants des personnes en situation de handicap. Il montre comment la recherche d’adhésion et du consentement est une quête permanente auprès de la personne en situation de handicap pour sa vie quotidienne, ses choix de lieu de vie, ses soins, sa vie sentimentale... Apprendre à consentir est un processus évolutif, dynamique et interactif dès le plus jeune âge. Le consentement, c’est donc l’affaire de la personne en situation de handicap et de tous : sa famille, son entourage social, les professionnels qui l’accompagnent ou qui le soignent...
Veille documentaire - Jeunes
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Les punaises de lit adultes, d'un brun-rougeâtre, mesurent quelques 5 mm. Elles sont de forme ovale et aplatie et ressemblent à des tiques non nourries ou à de petits cafards. Les jeunes, extrêmement petits, sont de couleur blanc-jaunâtre.
La santé des personnes est façonnée par tout un ensemble de déterminants d’origine sociale, éducative ou environnementale. La période des « 1000 premiers jours de la vie » présente des spécificités qui la rendent cruciale à cet égard. Spécialistes de la santé publique et/ou de la recherche s’attachent à mettre en lumière le rôle joué par l’environnement physique, affectif et nutritionnel sur le développement des enfants durant cette première phase de la vie et son impact sur toute leur trajectoire de vie. Cette question revêt des enjeux tout à la fois sanitaires, sociaux, sociétaux et politiques et suscite de plus en plus de débats dans la sphère publique, comme l’illustre le cas des perturbateurs endocriniens.
L’objectif de ce guide est d’étayer la démarche développée en promotion de la santé en articulant les apports théoriques du champ tout en s’attachant à les mettre en perspective avec le fonctionnement et les modalités d’interventions proposées par les centres sociaux.
La Charte nationale de soutien à la parentalité, prévue par l’ordonnance du 19 mai 2021 relative aux services aux familles, a été publiée le 9 mars 2022. Ce texte-cadre s’adresse à tous les professionnels et bénévoles intervenant dans des actions de soutien à la parentalité susceptibles de bénéficier de financements publics. Elaborée en concertation avec des experts du soutien à la parentalité, des fédérations représentant les acteurs du soutien à la parentalité et avec le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA), la Charte fixe huit principes clés encadrant toute action de soutien à la parentalité pouvant bénéficier de financements publics. Elle pose les conditions d’une identité professionnelle partagée en faveur d’un accompagnement des familles tout en respectant leur diversité. Le huitième principe de la Charte nationale de soutien à la parentalité tend à « garantir aux personnes qui recourent à une action de soutien à la parentalité que les bénévoles ou professionnels qui interviennent dans ce cadre : ont une compétence ou bénéficient d’une formation dans ce domaine ; et disposent de temps de partage d’expérience et d’analyse de pratiques ». Dans ce contexte, à la demande du Secrétariat d’Etat en charge de l’Enfance et des Familles, la directrice générale de la cohésion sociale a missionné Anne Raynaud (psychiatre spécialiste de la périnatalité et des liens parents-enfants, fondatrice des Instituts de la parentalité) et Charles Ingles (psychologue clinicien, responsable de la politique Parentalité à la CAF de Gironde) pour identifier, sur la base de données quantitatives et qualitatives, les compétences communes attendues des professionnels et bénévoles de soutien à la parentalité et élaborer des recommandations pour déployer ces compétences.
La pratique du sport et ses bienfaits sont reconnus par les Français, y compris par les jeunes: entre 16 et 25 ans, près de neuf jeunes sur dix pensent que les loisirs sportifs permettent d’être en bonne santé et de mieux vivre au quotidien. Pourtant, les précédentes vagues du baromètre de la pratique sportive réalisé par le CRÉDOC et l’UCPA (Union des centres sportifs de plein air) ont mis en évidence qu’un quart des 16-25 ans font peu ou pas du tout de sport. Un zoom sur les non-pratiquants et les pratiquants occasionnels a été réalisé en décembre 2019 pour le volet quantitatif et complété par un volet qualitatif en mars 2021 à l’issue de l’année 2020 marquée par la crise sanitaire. Les résultats remettent en cause l’idée reçue de jeunes volontairement éloignés, voire hostiles à toute activité physique. Les principaux motifs de leur non-pratique ou de leur faible activité physique sont des contraintes comme le manque de temps, l’absence d’équipements à proximité ou encore le coût trop élevé de la pratique sportive. Certains jeunes se disent isolés socialement, d’autres en mauvaise santé. De plus, la crise sanitaire a éloigné certains jeunes de l’activité sportive en générant surpoids et dépressions. Cependant, cette crise a aussi fait naître une envie de refaire du sport, ou d’en faire davantage, avant tout pour se sentir bien, pour être en bonne santé.
La Charte nationale de soutien à la parentalité, prévue par l’ordonnance du 19 mai 2021 relative aux services aux familles, a été publiée le 9 mars 2022. Ce texte-cadre s’adresse à tous les professionnels et bénévoles intervenant dans des actions de soutien à la parentalité susceptibles de bénéficier de financements publics. Elaborée en concertation avec des experts du soutien à la parentalité, des fédérations représentant les acteurs du soutien à la parentalité et avec le Haut Conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA), la Charte fixe huit principes clés encadrant toute action de soutien à la parentalité pouvant bénéficier de financements publics. Elle pose les conditions d’une identité professionnelle partagée en faveur d’un accompagnement des familles tout en respectant leur diversité. Le huitième principe de la Charte nationale de soutien à la parentalité tend à « garantir aux personnes qui recourent à une action de soutien à la parentalité que les bénévoles ou professionnels qui interviennent dans ce cadre : ont une compétence ou bénéficient d’une formation dans ce domaine ; et disposent de temps de partage d’expérience et d’analyse de pratiques ».
Dans ce contexte, à la demande du Secrétariat d’Etat en charge de l’Enfance et des Familles, la directrice générale de la cohésion sociale a missionné Anne Raynaud (psychiatre spécialiste de la périnatalité et des liens parents-enfants, fondatrice des Instituts de la parentalité) et Charles Ingles (psychologue clinicien, responsable de la politique Parentalité à la CAF de Gironde) pour identifier, sur la base de données quantitatives et qualitatives, les compétences communes attendues des professionnels et bénévoles de soutien à la parentalité et élaborer des recommandations pour déployer ces compétences.
Ce document est le résultat d’une démarche de consultation d’envergure auprès de chercheurs et d’organismes québécois. Il positionne les jeunes au cœur de la problématique en s’intéressant à l’impact de l’utilisation des écrans sur leur santé et leur développement, plus précisément entre l’âge de 2 à 25 ans. Les orientations et mesures proposées ont principalement pour but de favoriser la santé globale des jeunes, notamment en leur fournissant des environnements qui facilitent l’adoption de saines habitudes de vie, de même qu’un soutien dans l’ensemble de leur parcours de vie pour les aider à faire des choix favorables à leur santé.
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie une étude sur les enfants et adolescents accompagnés par les établissements et les services médico-sociaux pour personnes handicapées. Cette étude décrit les caractéristiques socio-démographiques des jeunes suivis par dans ces structures (effectif, âge, sexe) ainsi que leur scolarisation éventuelle et le type de structures dans lesquelles ils sont accueillis.
La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) publie les résultats d’une étude sur les enfants et adolescents accompagnés par les établissements et les services médico-sociaux pour personnes handicapées. Cette étude porte un éclairage plus spécifique aux jeunes accompagnés par ces structures et qui sont bénéficiaires d’une mesure de l’Aide Sociale à l’enfance (ASE).
L’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT) a le plaisir de vous convier à sa 7e Matinale, sous forme de webinaire, le mercredi 1er juin de 10h à 11h30 sur les « Pratiques d’écrans » et de jeux vidéo à l’adolescence. Les interventions aborderont les questions liées aux pratiques des jeunes, des jeux vidéo à internet. Où en est-on ? Comment mesurons-nous ces usages depuis 20 ans ? Quels sont les contextes de pratiques, les motivations et les régulations chez les jeunes ? Comment repérer et prendre en charge les troubles d’usages ?
Quatre ans après son lancement officiel en France, le Nutri-Score, logo à 5 couleurs reflétant la qualité nutritionnelle globale des aliments est désormais bien installé dans les rayons. Les études menées jusqu'ici ont concerné les adultes, et aucune n'a évalué l'efficacité potentielle du Nutri-Score chez les adolescents. Pourtant ces derniers constituent u à la fois des consommateurs et acheteurs, et ils sont susceptibles d'influencer fortement les décisions d'achats de leurs parents. De plus, les jeunes sont souvent la cible du marketing pour des produits dont la consommation est à limiter. Santé publique France a donc réalisé en octobre 2021 une enquête auprès de 1 201 adolescents âgés de 11 à 17 ans habitant en France métropolitaine.