L'objectif était de mettre en évidence les liens entre climat, biodiversité et santé et d'encourager des actions concrètes aux échelles locales, nationales et européennes. Les interventions ont mis en évidence la diversité et la gravité des retombées sanitaires sur la santé physique et mentale, ainsi que les bénéfices sanitaires associés à des politiques climatiques ambitieuses.
Veille documentaire - Santé environnement
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Pour faire face à la multiplication des situations de réchauffement climatique, il est nécessaire de consolider, de stimuler et de coordonner l’effort de recherche national sur les risques. Construire une approche globale et intégrative des savoirs, fédérant les géosciences, les sciences du climat et de l’environnement, l’ingénierie, les sciences de l’information, ainsi que les sciences humaines et sociales devient un enjeu majeur.
Présentées mardi, les « olympistes », comme elles ont été baptisées, devraient être pérennisées après les Jeux, a assuré la mairie de Paris.
L’Anses a mené une expertise sur le risque de contamination des eaux souterraines par la substance herbicide S-métolachlore et ses métabolites. L’évaluation montre que les concentrations estimées des trois métabolites métolachlore-ESA, métolachlore-OXA et métolachlore-NOA dans les eaux souterraines sont supérieures à la limite de qualité fixée par la législation européenne en la matière. Afin de préserver la qualité des ressources en eau, l’Anses engage la procédure de retrait des principaux usages des produits phytopharmaceutiques à base de S-métolachlore.
Ce dossier du magazine « Santé conjuguée », publié par la Fédération Maisons médicales à Bruxelles, est consacré aux relations entre travail et santé. En effet, l’expression d’un mal-être au travail se répand dans tous les secteurs, se manifestant par du stress, de la fatigue, de l’épuisement professionnel, des troubles musculosquelettiques, des accidents… De même, l’absence d’emploi sur une longue durée et la précarité financière qui l’accompagne ont aussi des effets profondément néfastes. Ce dossier propose d’explorer l’angle mort entre le monde du travail et la médecine générale et les autres professions de santé qui exercent en maison médicale.
Cette enquête s’inscrit dans les travaux de la Commission Travail et Emploi du CESE. Elle a été conduite par questionnaire fin 2022 et a recueilli 1922 contributions. Elle fait suite à l'été caniculaire qu'a connu la France et aux enjeux que cet épisode interroge en matière de santé au travail. Elle cherche ainsi à mieux comprendre le niveau de prise en charge de sujets environnementaux dans le dialogue social, en particulier en matière de santé au travail, d’identifier les freins et les leviers.
Dans le cadre des Assises du travail du Conseil national de la refondation (CNR), le CESE a proposé une matinée d'échanges et de réflexion pour faire le point sur l’impact des dérèglements climatiques sur la santé et les conditions de travail.
Diplomée en psychologie clinique et du développement de l'enfant, l'auteur réalise un plaidoyer en faveur de la pédagogie du dehors. Elle passe en revue ses innombrables bénéfices, les espaces extérieurs constituant un matériel ludique et didactique, riche et infini, qui soutient l’enfant dans son développement singulier et son inscription dans l’environnement et son rapport aux autres. Elle revisite les dimensions développementales de l'enfant à la lumière du dehors et met l'accent sur le rôle clé et la responsabilité des adultes (professionnels, parents,...) pour encourager cette école du plein air.
L’amiante a été massivement utilisé pendant plus d’un siècle dans différents secteurs dont ceux du bâtiment et des travaux publics, en raison de ses propriétés spécifiques et de son faible coût d’extraction. Classé cancérogène dès 1977 par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), l’usage de l’amiante en France est interdit depuis 1997. Toutefois, de nombreux matériaux contenant de l’amiante sont encore en place aujourd’hui et constituent autant de sources d’exposition pour les professionnels et l’ensemble de la population.
Le “café inspirant” réunit des élus et des techniciens pour un moment privilégié de conversation fluide, respectueuse, transparente, et confidentielle. L’objectif : créer un cadre protégé (pas de hiérarchie) dans lequel il devient possible d’exprimer les inquiétudes et de questionner l’implicite.
La transition écologique et sociale nous concerne tous ; mais localement, c’est sur les épaules des élu.e.s que pèse une part importante des responsabilités ! Comment décider et agir dans un domaine où les arbitrages sont complexes, les intérêts parfois opposés, et les résultats souvent peu visibles avant la fin du mandat ? En tant qu’élu.e, on se sent souvent démuni.e et isolé.e : marginalisation du sujet, flou dans les termes comme dans les stratégies, manque d’ingénierie, forte conflictualité, etc. On peut facilement se sentir perdu au milieu de l’abondance d’information et d’expertise, en mal de boussole pour construire son rôle, et d’outillage pour traduire localement et en action concrète des notions complexes… Face à l’accélération des crises, à l’enjeu de sobriété mis au premier plan par la sécheresse d’un été caniculaire et la crise énergétique qui s’intensifie, confronté à la nécessité d’accélérer la construction de réponses à tous les niveaux, peut-on même encore parler de transition ? Comment mettre en débat le vocabulaire, les objectifs, les priorités ?
L’Agence européenne des produits chimiques a publié, mardi 7 février, une proposition visant à interdire ces composés chimiques ultratoxiques appelés « polluants éternels » en raison de leur extrême persistance dans l’environnement. Elle ouvre la voie à « l’une des plus grandes interdictions de substances chimiques jamais imposées en Europe », selon la déclaration commune des cinq Etats à l’origine de la proposition : l’Allemagne, les Pays-Bas, le Danemark, la Suède et la Norvège.