Le Réseau sport-santé de Bourgogne-Franche-Comté (RSS BFC) et ses partenaires régionaux, l’Agence régionale de santé (ARS), la Délégation régionale académique à la jeunesse, à l’engagement et aux sports (DRAJES) ainsi que le Conseil Régional se sont fixés l’objectif de créer une plateforme d’information, de formation et d’accompagnement des professionnels impliqués dans la prescription d’activité physique adaptée (APA). Elle permet de développer une culture commune Sport-Santé, de promouvoir les bonnes pratiques professionnelles et interprofessionnelles et d’animer le réseau d’acteurs Sport-Santé sur la région Bourgogne-Franche-Comté.
Veille documentaire - Maladies chroniques non transmissibles
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Troubles érectiles, chute de la libido, douleurs… L’impact des pathologies de longue durée sur l’intimité demeure taboue, y compris dans le parcours de soins. Pourtant, patients, experts, psychologues et médecins l’attestent : la santé sexuelle peut s’inscrire dans la stratégie thérapeutique. Et conduire vers un mieux-vivre.
Vous trouvez ça choquant ? Nous ce qu'on trouve choquant c'est que le cancer colorectal soit le 2e cancer le plus meurtrier en France avec plus de 17 000 morts par an. C'est d'autant plus révoltant que le dépistage est simple, rapide, fiable et gratuit. Pourtant 2/3 des personnes concernées, les plus de 50 ans, ne le font pas. Jusqu'à ce qu'il soit trop tard.
Malgré des preuves solides démontrant les bienfaits de l’activité physique sur les effets secondaires du cancer du sein et des traitements associés, de nombreuses patientes ont tendance à être physiquement inactives. Comprendre quels facilitateurs et quelles barrières influencent leur engagement dans la pratique d’activité physique, et son maintien, représente une première étape vers la conception d’interventions ciblées visant à accroître leur pratique. Le but de cette étude est de décrire les déterminants associés au comportement d’activité physique des patientes participant au programme RIPOSTE.
Introduction : Notre travail interroge l’influence que peuvent avoir des vêtements adaptés aux soins lors des séances de chimiothérapie, sur la représentation émotionnelle de l’individu, sur le bien-être perçu et sur l’évolution de symptômes associés à l’annonce de la maladie.
Méthodes : Cette étude de cas a été effectuée sur 42 patients atteints de cancer. Le questionnaire a été administré rétrospectivement à des patients ayant été soumis à des séances de chimiothérapie sans port de vêtements adaptés dans un premier temps, puis qui ont porté des vêtements adaptés lors des soins de chimiothérapie.
Résultats : De façon statistiquement significative, les données suggèrent qu’avec des vêtements adaptés lors de la chimiothérapie les patients perçoivent une diminution de l’aggravation et de l’apparition de nouveaux symptômes. Le bien-être ressenti, l’image positive de soi, de sa maladie et de son traitement, sont également significativement associés à l’utilisation de vêtements adaptés lors de la chimiothérapie.
Discussion : Ces données confirment l’intuition selon laquelle les vêtements adaptés participent à améliorer la représentation émotionnelle positive observée, entre le traitement de chimiothérapie sans vêtements adaptés et celui avec vêtements adaptés. Nous ne pouvons cependant pas définir la hauteur de leur participation dans cette étude.
Les données d’incidence des cancers sont issues d’une trentaine d’organismes de recensement, qui mènent un travail minutieux de collecte. Leur direction alerte sur leurs difficultés de fonctionnement, faute de cadre juridique.
Date limite de dépôt de dossiers : 30 juin 2025. Pour sa septième édition, l'AAP s’adresse à toutes les disciplines scientifiques, de façon à encourager et faciliter les collaborations interdisciplinaires. Il promeut également les collaborations entre chercheurs et acteurs de terrain, en favorisant les recherches participatives avec les publics concernés.
Ce numéro spécial du BEH sur les maladies cardiovasculaires offre une photographie actualisée de la santé cardiovasculaire des Français grâce à la compilation de multiples sources de données, dont les données médico-administratives du Système national des données de santé (SNDS).
L’incidence des cancers (nombre de nouveaux cas) est publiée pour la première fois en France chez les Adolescents et les Jeunes Adultes (AJA) de 15 à 39 ans. Elle porte sur une période supérieure à 20 ans et avec une classification des cancers spécifique pour cette tranche d’âge élargie. Ces travaux ont été menés dans le cadre du partenariat associant Santé publique France, l’Institut national du cancer, le réseau des registres des cancers FRANCIM et les Hospices Civils de Lyon, avec le soutien financier de la Ligue contre le cancer.
Déjà voté au Sénat, le texte, qui va pouvoir entrer en vigueur, accorde notamment une prise en charge intégrale du renouvellement des prothèses mammaires et facilite l’achat de produits prescrits par les médecins.
En France, plus d’une fille sur deux âgée de quinze ans a reçu au moins une dose de vaccin contre les papillomavirus humains, qui réduit le risque de tumeur du col de l’utérus.
Les maladies cardiovasculaires constituent la première cause de morbidité et de mortalité chez les sujets âgés de 75 ans et plus, en raison des altérations structurelles et fonctionnelles du cœur et des vaisseaux liées à l’âge, ainsi que de l’exposition cumulative aux facteurs de risques cardiovasculaires (FdR CV). Cette population en forte croissance démographique présente une hétérogénéité importante de l’état de santé et des capacités fonctionnelles. Les sujets les plus âgés sont souvent les plus fragiles car à très haut risque de complications cardiovasculaires nécessitant à la fois des traitements préventifs et curatifs. Cependant, cette même population est aussi la plus vulnérable aux effets indésirables des médicaments, ce qui nécessite des stratégies thérapeutiques peu agressives adaptées à la personne. Celles-ci peuvent réclamer une dé-prescription, soit par décroissance des doses notamment pour les traitements anti-hypertenseurs, soit par arrêt de certains médicaments jugés non indispensables, afin d’éviter les risques liés à une poly-médicamentation.