Initialement rattachée au milieu du chemsex, la 3-MMC se diffuse de plus en plus en milieu festif. Regard sur les motivations des consommateurs grâce à une enquête menée en Nouvelle-Aquitaine.
Veille documentaire - Addiction
Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.
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La légalisation de la consommation de cannabis a le vent en poupe. Adoptée par de plus en plus de pays, cette réponse publique est plus complexe à mettre en place qu’une politique de prohibition.
Alors que les produits liquides de vapotage de cannabis ne sont pas en vente à la Société québécoise du cannabis, la population québécoise y a accès de différentes manières, entre autres, par des marchés extérieurs, clandestins ou médicaux. Or, les données semblent démontrer que le vapotage de cannabis est particulièrement populaire chez les jeunes. C'est ce que révèle un rapport publié par l'Institut national de santé publique du Québec. En effet, 70 % des adolescents et adolescentes de 15 à 17 ans qui consomment du cannabis ont indiqué en avoir vapoté au cours des 12 derniers mois. Même si ces chiffres ne suggèrent pas une augmentation globale de la consommation de cannabis auprès de cette population, ils demeurent préoccupants.
La HAS a actualisé ses recommandations pour prendre en compte les nouvelles publications depuis 2014. Ces recommandations ont vocation à s’inscrire dans le futur programme national de lutte contre le tabac 2023 – 2027 (PNLT).
« C’est la vape que je préfère ! » : pour arrêter de fumer, la méthode favorite des Français reste la cigarette électronique. Mais qu’en pensent les autorités de santé et les scientifiques ?
Aujourd'hui, on s'interroge sur les codes liés à ce nouvel usage social et sur l'imaginaire qui émerge de sa fumée parfumée.
D’après une étude réalisée sur plus de 23 000 adolescents de 17 ans, la consommation de drogues illicites autres que le cannabis est en baisse et à de faibles niveaux..
Ce projet répond à la saisine du Ministère de la Santé du 20 février 2020, relative à « la construction d’un indicateur d’évaluation de la prise en charge du tabagisme dans le dispositif d’incitation financière pour l’amélioration de la qualité dans les établissements de santé ». Ce rapport présente les résultats des deux expérimentations qui ont été menées par la HAS et leurs conclusions.
Cocaïne et crack sont des drogues apparentées : le second est un produit dérivé de la première. Pourtant, leurs images et leurs traitements médiatique ou politique sont radicalement différents. Pourquoi ?
La consommation de tabac, d’alcool et de cannabis serait globalement en recul chez les plus jeunes. Est-ce le résultat des politiques de prévention ? Ou est-ce lié au succès de nouvelles drogues ?
La réalisation de cette revue de la littérature en sciences sociales s’inscrit dans la conduite du projet « Trajectoires de consommation et de sorties du tabagisme » (Tabatraj), financé par le Fonds de lutte contre les addictions géré par la Caisse nationale d’assurance maladie, qui propose une enquête qualitative centrée sur le rôle des inégalités sociales de santé dans les trajectoires de « décrochage » du tabac.
L’ampleur, ces dernières années, des saisies d'héroïne dans les villes moyennes et les zones rurales témoigne de la persistance de la consommation d'héroïne.