Dans cette collection, les fiches repères mettent en avant les ressources pour prendre soin de sa santé mentale.
Veille documentaire
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
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Ce guide recense des dispositifs nationaux proposant du soutien psychologique par téléphone, tchat, internet. On peut appeler ces lignes quand on se sent angoissé, qu'on a besoin de parler ou qu'on cherche de l'aide.
S’inspirant du modèle des What Works Centres (rapport 20173), le CRP donne à l’évaluation une place centrale pour appréhender la notion d’impact, à différentes échelles : l’impact des actions de prévention, l’impact des modes de financements, plus globalement l’impact de la politique publique de prévention de la perte d’autonomie. A l’aide de l’évaluation, ses axes de travail cherchent à répondre aux interrogations suivantes : comment recherches et connaissances peuvent démontrer qu’une action prévient ou ralentit la perte d’autonomie ? Quelles approches et méthodes peuvent évaluer l’impact d’une action de prévention ? Comment l’évaluation d’impact peut servir d’aide à la décision dans la politique de prévention de la perte d’autonomie ?
La démarche d’évaluation d’impact permet de prendre du recul : elle invite à questionner les objectifs de l’action, à spécifier la population à qui elle s’adresse, la méthode et les moyens à mobiliser pour agir sur la problématique identifiée. Plusieurs usages peuvent en être faits, notamment améliorer l’action ou encore communiquer sur ses impacts afin de soutenir son déploiement et son financement.
Le kit Evaluer l’impact de son action de prévention proposé par le Centre de ressources et de preuves (CRP) s’adresse aux acteurs portant un projet dans le champ les Commissions des financeurs de la prévention de la perte d’autonomie (CFPPA). Son objectif est de fournir des repères et des outils pour accompagner les porteurs dans la réalisation de l’évaluation de leurs actions afin de prendre du recul et de se saisir des résultats comme des pistes d’amélioration.
Entre méconnaissance des dépistages, renoncement aux soins et difficultés financières, les personnes précaires paient un lourd tribut face au cancer, révélant les inégalités criantes qui persistent dans notre système de soins.
Cette étude inédite menée par le BASIC pour Greenpeace France, l’Institut Veblen et Max Havelaar France révèle l’impact massif des importations agricoles à destination de la France sur les droits humains et l’environnement. Derrière des produits du quotidien comme le cacao, le café, le riz, la banane, l’huile de palme ou encore la vanille, se cachent des réalités préoccupantes pour les populations, les écosystèmes des pays producteurs et le climat.
A La Réunion, l’épidémie de chikungunya est à son pic où plus de 33 000 cas et six décès ont été recensés. Comme la dengue ou le zika, le virus est transmis par le moustique-tigre. C’est le 30 juillet 1948 que cet insecte est mentionné pour la première fois dans les colonnes du quotidien du soir qui, depuis, n’a cessé d’en suivre la trace.
L'initiative menée par l'Inland Norway University of Applied Sciences pour développer un référentiel de compétences pour les travailleurs-pairs dans le domaine de la santé mentale n'est pas seulement remarquable, elle est également essentielle dans le paysage actuel de la santé mentale. Les pairs-aidants, grâce à leur savoir expérientiel unique, offrent des perspectives et un soutien uniques, qui peuvent améliorer de manière significative les services de soins en santé mentale. Cependant, la nature informelle de leur expertise conduit souvent à une reconnaissance insuffisante de leurs compétences professionnelles. Faire reconnaître un référentiel de compétences au niveau international permettra de poser les bases d'une reconnaissance européenne et d'une amélioration des opportunités d'emploi. La création d'un cadre de compétences qui liste les connaissances, les aptitudes et les postures nécessaires aux travailleurs pairs constitue une étape fondamentale pour permettre de formaliser et de valider leur rôle au sein des services de santé mentale. Ce référentiel devra être adaptable et centré sur le lien humain, qui est la pierre angulaire du travail de soutien par les pairs. En permettant une comparaison avec les compétences des professionnels traditionnels de la santé mentale, il tend à combler le fossé entre les connaissances expérientielles informelles et les connaissances académiques formelles. Un tel cadre permettra non seulement d'élever le statut professionnel des pairs-aidants, mais aussi d'améliorer la dynamique de collaboration au sein des équipes de santé mentale, en reconnaissant les contributions uniques de chaque membre. L'impact de la clarification et de la reconnaissance des compétences des pairs-aidants s'étend audelà des individus pour bénéficier à un écosystème plus large, comprenant les associations, les centres de formation, les institutions éducatives et les établissements de santé mentale. Il promet de meilleures conditions d'emploi, la reconnaissance et l'intégration de pairs-aidants dans le personnel de santé mentale. En outre, elle crée un précédent pour la valeur de l'expérience vécue dans l'amélioration des services de santé mentale, en promouvant une approche plus holistique et inclusive des soins de santé mentale. Cette initiative marque un tournant dans la manière dont les pairs-aidants sont perçus et employés en Europe et, potentiellement, dans le monde entier. [Résumé d'éditeur]
Alors que près d’un tiers des maires fait face à un début d’épuisement, la parole des édiles se libère ces derniers mois. Plusieurs d’entre eux témoignent, auprès du « Monde », des conditions d’exercice difficiles qui les ont menés à une mise en retrait, voire à la démission, pour se préserver, malgré leur engagement résolu.
Depuis 2020, les signalements d’intoxications liées à l’usage détourné du protoxyde d’azote, ou « proto », sont en hausse continue. Ce gaz dit « hilarant » peut entraîner une dépendance ainsi que des complications sévères, parfois irréversibles, sur le système nerveux et le système cardiovasculaire (cœur et vaisseaux) en cas de prises répétées et/ou en grande quantité. Le protoxyde d’azote est majoritairement consommé par des adolescents et des jeunes adultes : d’après les données du Baromètre de Santé publique France, en 2022 14 % des 18-24 ans l’avaient déjà expérimenté et plus de 3 % déclaraient en avoir consommé au cours de l’année. Ces jeunes usagers n’ont pas tous connaissance de ses dangers. Face à cet enjeu de santé publique, l’ANSM, l’Anses et Santé publique France rappellent les mesures de prévention et de prise en charge des dommages associés à la consommation de protoxyde d’azote.
En France, la Sécurité Sociale Alimentaire (SSA) suscite un intérêt croissant. Ce modèle, inspiré de la Sécurité sociale classique, vise à garantir à chacun un accès à une alimentation de qualité, durable et locale. Aujourd’hui, les expérimentations se multiplient et devraient bientôt livrer leurs premières conclusions.