Une meilleure formation des agents publics, des engagements financiers sans précédent, un ensemble d'actions concrètes pour garantir l’accès et l’effectivité des droits et sanctionner les auteurs et les actes LGBTphobes, tels sont les moyens préconisés, dans ce plan, pour faire reculer et sanctionner la haine et les discriminations.
Veille documentaire
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
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7 collégiens du Puy de Dôme sont les acteurs d’une campagne de sensibilisation aux bienfaits de l’activité physique par la création de 8 courtes vidéos présentant à la fois des challenges à relever et des connaissances anatomiques et biomécaniques.
Cette campagne a été réalisée dans le cadre d’une convention de partenariat signée entre les collèges du Beffroi de Billom, François Villon de Saint-Dier d’Auvergne et Billom Communauté, pour la mise en place d’ateliers de prévention pour lutter contre la sédentarité. Animés par la coordonnatrice jeunesse du service jeunesse Bi’Kigaï de Billom Communauté et le coordinateur sportif de l’antenne de la Maison Sport-Santé de Billom Communauté, ces ateliers ludiques et constructifs, ont permis aux jeunes volontaires d’acquérir des connaissances sur l’activité physique, la sédentarité et la santé physique et mentale. Après avoir compris les enjeux de la démarche, ils ont réfléchi à une stratégie pour inciter les jeunes à pratiquer une activité physique quotidienne. Ils ont choisi un format « challenge » à réaliser par deux ou trois présentés sous forme de courtes vidéos.
Ce rapport fait le point sur les progrès accomplis au niveau mondial en direction des objectifs d’éradication de la faim (cible 2.1 des ODD) et d’élimination de la malnutrition sous toutes ses formes (cible 2.2). Il montre que la faim est demeurée relativement stable au niveau mondial entre 2021 et 2022, mais qu’elle se maintient largement au-dessus du niveau enregistré avant la pandémie de covid-19, et même qu’elle augmente dans de nombreuses régions où les populations n’ont pas encore pu compenser les pertes de revenus occasionnées par la pandémie, ou ont été durement touchées par la flambée des prix des denrées alimentaires, des intrants agricoles et de l’énergie, par des conflits et/ou par des phénomènes météorologiques extrêmes. Le rapport donne également des estimations actualisées concernant les milliards de personnes qui n’ont pas accès toute l’année à une alimentation nutritive, sans danger pour la santé et en quantité suffisante. Il fait apparaître que, dans l’ensemble, nous sommes bien mal engagés pour atteindre l’ensemble des cibles liées à la nutrition. Si des progrès sont observés en ce qui concerne d’importants indicateurs de la nutrition infantile, l’augmentation du taux d’excès pondéral constatée chez les enfants de moins de 5 ans dans de nombreux pays laisse présager un accroissement de la charge des maladies non transmissibles.
Il est recommandé à chacun de pratiquer un sport adapté à son âge et à ses capacités physiques pour améliorer sa santé. Mais les activités du quotidien peuvent-elles également nous aider à maintenir ce capital ? Le suivi de personnes de plus de 65 ans sur près de 20 ans confirme qu’il n’y a pas d’activité inutile : toutes peuvent réduire notre risque de décès.
Diverses études sur la forte exposition aux écrans témoignent de son impact négatif sur les résultats scolaires, du surcroît d’agressivité à l’égard des autres enfants, d’une diminution du temps de sommeil, d‘une baisse de la qualité des relations au sein de la famille. C’est aussi un facteur d’accroissement des inégalités sociales, car ce sont les enfants des classes populaires qui sont le plus exposés.
« La vieillesse, c’est ce qui arrive aux gens qui deviennent vieux », écrivait Simone de Beauvoir. Comment la vieillesse est-elle vécue par les vieux ? A 82 ans, Madeleine se retourne pudiquement sur une existence de privations, en savourant ses retrouvailles avec le présent.
Du 1er mai au 30 novembre de chaque année, Santé publique France coordonne la surveillance renforcée saisonnière du chikungunya, de la dengue et du Zika dans les départements métropolitains, en lien avec les Agences régionales de santé (ARS) concernées
Trois semaines après le début de la campagne vaccinale contre les HPV dans les classes de 5ᵉ, le ministre de la santé s’attend à des résultats variant fortement d’une région à l’autre, et ne fixe pas d’objectif chiffré de couverture.
Les inégalités environnementales sont à la mode, mais le débat est souvent confus. De quoi parle-t-on au juste ? Quelles sont les relations entre inégalités environnementales et sociales ? L’analyse de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.
Dans son approche monétaire, la pauvreté apparaît moins présente en Bourgogne-Franche-Comté qu’en moyenne en France métropolitaine. Quelle que soit leur classe d’âge ou la composition du ménage, les habitants de la région sont moins exposés à la pauvreté. En revanche, celle-ci se concentre davantage qu’au niveau national dans les communes urbaines. Si les départements de la Côte-d’Or et du Jura sont davantage épargnés par la pauvreté, ceux de la Nièvre et du Territoire de Belfort sont plus touchés. Les mécanismes de redistribution entraînent une réduction nette de la pauvreté. Les prestations sociales participent à hauteur de 35 % au revenu disponible des ménages de la région vivant sous le seuil de pauvreté. Elles apportent un soutien financier important à ces ménages, relativement jeunes pour une grande part et souvent soutien de famille. Le lien à l’emploi et le statut d’occupation du logement permettent d’identifier six profils socio-démographiques illustrant la diversité des situations auxquelles peuvent être confrontés les ménages pauvres. La pauvreté peut se superposer à d’autres formes de difficultés sociales et être associée à des facteurs potentiellement aggravants. Certains sont assez directement liés à la pauvreté, d’autres plus indépendants ou contextuels : une situation défavorable sur le marché du travail, un faible niveau de formation initiale, des situations familiales délicates, des difficultés d’accès au logement, aux soins, aux services de la vie courante ou encore des difficultés liées à la mobilité.
Aujourd’hui l’urgence de changer de mode de vie se fait sentir de plus en plus fortement mais ce n’est pas si simple d’enclencher un changement. Pourquoi ? Que nous dit la science sur l’accompagnement au changement et sur les leviers d’actions ? Où en est-on en Bourgogne-Franche-Comté ? Comment faire ces transitions en douceur ?
Les semaines d’information sur la santé mentale, présentes en France tous les mois d’octobre depuis plus de 30 ans, sont une occasion de rappeler combien ce déterminant de santé est le déterminant des déterminants. Il commence dès la petite enfance, et notre témoin porteur de l’école des émotions le décrit plus bas : « L’école est un bain propice au développement des CPS. Elles favorisent le devenir individuel de chaque élève et en parallèle, le devenir collectif ». Plus tard dans la vie et dans la société, il faut encore et toujours lutter contre les effets de la stigmatisation, en plaçant ce sujet sur la place publique. Ce que font les acteurs interrogés, conseils locaux en santé mentale, associations citoyennes… Chaque année est un pas de plus vers le long chemin pour atteindre davantage l’objectif de donner à chaque enfant, adulte en devenir, les chances de parvenir au bien-être mental et physique nécessaire pour la réalisation de soi.