Ces projets favorisent l’inclusion et qui améliorent l’accueil des personnes atteintes partout dans la société : les commerces de quartier, les supermarchés, les services publics, les activités sportives et culturelles, les cafés, les restaurants, les écoles, en rue… ; accompagnent la personne atteinte et son entourage proche dès le diagnostic de la maladie ; brisent l’isolement autour des personnes atteintes de démence et renforcent le tissu social autour d’elles et de leurs proches ; donnent du répit à l’entourage de la personne ; préparent et accompagnent la personne en fin de vie ; prévoient une sensibilisation et/ou la formation des personnes qui interagissent avec la personne désorientée (professionnels de l’aide et du soin, médecins, dentistes, assistants sociaux, psychologues, services administratifs et le grand public) ; lèvent le tabou entourant le thème de la démence et mettent l’accent sur la dimension humaine ; donnent la parole aux personnes atteintes elles-mêmes ainsi qu’aux aidants proches et qui contribuent à nous rendre ‘leur monde’ plus accessible et plus compréhensible.
Veille documentaire
Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
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Date limite de dépôt de dossier : 14 mars 2023. L'objectif de cet appel est de développer de nouvelles stratégies et des approches ciblées pour identifier, comprendre et modifier les déterminants et les mécanismes des comportements liés à l'alimentation et à l'activité physique ainsi que des comportements sédentaires afin de briser les habitudes des modes de vie malsains et de réduire les inégalités en matière de santé. La recherche doit être ciblée sur les groupes défavorisés sur le plan socio-économique et leur environnement, comme le contexte familial, social, culturel et local, ainsi que les influences numériques. Les candidats doivent définir et justifier clairement leur choix de groupe(s) cible(s). En outre, la stratégie permettant d'atteindre ces groupes cibles doit être innovante et décrite en détail. Seuls les projets transnationaux seront financés.
Cette publication, publiée par le Réseau français des Villes-Santé de l'OMS, a été co-rédigée avec la Ville de Poitiers et la Ville de Lille. Elle se propose comme un outil de plaidoyer vers une approche de ‘santé mentale dans toutes les politiques’ pour améliorer la prise de conscience et la reconnaissance du rôle de l’ensemble des élus et services de la ville en faveur de la santé mentale.
En 2009, 150 des 180 résidents de l'établissement de soins d'Ellignies-Sainte-Anne (Belgique) étaient français. À l'époque, environ 6 500 Français vivant avec un handicap se trouvaient dans des institutions belges, faute de structures adaptées en France. Ce chiffre est depuis passé à 8 500, soit une augmentation de plus de 30 %.
Les Guides départementaux Santé mentale sont des annuaires de ressources (soins, accompagnements et entraide). Ils recensent les lieux de soins et d’accueil psychiatriques, les dispositifs médico-sociaux pour les personnes en situation de handicap psychique, les associations d’usagers et les Groupes d’entraide mutuelle (GEM), des informations sur les droits des usagers, les partenaires institutionnels et les ressources documentaires utiles sur un département.
Le fait d'être incitée au dépistage par un professionnel avec lequel une relation de confiance est établie est un facteur favorisant essentiel, souligne la Haute Autorité de santé (HAS). En ce sens, le professionnel de santé a un rôle déterminant dans la sensibilisation des femmes à l'importance d'un dépistage régulier.
L’étude Anticiper 2030 : crises, transformations et résilience, menée par Futuribles et la Croix-Rouge française, a été le lieu de cette réflexion sur les crises de demain et d’une exploration des solutions de résilience. Ce travail prospectif a nourri la Stratégie 2030 de la Croix-Rouge française et a fixé les grandes orientations autour d’une vision commune du futur.
L’engagement parental dans le suivi scolaire de son enfant est depuis longtemps reconnu comme un ingrédient clé de la réussite et de la persévérance scolaires. Les élèves du primaire dont les parents sont plus engagés en général, mais aussi de façon spécifique (p. ex., aide aux devoirs, accompagnement dans la lecture) réussissent mieux à l’école (Statistique Canada, 2000; Institut de la statistique du Québec [ISQ], 2013). Devant l’importance capitale que revêt l’engagement parental dans le parcours scolaire de leur enfant, il incombe de mieux comprendre pourquoi certains parents peinent à s’engager activement et de façon optimale. Pour ce faire, notre projet s’attache à mieux comprendre le niveau de satisfaction des besoins psychologiques des parents d’enfants du primaire dans le cadre de leur engagement scolaire ainsi que son rôle pour favoriser la qualité de leur engagement scolaire. À ce jour, aucune étude à notre connaissance ne s’était intéressée à ces processus.
Heureusement que la technologie a été là pour assurer la poursuite pédagogique durant la pandémie de covid-19 ! Bien que cette transition brutale n'ait pas été parfaite, elle a tout de moins évité que des apprenants ne puissent terminer leur année scolaire. Toutefois, cette surexposition aux écrans - s'additionnant déjà à un mode de vie où ceux-ci sont plus que présents - a mené plusieurs personnes à exprimer certains symptômes. Des enseignants ont vu leurs élèves incapables de se concentrer sur des leçons, être désengagés des activités en classe et perdre le goût de participer. Comme si une trop longue période de formation à distance avait réduit leurs capacités sociales, celles d'effectuer des tâches manuelles comme l'écriture manuscrite, etc. Sans compter toutes les distractions possibles avec les applications, les jeux, les réseaux sociaux, etc.
Le Grand Avallonnais a décidé de se doter d’un Schéma de Cohérence Territoriale (Scot) approuvé depuis le 15 octobre 2019. Il est aujourd’hui reconnu que la santé ne se résume pas à une absence de maladie ou d’infirmité, et que l’état de santé d’une population ne dépend pas uniquement de la qualité du système de santé qui lui est proposé. En effet, il est globalement tributaire des conditions dans lesquelles les personnes vivent et travaillent, dans la mesure où de nombreux facteurs liés à notre environnement physique, social et économique peuvent influencer notre santé (dénommés « déterminants de santé »). En ce sens, les choix faits en matière d’aménagement du territoire et d’urbanisme peuvent avoir un impact sur la santé et peuvent faire l’objet d’une telle évaluation. L’Agence régionale de santé (ARS) Bourgogne-Franche-Comté et le Pays Avallonnais ont missionné l’ORS BFC pour réaliser une évaluation d’impact sur la santé (EIS) « flash » sur ce schéma. Le but de l’EIS est de questionner son impact potentiel sur la santé des habitants et de produire des recommandations à l’adresse des décideurs, pour optimiser et favoriser les impacts positifs tout en réduisant les impacts négatif
La durée de vie moyenne des femmes atteintes de mucoviscidose est de 49 ans, contre 56 ans pour les hommes. Pourquoi une telle différence ? La réponse pourrait se trouver du côté de l'inflammation.
Un collectif de médecins, de chercheurs et d’élus estime, dans une tribune au « Monde », nécessaire de refonder notre vision de la santé publique en l’élargissant à des domaines autres que le seul monde médical.