L’annuaire recense les structures en charge des addictions, de la nutrition, de la parentalité, des jeunes, de la question de la perte d’autonomie, de la précarité, de la prévention des maladies chroniques, de la santé environnement, de la santé mentale, de la santé sexuelle, les coordonnées des Communautés Professionnelles Territoriales de Santé (CPTS) et des organismes locaux de santé ainsi que les numéros d’urgence.
Veille documentaire - Jeunes
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
Et pour ne rien manquer, n'hésitez pas à vous inscrire à la newsletter quotidienne La Veille du jour en vous inscrivant depuis cette page.
Ce document est un guide d'accompagnement conçu par l'Association pour la santé publique du Québec (ASPQ) pour soutenir la mise en œuvre de projets d’engagement social chez les jeunes. L'objectif principal est de promouvoir la santé mentale positive en encourageant les jeunes à s'impliquer activement dans des initiatives communautaires ou scolaires. Le guide structure le processus en cinq étapes clés, allant de la mobilisation et la préparation à la planification, la mise en œuvre et le retour d'expérience. Il définit des concepts fondamentaux tels que la santé mentale positive et l'engagement social, tout en fournissant des conseils pratiques pour assurer l'inclusivité, l'autonomie et un environnement sécuritaire. Enfin, le texte présente des exemples concrets de projets réalisés dans diverses institutions pour illustrer l'impact de l'engagement.
Dte limite de dépôt de dossier : 13 novembre 2025
L’objectif principal de cet appel à projets est de soutenir les travaux scientifiques qui entrent dans le champ de la recherche sur les services, interventions et politiques favorables à la santé et de contribuer ainsi au renforcement et à la structuration durable, dans notre pays, d'un champ de recherche compétitif au plan international.
Le champ de l’appel se structure autour de deux grands axes thématiques et d’un axe spécifique :
- Axe thématique 1 : Prévention primaire et promotion de la santé
- Axe thématique 2 : Services de santé : organisation et financement
- Axe spécifique 3 : Prévention des infections et de l’antibiorésistance
Une étude expérimentale a été menée par l’université de Lyon 1 et le programme IDEE, dans l’internat de Sourdun (Seine-et-Marne). Elle visait à évaluer les effets du décalage de
l’heure de début des cours, initialement fixée à 8h et reportée à 9h, sur le sommeil, le bien-être et les performances cognitives chez une cohorte d’élèves de 5ème et 4ème.
Ce Focus présente une sélection d’indicateurs issus de l’analyse de l'enquête menée par le Ministère de la justice via la Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse (DPJJ) visant à actualiser les données sur l'état de santé des jeunes pris en charge par la PJJ, les dernières enquêtes de l'Inserm datant de 1997 et 2005. Ces jeunes faisant l’objet d’une mesure judiciaire au pénal constituent une population globalement vulnérable dont l’état de santé, et plus largement les déterminants de santé, méritent une attention particulière car cumulant de nombreux facteurs de risque. Les points présentés portent sur : le profil des jeunes, l'hygiène de vie et les données staturo-pondérales, la perception de la santé, les maladies chroniques et le handicap, la santé mentale, les consommations de produits psychoactifs, l'usage du numérique, la vie affective et sexuelle, les violences agies et subies, le recours aux soins et la littératie en santé, les relations familiales et sociales.
Ce document présente les résultats d'une première année d'enquête auprès des jeunes scolarisés en maisons familiales et rurales (MFR) en Normandie. Ce dispositif a permis de faire un état des lieux de la situation de ce jeune public ayant choisi une formation par l'apprentissage. Sont présentés dans ce rapport, les résultats concernant les déterminants de santé – cadre de vie, précarité, activité physique, alimentation, consommation de substances psychoactives – mais aussi l’état de santé – santé générale, accès aux soins, santé mentale – et la vie affective et sexuelle.
La pratique d’activités sportives et récréatives procure aux jeunes des bénéfices importants sur leur santé. Par exemple, l’activité physique leur permet de développer leur santé cardiovasculaire et leurs compétences sociales. Cependant, elle peut comporter des risques de blessures comme les commotions cérébrales, en particulier dans les sports de contact et à haut risque de collision. Une synthèse des connaissances, produite par l’Institut national de santé publique du Québec, répertorie les stratégies ayant fait l’objet d’une évaluation en matière de prévention des commotions cérébrales en contexte récréatif et sportif chez les jeunes de moins de 25 ans.
Le Conseil de l’enfance et de l’adolescence du HCFEA a présenté le 26 septembre 2025 une étude sur les représentations de l’enfance, de l’adolescence, et des politiques publiques qui les concernent, réalisée avec Toluna-Harris Interactive sur la base d’un sondage représentatif auprès de la population adulte en juin 2025. Il a annoncé à cette occasion l’ouverture des inscriptions à son colloque Quelle enfance en France aujourd’hui ?, le 17 novembre 2025 au HCSP, 20, avenue de Ségur, Paris 7e
Face au manque de données concernant l’enfance, l’étude HCFEA/Toluna-Harris Interactive interroge la façon dont les adultes se représentent les enfants et les adolescents, ce qu’ils vivent, ressentent, ce qui les inquiète, mais aussi les évolutions et priorités de l’action publique à leur égard. Cette enquête d’opinion révèle que les adultes posent un regard positif sur les enfants. Mais il l’est moins sur les adolescents, perçus comme rencontrant davantage de difficultés : inquiétudes du quotidien (notamment sur l’apparence physique), et concernant leur avenir. Parmi les répondants, les jeunes femmes estiment davantage que la présence dans l’espace public peut être plus difficile à vivre pour les filles. L’étude montre également que les politiques publiques en direction de l’enfance sont considérées comme un enjeu majeur des pouvoirs publics par les trois-quarts des répondants. Quatre domaines sont perçus comme ayant particulièrement progressé ces dernières années : l’inclusion des enfants en situation de handicap, le sport, le soutien aux parents et les modes de garde du jeune enfant. Ces situations ne sont plus considérées comme devant être une priorité des pouvoirs publics ces prochaines années. Au contraire les domaines de l’Education nationale, de la santé mentale et de la justice des mineurs sont perçus comme s’étant dégradés, et comme devant constituer des priorités pour les pouvoirs publics.
Santé publique France publie aujourd’hui une synthèse inédite sur l’exposition aux écrans des enfants de 3 à 11 ans scolarisés en maternelle et en élémentaire en France hexagonale. Cette publication s’appuie sur les données de l’enquête Enabee (Etude nationale sur le bien-être des enfants) et permet de dresser pour la première fois un état des lieux représentatif de l’exposition aux écrans des enfants sur leur temps de loisirs. Si les écrans peuvent offrir de nombreuses opportunités, leur utilisation excessive et l’impact de cette utilisation sur la santé et le développement des enfants suscitent des inquiétudes. Les résultats montrent qu’en 2022, la quasi-totalité des enfants de 3 à 11 ans était exposée à au moins un type d'écran et le temps d'exposition aux écrans augmentait avec l'âge. Ils mettent également en lumière l’implication des parents dans l’encadrement de l’exposition des enfants aux écrans et l’impact des inégalités sociales. L’ensemble des données présentées aujourd’hui contribue à renseigner le poids de l’utilisation des écrans par les enfants et confirme l’importance des actions de prévention et de soutien à la parentalité.
En 2022, le temps passé par les enfants devant les écrans était en moyenne de 1 h 22/jour chez les 3-5 ans, 1 h 53/jour chez les 6-8 ans et 2 h 33/jour chez les 9-11 ans scolarisés en maternelle et élémentaire ; il augmentait avec l'âge et était deux fois plus important les jours sans école en comparaison des jours avec école
Réalisé chaque année par le par le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (CRÉDOC), le baromètre interroge un large échantillon de jeunes âgés de 15 à 30 ans, ainsi que, à des fins comparatives, des personnes de 31 ans et plus. En mars-avril 2025, 4 504 jeunes et 1 024 adultes âgés de 31 ans et plus, sélectionnés selon la méthode des quotas, ont été enquêtés en ligne en France hexagonale et par téléphone dans les territoires ultramarins (La Réunion, Martinique, Guadeloupe, Guyane). La taille relativement conséquente de l’échantillon permet d’affiner la compréhension des dynamiques à l’œuvre au sein de la jeunesse – une population encore peu étudiée dans les grandes enquêtes statistiques – et de mieux appréhender les inégalités, tant entre générations qu’au sein même des jeunes.
La note dresse un portrait détaillé du système éducatif français, éclairé par des comparaisons internationales. On y constate la persistance marquée des inégalités d’accès et de réussite selon l’origine sociale, malgré une élévation globale du niveau de diplôme. Les jeunes issus de milieux moins favorisés ont beaucoup moins de chances d’accéder à l’enseignement supérieur et à de meilleures conditions d’emploi, tandis que la part de diplômés continue de progresser, reflet d’une dynamique mais aussi des nécessaires efforts en matière d’accompagnement et de lutte contre le décrochage. Compétences clés, adaptation et enjeux stratégiques Le rapport met en lumière le besoin d’une consolidation des compétences fondamentales, comme la littératie, dont la faiblesse touche des profils divers, diplômés compris. Il alerte sur la nécessité d’adapter les politiques éducatives pour mieux soutenir la réussite de tous, en prenant en compte les mutations du marché du travail et l’enjeu de la participation croissante – mais inégale – des femmes et des publics défavorisés. La recommandation majeure demeure l’investissement constant dans l’équité et la qualité, et le renforcement des liens entre éducation, inclusion et employabilité.