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Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.

 

Pour consulter la veille documentaire sur une thématique du Rrapps ou sur un type d'information particulier (Appels à projet, publications, outils pédagogiques), vous pouvez utiliser les filtres ci-contre.

 

 

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Publication
- 10/02/2022
QUESTIONS D'ECONOMIE DE LA SANTE 2022 ; 265 : 8 p.

En France, peu de travaux ont été menés jusqu'à présent sur la consommation d'alcool des jeunes de 18 à 30 ans. Or étudier la question de l'alcoolisation à l'« âge adulte émergent » permet de mieux appréhender les transformations lors de cette période charnière du pas¬sage de l'adolescence à l'âge adulte, qui tend à s'allonger, et se traduit par des situations et des parcours de vie très diversifiés. Au cours du cycle de vie, c'est entre 18 et 30 ans que le risque d'alcoolisation excessive, qui représente un risque « évitable », culmine avec une large proportion de risque ponctuel plutôt que chronique. A tout âge, l'écart entre hommes et femmes est très significatif, les premiers présentant un risque d'alcoolisation, tant ponctuel que chronique, environ deux fois plus élevé. Près des trois quarts des jeunes femmes ne présentent pas de risques, et elles modèrent leurs comportements plus tôt, dès 25-30 ans, alors que les hommes les accroissent encore. En revanche, entre 2002 et 2014, si le risque global d'alcoolisation excessive tend à diminuer chez les hommes du fait d'un risque chronique moindre, il a légèrement augmenté chez les jeunes femmes du fait du risque ponctuel. Enfin, des facteurs d'ordre socio-économique influent sur ces comportements au sein d'une même génération. Par exemple, à 18-24 ans, les hommes actifs occupés sont plus concernés par le risque global d'alcoolisation excessive que les étudiants ou les chômeurs, alors que seules les chômeuses sont moins concernées à cet âge. Chez les hommes comme chez les femmes et à 18-24 ans comme à 25-30 ans, ce risque augmente avec les niveaux d'éducation et de revenu. Ces résultats sont issus de l'Enquête santé européenne (EHIS) menée en 2014 et de précédentes Enquêtes santé et protection sociale (ESPS) de 2002 à 2012.

Publication
- 10/02/2022
QUESTIONS D'ECONOMIE DE LA SANTE 2022 ; 265 : 8 p.

En France, peu de travaux ont été menés jusqu'à présent sur la consommation d'alcool des jeunes de 18 à 30 ans. Or étudier la question de l'alcoolisation à l'« âge adulte émergent » permet de mieux appréhender les transformations lors de cette période charnière du pas¬sage de l'adolescence à l'âge adulte, qui tend à s'allonger, et se traduit par des situations et des parcours de vie très diversifiés. Au cours du cycle de vie, c'est entre 18 et 30 ans que le risque d'alcoolisation excessive, qui représente un risque « évitable », culmine avec une large proportion de risque ponctuel plutôt que chronique. A tout âge, l'écart entre hommes et femmes est très significatif, les premiers présentant un risque d'alcoolisation, tant ponctuel que chronique, environ deux fois plus élevé. Près des trois quarts des jeunes femmes ne présentent pas de risques, et elles modèrent leurs comportements plus tôt, dès 25-30 ans, alors que les hommes les accroissent encore. En revanche, entre 2002 et 2014, si le risque global d'alcoolisation excessive tend à diminuer chez les hommes du fait d'un risque chronique moindre, il a légèrement augmenté chez les jeunes femmes du fait du risque ponctuel.
Enfin, des facteurs d'ordre socio-économique influent sur ces comportements au sein d'une même génération. Par exemple, à 18-24 ans, les hommes actifs occupés sont plus concernés par le risque global d'alcoolisation excessive que les étudiants ou les chômeurs, alors que seules les chômeuses sont moins concernées à cet âge. Chez les hommes comme chez les femmes et à 18-24 ans comme à 25-30 ans, ce risque augmente avec les niveaux d'éducation et de revenu. Ces résultats sont issus de l'Enquête santé européenne (EHIS) menée en 2014 et de précédentes Enquêtes santé et protection sociale (ESPS) de 2002 à 2012.

Actualité
- 10/02/2022
PSYCOM.ORG

Grâce à nos téléphones et nos ordinateurs, nous accédons à des applis, des groupes de discussion ou des vidéos qui nous aident à prendre soin de notre santé mentale. Au risque, parfois, de devenir addict ?

Publication
- 07/02/2022
JOURNAL DE GESTION ET D'ECONOMIE DE LA SANTE 2021 ; 5 : pp. 267-303

L’objectif de cette revue de la littérature est d’analyser en particulier l’exposition et les effets, sur les comportements et les perceptions des jeunes, des messages en faveur de l’alcool sur les réseaux sociaux, incluant ceux diffusés par l’industrie, les influenceurs et les internautes. Peu de travaux ont synthétisé l’impact de ces contenus protéiformes : publicités classiques, pages officielles de marques, publications diffusées par des tiers (bars, influenceurs, etc.), contenus pro-alcool générés par les utilisateurs (commentaires, photos, vidéos, etc.).

Actualité
- 03/02/2022
THE CONVERSATION.COM

Bien que les politiques anti-tabac se développent et se renforcent au travers du globe et en dépit des effets collatéraux négatifs en termes de santé publique et d’environnement, le marché demeure étonnamment stable. Selon l’institut d’études privé Xerfi, le marché mondial du tabac représentait en 2020 environ 1000 milliards de dollars (toutes taxes comprises), dont 744 pour les seules cigarettes, un chiffre en légère progression depuis 2017 en valeur même si les volumes eux diminuent. Cette évolution reste néanmoins sujette à de fortes disparités géographiques.

Publication
- 03/02/2022
SANTE PUBLIQUE FRANCE

Ces dernières années, plusieurs politiques publiques en lien avec les enfants, les jeunes et les parents ont mis en place des actions favorisant le développement des compétences psychosociales (CPS). Ces actions visent à agir favorablement sur le bien-être, la santé mentale, les addictions, la santé sexuelle, la violence, le vivre ensemble et la réussite éducative. Dès à présent, le développement des CPS est promu dans cinq plans de santé publique (Plan national de santé publique - Priorité prévention 2018-2022 ; Feuille de route en santé mentale et psychiatrie ; Plan national de mobilisation contre les addictions 2018-2022 ; Stratégie nationale de santé sexuelle 2017-2030 ; Programme national de lutte contre le tabac - 2018-2022).

Vidéo
- 02/02/2022
SOS ADDICTIONS

Le Docteur William Lowenstein est venu le 25 janvier 2022 sur TéléSud pour parler de l’addiction à l’alcool, les bienfaits d'une réflexion individuelle sur sa consommation, des recommandations, de l'attitude à adopter pour les proches, etc.

Addiction
- 31/01/2022
FNES.FR

Le projet « TABACAP : Prévention du tabagisme auprès des personnes en situation de handicap par le développement de leurs compétences psychosociales » s’est déroulé de 2018 à 2021. Il a été financé dans le cadre de l’appel à projets « Mobilisation de la société civile » du Fonds de lutte contre les addictions piloté par la Caisse nationale d’Assurance maladie. L’objectif général du projet était d’outiller et soutenir les pratiques des professionnels des établissements et services médicosociaux (ESMS) sur la prévention de la consommation de tabac et d’autres substances psychoactives, en vue de la mise en place de programmes de développement des compétences psychosociales auprès de personnes en situation de handicap. Plusieurs partenaires ont été mobilisés tout au long du projet dont les professionnels des secteurs de la prévention des addictions, du médico-social, de l’inclusion et de la promotion de la santé.

Actualité
- 27/01/2022
THE CONVERSATION.FR

L'étude, publiée dans le British Medical Journal, vise à tester l’efficacité d’incitations financières conditionnées à l’arrêt du tabac chez des femmes enceintes fumeuses.

- 26/01/2022
RESPADD.ORG

Le Réseau de prévention des addictions (Respaad), avec le soutien de la Direction générale de la santé, de l'ASPBD (Acteurs de la santé publique bucco-dentaire) et du Collège national des chirurgiens-dentistes universitaires en santé publique, a organisé un colloque le 2 décembre 2021, ayant pour thème la santé orale et les addictions. Cette journée d'échanges était à destination de l’ensemble des acteurs du champ de la santé orale ainsi que de l'addictologie. La journée s'est articulée autour de tables rondes et ateliers qui permettaient de faire un état des lieux sur les thématiques de la santé orale et des addictions, sur les actions menées sur le territoire national mais aussi sur les perspectives d'intégration de la santé orale en promotion de la santé. Des orateurs d'horizons variés sont intervenus et ont échangé sur leurs pratiques avec les participants.

Actualité
- 20/01/2022
FEDERATION ADDICTION

Femmes, précarité et addiction : quel accompagnement ? L’état des lieux du projet MAAA’ELLLES montre que les professionnels disposent de savoirs empiriques… des savoirs à formaliser afin de leur permettre de gagner en légitimité et pouvoir d’agir.

Publication
- 19/01/2022
INSPQ

Le présent document a pour objectif principal de déterminer si les interventions de renoncement au tabac utilisant une ou des technologies numériques sont efficaces pour augmenter les taux de renoncement au tabac chez les fumeurs adultes, lorsque comparées à des interventions n’utilisant pas de technologie numérique, une technologie numérique combinée avec divers types de soutien, ou encore du soutien transmis sous différentes formes (papier, Web, etc.).

L’objectif secondaire est de procéder à un survol des interventions technologiques de renoncement au tabac québécoises et canadiennes disponibles et de les analyser à la lumière des constats relatifs à l’efficacité de ce type d’intervention.