Aller au contenu principal

 

Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.

 

Pour consulter la veille documentaire sur une thématique du Rrapps ou sur un type d'information particulier (Appels à projet, publications, outils pédagogiques), vous pouvez utiliser les filtres ci-contre.

 

 

Filtrer
Publication
- 14/04/2021
QUESTIONS D'ECONOMIE DE LA SANTE, 04/2021, n°257

Le tabagisme est à l'origine de près de 75 000 décès en France en 2015, tuant ainsi un fumeur régulier sur deux. Il est également responsable de 90 % des cancers du poumon, augmente le risque de développer une forme grave de pathologie cardio-vasculaire et de contracter une broncho-pneumopathie chronique obstructive. Pour réduire l'incidence de ces maladies, différentes campagnes de lutte anti-tabac ont contribué à diminuer la consommation moyenne de tabac au cours des dernières années. Toutefois, certaines catégories de la population, notamment les bas revenus et les personnes inactives, sont encore peu enclines à changer significativement et durablement leur comportement tabagique. Ceci est, en partie, dû à la nicotine (un puissant alcaloïde) contenue dans le tabac. Dans ce contexte, il importe alors de mieux comprendre quels facteurs peuvent contribuer à modifier la consommation de tabac.

Outil pédagogique
- 07/04/2021
E-CANCER.FR

L’Institut national du cancer lance un jeu vidéo adapté aux enfants pour les doter de connaissances sur les comportements à risque. Grâce au format du jeu vidéo, cette sensibilisation est vécue sur un mode ludique et pédagogique, engageant les plus jeunes à acquérir le plus tôt possible des habitudes de vie saines pour protéger leur santé.

Publication
- 06/04/2021
POPSCIENCES.UNIVERSITE-LYON.FR

Implication du patient dans les choix thérapeutiques, impact psychologique des traitements, inégalités d’accès aux soins : depuis une vingtaine d’années, la recherche en cancérologie investit l’expérience de la maladie. L’enjeu : mieux soutenir les patients et leur entourage. Pour cela, elle fait appel à des disciplines aussi diverses que la psychologie, l’anthropologie, l’économie ou la géographie.

Publication
- 24/03/2021
INESSS.QC.CA

À la demande du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, l'INESSS apporte un éclairage scientifique sur trois points. D'abord, il s'agit d'évaluer la plausibilité que la maladie de Lyme puisse être à l’origine de symptômes systémiques généraux et persistants. Puis le rapport détaille la contribution d’approches et d’analyses de laboratoire au processus diagnostique. Enfin, il propose des recommandations relatives à al prise en charge des personnes chez qui la maladie de Lyme est suspectée ou avérée.

Publication
- 23/03/2021
CANCER(S) ET PSY(S) 2021 ; 5 : 147-58

Les questions mises en tension dans la pratique quotidienne en cancérologie mais aussi dans la recherche, les essais thérapeutiques, les traitements, les soins palliatifs, … sont nombreuses. Cette rubrique est une occasion de les identifier et les analyser.

Publication
- 11/03/2021
ETHIQUE-CANCER.FR

La prévention primaire des cancers – qui intervient avant la survenue des maladies pour les éviter – est source de multiples bénéfices pour la société et pour les personnes. Pour autant, les actions de prévention peuvent énoncer des injonctions sans offrir à tous de réels moyens d’agir. Elles peuvent également conduire à stigmatiser ceux qui n’adoptent pas les comportements recommandés. Elles peuvent enfin, lorsqu’elles consistent essentiellement en actions de communication, conduire à négliger les populations les moins réceptives aux messages, qui sont aussi souvent les plus vulnérables. Le Comité suggère que des comités de réflexion éthique pluridisciplinaires et participatifs soient systématiquement constitués pour accompagner au plus près de leur mise en œuvre, à l’échelle localement la plus pertinente, les actions de prévention qui intéressent le sort des grandes maladies chroniques comme le cancer.

Publication
- 16/02/2021
MINERVA-EBP.BE

Cette étude randomisée contrôlée, en grappes, réalisée en Norvège, montre que sensibiliser les médecins généralistes et attirer leur attention sur l'importance d'inviter les femmes immigrantes à participer au dépistage du cancer du col de l’utérus est une stratégie réalisable bien que modestement efficace pour accroître la participation au programme, en particulier parmi les femmes immigrantes qui n'ont jamais été dépistées.

Actualité
- 09/02/2021
MINISTERE DE LA SANTE

Ce Jeudi 4 février 2021, à l’occasion de la Journée mondiale contre le cancer et des 8èmes Rencontres de l’Institut national du cancer, le président de la République a dévoilé la stratégie décennale de lutte contre les cancers 2021-2030. Ambitieuse, cette stratégie vise à réduire significativement le poids que font peser les cancers sur la santé et la vie quotidienne des Français. Sous le pilotage du ministre des Solidarités et de la Santé, M. Olivier Véran, et de la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Mme Frédérique Vidal, cette stratégie sera coordonnée par l’Institut national du cancer et disposera d’un budget renforcé à 1,74 milliards d’euros pour sa première feuille de route 2021-2025.

Publication
- 08/02/2021
EHESP.FR

En France les données sont issues de l’Enquête nationale en collèges et en lycées chez les adolescents sur la santé et les substances (EnCLASS) regroupement des deux enquêtes internationales quadriennales menées en milieu scolaire : HBSC réalisée en France depuis 1994 et ESPAD depuis 1999. L’échantillonnage a été réalisé par la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) du ministère de l’Education nationale, selon un tirage aléatoire équilibré : au total, 1137 classes ont été sélectionnées au sein de 336 collèges et 234 lycées (soit deux classes par établissement). L’enquête a permis d’interroger par questionnaire auto-administré et anonyme 20 577 élèves du secondaire soit, après nettoyage, un échantillon final de 20 128 élèves (12 973 collégiens et 7 155 lycéens). Les taux de réponse sont de 78,8 % au collège et 67,0 % au lycée. Les non-réponses correspondent essentiellement à des absences d’élèves le jour de la passation, plus rarement du fait de refus de participer émanant des élèves ou de leurs parents (14 % au total) et à des établissements ayant refusé de participer (n=56).

Actualité
- 08/02/2021
CNSA.FR

L’annonce du diagnostic de la maladie de Parkinson marque une rupture dans la vie de la personne atteinte et de sa famille. En devenant patient, le malade doit rapidement avoir un rôle actif dans son parcours de soins et développer son propre savoir du vécu de la maladie, des effets de ses traitements et de ce qui améliore son quotidien. L’éducation thérapeutique du patient (ETP) a pour but de permettre au malade d’acquérir les compétences qui vont lui donner les moyens de gérer au mieux sa vie avec la maladie. L’ETP est un partage d’expériences entre soignants et patients où chacun a autant à apprendre qu’à enseigner et où chacun s’enrichit de l’expérience de l’autre. La reconnaissance de l’éducation du patient comme un droit a été établie par la loi Hôpital, patient, santé, territoire (HPST) de 2009.

Actualité
- 03/02/2021
LE MONDE.FR

Les deux confinements ont considérablement ralenti les diagnostics de cancer et la prise en charge des patients. Il faut s’attendre à une surmortalité substantielle, en France, dans les années à venir.

Publication
- 02/02/2021
SANTE PUBLIQUE 2020 ; 32(4) : pp. 291-300

Issu d’une recherche qualitative selon une approche de philosophie du soin, cet article vise à mieux comprendre l’expérience des personnes après un programme d’éducation thérapeutique du patient (ETP). À la fin du traitement d’un cancer du sein localisé, des entretiens ont permis d’analyser l’expérience de 23 femmes âgées de 30 à 84 ans dont la moitié avait suivi un tel programme.