Veille documentaire

Au 1er juillet 2022, le centre pénitentiaire de Bordeaux-Gradignan était la prison la plus surpeuplée de France. Un rapport cinglant de la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté a dénoncé des «conditions inhumaines de détention».

Cette enquête couvre différentes problématiques se rapportant à la santé des étudiant·es (couverture médicale, santé mentale, handicap, etc.). Elle pointe que 33 % des étudiant·e·s interrogé·e·s ont renoncé à des examens ou soins médicaux pour des raisons financières.

« Dis-moi… » est une série pédagogique inédite de 50 épisodes de 2 minutes qui répond à des questions spécifiques sur le développement de l’enfant à la lumière des récentes découvertes en neurosciences et pour promouvoir la bienveillance éducative.

L’objectif de cette étude était d’identifier les besoins éducatifs en santé des personnes porteuses de plusieurs maladies (polypathologie) dont le VIH et/ou une ou plusieurs hépatites, et vivant en situation de précarité en appartement de coordination thérapeutique (ACT).

Le risque zoonotique est un enjeu majeur de santé publique, qui devrait inciter à une collaboration étroite entre vétérinaires et médecins pour y faire face. Pourtant les quelques études disponibles pointent l’absence de collaboration entre ces professionnels, et avancent comme facteurs explicatifs des contraintes organisationnelles et culturelles. Aucune n’a investigué de possibles déterminants psychosociaux.

C'est dans un contexte marqué par le changement climatique, la préservation de la biodiversité, l'évolution du modèle économique du secteur de l'agro-alimentation et les nouvelles habitudes de consommation que Dijon métropole déploie un projet global de transition alimentaire répondant à quatre défis : environnementaux, sociaux, économiques et territoriaux. Avec ce projet baptisé Prodij, la métropole mobilise plus de 250 partenaires (chercheurs, ingénieurs, étudiants, entreprises, agriculteurs...) réunis pour inventer un modèle d'alimentation durable à l'horizon 2030.

L’agriculture régénératrice (AR) vise à l’amélioration de l’écosystème agricole, dont le sol constitue l’élément fondamental. Elle entend restaurer l'état physique et biologique des sols ayant subi une dégradation de leur structure et de leur fertilité.Et quelles sont les limites de ce concept, aux contours scientifiques encore flous ? Zoom sur une approche certes prometteuse, mais que les consommateurs ne devront pas laisser être dévoyée.

Les dispositifs de maraudes numériques doivent permettre de repérer et orienter des personnes en situation de prostitution, en particulier celles vraisemblablement mineures. Pour cela, il est attendu que les projets se structurent autour de quatre axes :
• La mise en œuvre d’un « aller vers numérique »
• La mise en œuvre d’une évaluation de la situation de la personne pour permettre sa protection
• La mise en place de partenariats permettant l’orientation des jeunes vers une prise en charge adaptée
• La mise en place d’une équipe de professionnels en capacité de répondre aux besoins des publics bénéficiaires

Le présent appel à projets vise à apporter un soutien financier pour permettre le déploiement ou le renforcement de structures spécialisées dans la prévention, le repérage et l'accompagnement autour des situations de prostitution de mineurs. Ces structures financées doivent permettre de développer un travail autour de ses situations, avec les victimes elles-mêmes mais aussi avec leurs proches ou les professionnels, qui ont signalé ou souhaitent signaler une situation d'exploitation sexuelle de mineurs.

J'ai osé, qui met en avant le parcours de jeunes inspirants, qui sont allés au bout de leurs envies et de leurs projets !

Ce épisode fait le point sur une récente étude suggérant un lien entre la consommation d'aliments ultra-transformés (environ un tiers de l'assiette des Français) et le développement de la maladie d'Alzheimer. Que sont ces aliments ? De combien augmentent-ils le risque de développer la maladie ? Les réponses à ces questions sont dans La Santé Sur Écoute.

Ravitaillée par camion-citerne, le village de Seillans limite la consommation d’eau à 150 ou 200 litres maximum par personne et par jour.