Veille documentaire

Les recommandations de la HAS vise à apporter des connaissances et des repères scientifiques, techniques, pratiques et organisationnelles pour accompagner la personne présentant un trouble du développement intellectuel de manière personnalisée et adaptée. Ce volet concerne la communication et les habilités sociales.

Les recommandations de la HAS vise à apporter des connaissances et des repères scientifiques, techniques, pratiques et organisationnelles pour accompagner la personne présentant un trouble du développement intellectuel de manière personnalisée et adaptée. Ce volet concerne l'autodétermination, la participation et la citoyenneté.

Cette fiche thématique accompagne les recommandations de la Haute autorité de santé sur l'accompagnement de la personne présentant un trouble du développement intellectuel (TDI). Elle est rédigée en Facile à lire et à comprendre.

La Haute Autorité de santé (HAS) publie des recommandations à destination des professionnels des établissements et services médico-sociaux et des proches qui accompagnent les personnes présentant un trouble du développement intellectuel (TDI) quels que soient leur âge et leur lieu de vie. Il est primordial dans l’accompagnement de ces personnes de prendre en compte leurs besoins et leurs préférences, de les replacer au centre de toutes les décisions et de soutenir ainsi leur autodétermination.

Depuis 1994, le mois d’octobre se pare de rose, la couleur de la campagne annuelle de sensibilisation au dépistage du cancer du sein. Cette mobilisation donne lieu à diverses manifestations en métropole, en Corse et une partie des départements et régions d’outre-mer (DROM). À la faveur d’Octobre Rose, nous vous proposons une série en deux parties, dédiée au dépistage organisé en général. Premier chapitre : de quoi parle-ton ?

Au moment où le concept même de travail est profondément interrogé dans la société française, le sociologue Nicolas Roux s’interroge sur la notion de précariat. Dans quelle mesure l’emploi discontinu est-il soutenable, c’est-à-dire supportable et acceptable par les personnes concernées ? Poser cette question, c’est s’écarter des raisonnements binaires « choisi »/« subi » pour analyser comment les individus s’adaptent à ce fait social majeur de notre temps, qui veut que tout un pan de la population active soit éloigné des droits et de la sécurité rattachés à l’emploi stable et à temps plein.

Être en bonne santé physique et psychique ne va pas forcément de soi, y compris pour les personnes avec handicap. Procap a adapté les 11 conseils pour la santé psychique aux différents besoins des personnes en situation de handicap (langage simplifié, icônes avec contraste de couleur, exemples, etc.) afin que le groupe cible ait accès aux contenus et puisse être actif pour sa santé psychique.

Psycom a mis en ligne une nouvelle page : Ce qu'on peut faire pour sa santé mentale. Nous y proposons 34 exercices ou techniques en accès libre sur internet, sélectionnés auprès de sources s’appuyant sur les études scientifiques. Il peut s’agir d’universités, d’équipes de recherche, d’hôpitaux, d’associations spécialisées sur la santé mentale. Ces outils dits « d’auto-support » permettent de décrocher de ses pensées difficiles, de s'initier à la méditation ou encore de repérer si l'on vit une relation de couple toxique. Notre article appelle aussi à la vigilance vis à vis du risque de dérives sectaires, particulièrement élevé dans le domaine du bien-être.

CBD, trois lettres pour désigner le cannabidiol ou « cannabis bien-être », dont le marché et les usages explosent depuis quelques années. À quoi sert-il, et comment en faire bon usage ?