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Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.

 

Pour consulter la veille documentaire sur une thématique du Rrapps ou sur un type d'information particulier (Appels à projet, publications, outils pédagogiques), vous pouvez utiliser les filtres ci-contre.

 

 

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Publication
- 02/02/2021
QUESTIONS D'ECONOMIE DE LA SANTE 2021 ; 255 ; 8 p.

L'impact sur la santé mentale de la crise sanitaire et du premier confinement liés à la pandémie de Covid-19 en France a été objectivé par des enquêtes en population générale qui ont souligné le sur-risque de survenue de détresse psychologique chez les personnes vivant avec une maladie chronique ou un handicap. Mais les données issues de telles enquêtes ne permettent pas d'étudier avec précision la situation de ces populations spécifiques, du fait de leurs faibles effectifs parmi les répondants. Pour pallier ce manque d'informations et mieux comprendre les mécanismes impliqués, le choix a été fait de recourir à une enquête par internet diffusée par un réseau social et des associations de personnes vivant avec une maladie chronique ou un handicap. Malgré des facteurs de vulnérabilité communs à la population générale, la survenue de détresse psychologique au cours du confinement chez ces personnes s'avère également liée à des problématiques qui leur sont propres : difficultés à appliquer les mesures sanitaires, fait de penser ne pas être pris en charge comme les autres en cas d'infection par la Covid-19, arrêt ou diminution du suivi médical ou médico-social habituel pendant le confinement.

Publication
- 28/01/2021
BEH 2020 ; Hors série
Actualité
- 28/01/2021
E-CANCER.FR

Le dépistage du cancer du col de l’utérus s’adresse aux 17 millions de femmes âgées de 25 à 65 ans. Ce cancer est l’un des seuls dont le pronostic se dégrade avec un taux de survie à 5 ans en diminution. Pourtant 40 % des femmes concernées n'y participent pas. Le programme national de dépistage vise à augmenter le taux de participation de 20 points pour atteindre 80 % et à réduire de 30 % l’incidence et la mortalité par cancer du col de l’utérus à 10 ans. À l’occasion de la semaine européenne de prévention et de dépistage du cancer du col de l’utérus, l’Institut national du cancer rappelle aux femmes de 25 à 65 ans l’importance de poursuivre ce dépistage et ses modalités.

Actualité
- 06/01/2021
FUTURA SANTE

Le diabète de type 2 est le plus répandu en France. Avant que le diagnostic ne soit posé, les patients vivent une phase prédiabétique où leur glycémie est au seuil de l'hyperglycémie. Des médecins allemands ont identifié six formes différentes de prédiabète, qui préfigurent l'évolution vers la maladie et ses complications.

Publication
- 04/01/2021
ACADEMIE NATIONALE DE MEDECINE

Les maladies cardiovasculaires représentent la deuxième cause de mortalité en France. L'éducation thérapeutique permet un meilleur suivi des pathologies chroniques. L'objectif d'ETHICCAR était d'évaluer l'efficacité de l'éducation thérapeutique sur la réduction du risque et de la morbi-mortalité des patients à risque cardiovasculaire par rapport au suivi habituel en médecine générale.

Publication
- 04/01/2021
HAS-SANTE.FR

La HAS publie des Réponses rapides pour « accompagner les patients ayant une maladie chronique et/ou à risque de forme grave de COVID-19 dans la levée du confinement ». Elle concerne les patients adultes, à l’exclusion de ceux qui résident en structure d’hébergement collectif.

Publication
- 04/01/2021
COCHRANE.ORG

L'objectif de cette revue de la littérature est de déterminer si les rendez-vous pris à l'initiative du patient (demandés par le patient) dans le cas d’individus souffrant de maladies chroniques et récurrentes contribuent à une meilleure gestion des soins en milieu hospitalier ambulatoire que les rendez-vous classiques fixés par le professionnel de santé.

Publication
- 04/01/2021
HAS-SANTE.FR

Ces réponses rapides dans le cadre de la Covid-19 précisent quelques recommandations pour accompagner les enfants et les adolescents dont ceux vivant avec une maladie chronique.

Actualité
- 04/01/2021
THE CONVERSATION.COM

Le rôle de l’alimentation dans la prévention du surpoids, de l’obésité et de nombreuses maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète ou certains cancers, ne fait plus de doute. Au fil des ans, les messages de santé publique se sont multipliés pour faire prendre conscience aux citoyens de l’importance d’une alimentation saine et équilibrée.

Actualité
- 04/01/2021
COMPARE.APHP.FR

Dans le cadre de travaux menés par ComPaRe, la Communauté de Patients pour la Recherche de l’AP-HP, 3002 patients chroniques ont identifié les priorités pour améliorer la prise en charge des malades chroniques en France. Une première étude d’envergure pour recueillir les idées de patients en vue d’améliorer la prise en charge de leur(s) maladie(s) chronique(s) avait déjà été menée par ComPaRe. Les patients avaient proposé 147 axes d’amélioration pour améliorer les consultations, l’organisation des hôpitaux et le système de santé en général (Tran VT, BMJ Qual Saf 2019). Parallèlement, 150 experts du système de santé (soignants, administrateurs d’hôpitaux, décideurs politiques) ont évalué la complexité à mettre en œuvre ces axes d’amélioration. Ces données forment la première cartographie complète des priorités des patients chroniques en France pour d’améliorer leurs soins.

Publication
- 04/01/2021
BEH 2020 Hors série

Onze ans après l'Inserm, et après plusieurs autres expertises (Anses 2016, Inca 2018) et recommandations (Académie de médecine, Haute Autorité de santé), les preuves scientifiques de l’efficacité de l’APA et la compréhension des mécanismes qu’elle met en jeu permettent de positionner l’APA comme une intervention non médicamenteuse dans les pathologies chroniques et d’affirmer qu’ « il n’y a plus de place pour le doute sur les effets de l’AP » en prévention primaire et en prévention secondaire et tertiaire (Inserm 2019). En 2019, ce ne sont plus trois, mais dix pathologies chroniques pour lesquelles l’AP est reconnue comme étant un traitement à part entière : le diabète de type 2, l’obésité, la bronchopneumopathie chronique obstructive, l’asthme, les cancers, les syndromes coronaires aigus, l’insuffisance cardiaque, les accidents vasculaires cérébraux, les maladies ostéo-articulaires, la dépression et la schizophrénie.

Publication
- 04/01/2021
EHESP.FR

Le sport-santé peine à se faire connaître, alors qu’il est un dispositif efficace dans la prise en charge des pathologies chroniques. Comment toucher les populations précaires, plus exposées aux maladies chroniques et généralement peu réceptives aux campagnes de prévention ?