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Chaque jour, l’équipe de documentalistes du Rrapps sélectionne des informations fiables, valides et pertinentes dans l’actualité de la santé publique. Ces informations sont proposées ici, en cohérence avec les thématiques du Rrapps, mais aussi avec les parcours de santé (définis dans le Plan régional de santé 2018-2022) et les programmes et plans de santé nationaux.

 

Pour consulter la veille documentaire sur une thématique du Rrapps ou sur un type d'information particulier (Appels à projet, publications, outils pédagogiques), vous pouvez utiliser les filtres ci-contre.

 

 

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Publication
- 11/04/2023
SANTE PUBLIQUE 2022 ; 34(6) : pp. 803-12

L’agence régionale de santé d’Île-de-France a mis en place, depuis 2017, une expérimentation consistant à subventionner le recrutement de médecins à temps partiel dans les établissements d’hébergement pour personnes dépendantes (Ehpad) afin que les résidents sans médecin traitant bénéficient d’un suivi médical régulier. L’objectif de cette étude est d’estimer les effets du dispositif en tentant de répondre à ces deux questions : comment se passe l’intégration du médecin dans l’Ehpad ? Quels sont les effets du dispositif sur la qualité des soins perçue ?

Podcast
- 11/04/2023
AUSHA.CO

Après avoir largement abordé la question de la dénutrition en EHPAD, ce podcast #04 traite, cette fois-ci, de la dénutrition à domicile. Virgine Van WYMELBEKE est Dr Es Sciences, spécialisée en nutrition, chercheur au CHU de Dijon et intervenante à l'INRAE de Dijon. Cinq questions ont été posées : Quels sont les premiers signes d’alerte que l’on peut observer à domicile en tant qu’aidant professionnel ou proche ? Faut-il adapter son alimentation à partir d’un certain âge ? (Même si on ne présente pas de signe de dénutrition à l’instant T) ? Est-ce qu’on prend un risque quand on fait un régime à partir d’un certain âge par exemple ? Quels conseils alimentaires donneriez-vous à un(e) proche aidant(e) qui s’occupe d’un parent en perte d’autonomie ? Enfin, pouvez-vous présenter les travaux de recherches sur lesquels vous travaillez actuellement ?

Publication
- 11/04/2023
RECHERCHE EN SOINS INFIRMIERS 2022 ; 151 : pp. 18-29

La promotion de la santé mentale des personnes âgées et fragiles est une priorité de santé publique. La majorité des interventions ciblant la santé mentale des personnes âgées ne sont pas toujours adaptées à une population qui présente plusieurs incapacités physiques. Cet article souhaite fournir aux professionnels de la gérontologie un aperçu des interventions adaptées à leur lieu d’exercice (domicile ou établissement de longs séjours) et aux caractéristiques de leurs usagers (plus de 75 ans avec des incapacités physiques).

Actualité
- 07/04/2023
INSTITUT DE RECHERCHE DU BIEN-ÊTRE DE LA MEDECINE ET DU SPORT SANTE

Le marché des objets connectés converge vers les problématiques du vieillissement. A l’heure actuelle, seule la domotique paraît être la plus évoluée pour répondre à ces attentes techniques, , surtout lors de la prévention de la conséquence des chutes . Seulement les nouvelles technologies de la santé évoluent et sont nombreux sur le marché français.

Site web
- 07/04/2023
FONDATION ALZHEIMER

Ce nouveau site internet a vocation à mettre en lumière les missions premières de la Fondation, sa vision, ses actions de plaidoyer, son Observatoire, ses appels à projets et à prix, et à mettre en avant ses publications.

Actualité
- 06/04/2023
THE CONVERSAITON.COM

En France, on compte entre 1,3 et 3,9 millions de personnes âgées en perte d’autonomie, qui correspond à l’impossibilité totale ou partielle de réaliser seul un ensemble d’activités du quotidien. De nos jours, la probabilité d’atteindre un âge élevé est bien plus importante que par le passé. Il faut donc s’attendre à une forte croissance de la population âgée en perte d’autonomie.

Publicaiton
- 06/04/2023
PROMOTION SANTE SUISSE

Les chutes peuvent avoir de graves conséquences. Outre les potentielles blessures en soi, des limitations physiques permanentes, une perte d’autonomie et des déficiences psychosociales peuvent par exemple survenir ultérieurement. Avoir une peur saine de tomber est utile et peut prévenir les chutes et leurs conséquences. De même, percevoir son propre manque d’assurance peut être motivant pour y faire face. Mais lorsque la peur de tomber prend une ampleur qui conduit à restreindre les activités physiques et sociales habituelles, cela crée une spirale descendante avec déconditionnement, augmentation de la fragilité et chutes répétées. Afin de briser ce cercle vicieux et d’en déduire des mesures appropriées, il est nécessaire de comprendre la peur de chuter en soi. Dans la littérature, le phénomène de la peur de chuter est décrit de différentes manières mais les facteurs de risque, les effets et les options de traitement sont bien analysés. L’objectif de cette feuille d’information est de proposer une définition unique de la peur de chuter ainsi que de décrire son utilisation dans le contexte de la promotion de la santé et de la prévention et de mettre en évidence les options de traitement.

Publication
- 06/04/2023
INSEE PREMIERE 2023 ; 1943 : 4 p.

En 2023, 30 000 centenaires vivent en France, soit près de 30 fois plus que dans les années 1960-1975. Seuls 4 300 d’entre eux sont des hommes, soit 14 % des centenaires. À 100 ans, la moitié des personnes vivent encore à domicile, les autres sont en institution. Les hommes centenaires, plus souvent en couple, vivent plus fréquemment à leur domicile que les femmes.

Actualité
- 06/04/2023
DIRECTEUR-EHPAD.COM

A la sortie de la réunion de restitution du Conseil National de la Refondation (CNR) « Fabrique du Bien Vieillir », qui s'est tenue ce jour, la Mutualité Française, rappelle l'ambition que doit porter une future loi de programmation et les solutions concrètes à y associer pour répondre à la transition démographique. Il est urgent d'investir massivement dans la prévention, le soin et l'accompagnement des personnes vulnérables et de leurs aidants.

Publication
- 05/04/2023
RECHERCHE EN SOINS INFIRMIERS 2022 ; 151 : pp.18-29

Cet article propose d’aborder le sujet de la promotion de la santé mentale des personnes âgées. Il part du constat que la majorité des interventions ne sont pas adaptées à cette population, qui présente globalement des incapacités physiques. L’objectif est donc de fournir aux professionnels de gérontologie un aperçu des interventions adaptées à leur lieu d’exercice (domicile ou établissement de longs séjours) et aux caractéristiques de leurs usagers (plus de 75 ans avec des incapacités physiques).

Publication
- 03/04/2023
VIE SOCIALE 2022 ; 4 : pp. 145-59

À l’échelle de la population mondiale, l’accroissement de l’espérance de vie a pratiquement doublé lors du siècle dernier. Avec l’amélioration continue des réponses fournies en termes de provision de services, cette tendance s’étend désormais dans une certaine mesure aux personnes avec déficience intellectuelle (di). Toutefois, avec l’avancée en âge, les personnes avec déficience intellectuelle feront plus probablement l’objet d’un niveau de contraintes, de restriction des libertés, plus élevé en relation avec des processus dits de double discrimination, liés d’une part au vieillissement et d’autre part, à la situation de handicap. Ce « cumul des vulnérabilités » amène une vigilance accrue dans les pratiques d’accueil et d’accompagnement de ce public. L’enjeu d’un accompagnement centré sur la qualité de vie et le maintien des capacités implique un décloisonnement des secteurs du handicap et du vieillissement vers une réponse articulée et flexible qui puisse mutualiser les pratiques probantes et créer un dialogue intersectoriel centré sur les besoins des personnes qui vieillissent avec une déficience intellectuelle.
Au sein de cet article, nous approcherons le concept d’autodétermination et son abord en tant que principe permettant d’orienter les pratiques d’accompagnement des personnes vieillissant avec une déficience intellectuelle.

Publication
- 03/04/2023
VIE SOCIALE 2022 ; 4 : pp. 67-78

Dans les années 1980, l’augmentation spectaculaire de l’espérance de vie des personnes en situation de handicap a posé la question de leurs lieux et de leurs modes de vie après 50 ans. C’est ainsi que les établissements et services médicosociaux pour « adultes handicapés » se sont trouvés dépourvus devant cette avance en âge. Les professionnels de terrain et les familles des personnes en situation de handicap ont fait face en « bricolant » localement des réponses, soit à domicile, soit en institution. Les politiques publiques ont tardé à prendre en compte cette évolution, mais la politique publique en direction du champ du handicap a quand même bougé. Ce que les personnes en situation de handicap vieillissantes ont surtout mis en évidence, c’est l’incapacité des « politiques vieillesse » à satisfaire leurs souhaits en matière de modes et de lieux de vie. De ce fait, elles ont surtout mis en lumière, de façon plus générale, l’incapacité des « politiques vieillesse » actuelles à répondre aux besoins de toutes les « personnes âgées en incapacité ». En 2020, l’avance en âge des personnes en situation de handicap a donc contribué, parmi beaucoup d’autres facteurs, à la promesse législative de la création d’une nouvelle branche de Sécurité sociale, la branche Autonomie, pour répondre au besoin d’accompagnement de toutes les personnes « indépendamment de leur âge et de leur état de santé ». L’opérationnalité rapide de cette branche Autonomie pilotée par la cnsa et son financement pérenne doivent devenir une des priorités de l’actuel gouvernement.