Le plan national de réduction des émissions de polluants atmosphériques (Prépa), dans sa version actualisée, a été publié ce 16 décembre. Attendu au tournant sur ce dossier, le gouvernement table sur de nouvelles mesures sectorielles pour améliorer la qualité de l’air pour les quatre prochaines années (2022-2025), et ainsi répondre aux exigences de la directive européenne 2016/2284.
Veille documentaire
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Près de 3 ans après le premier plan covoiturage annoncé par Élisabeth Borne, le gouvernement lance un Plan national covoiturage du quotidien, avec des mesures et des investissements inédits afin d’atteindre un objectif clair : tripler le nombre de trajets quotidiens réalisés en covoiturage, en passant à 3 millions de trajets par jour.
Le Centre d'expertise sur le bien-être et l'état de santé des réfugiés et des demandeurs d'asile (CERDA) met à disposition des ressources dans le cadre du projet Bien-être et santé mentale des réfugiés : webinaire, fiches de synthèse, guide de sensibilisation, rapports. Le projet est développé sur deux volets : recensement des pratiques et des mesures de soutien, ainsi que développement et offre d'activités de transfert de connaissances.
La faute aux voitures ? Aux industries ? Au chauffage ? La pollution atmosphérique est l’objet de nombreuses controverses qui, bien souvent, sont le fruit d’incompréhensions. De quoi parle-t-on exactement lorsqu’on évoque la qualité de l'air ? Quels sont les principaux polluants en jeu ? Quelles en sont les principales sources d’émission, et quels effets ont-ils sur la santé et l’environnement ? Éléments de réponse en images et en chiffres.
Une enquête menée pendant deux ans par une équipe du CHU de Lille auprès de détenus proches de leur libération montre aussi une prévalence très élevée des addictions.
Les intoxications au monoxyde de carbone peuvent concerner chacun d’entre nous. L’ARS Bourgogne-Franche-Comté rappelle que quelques gestes simples de prévention permettent d’éviter les dangers de ce gaz parfois mortel.
La Mildeca et l’Onaps se sont associés pour conduire un projet visant à caractériser, à partir de la littérature existante, les liens entre activité physique et consommation de substances psychoactives, selon les trois angles d’analyses suivants : 1) L’activité comme un facteur de prévention des consommations, ou de limitation de celles-ci ; 2) L’activité physique comme une modalité de prise en charge thérapeutique pour les usagers dépendants ; 3) L’activité physique comme un facteur d’initiation ou d’incitation à la consommation de substances psychoactives.
En avril 2022, à l’occasion de la Journée mondiale de la santé, le directeur général de l’OMS alertait : « La crise climatique est une crise sanitaire : ce sont les mêmes choix non durables qui tuent notre planète et qui tuent les gens. » Ce cri d’alarme est un appel à l’action. Un appel à la mise en œuvre sur nos territoires de solutions d’aménagement durable, qui bénéficient à la fois au climat et à la santé humaine. Tour d’horizon.
La ville de Besançon rénove ses cours d'école pour améliorer la qualité de vie des enfants.
En 2017, le gouvernement s’est engagé dans le développement des habitats dits « inclusifs ». Dans le secteur de la santé mentale, ces habitats ont un impact majeur en termes de réinsertion des personnes vivant avec un handicap psychique, tant d’un point de vue d’inclusion sociale, que sur les parcours de soins en psychiatrie. Ces effets sont rendus possibles grâce, notamment, à l’intervention des Services d’Aide et d’Accompagnement à Domicile (SAAD).
Les méthodologies conventionnelles ne sont pas toujours pertinentes pour évaluer les risques potentiels pour la santé des consommateurs des nanomatériaux utilisés dans l’alimentation. L’Anses a donc proposé en 2021 une méthodologie d’évaluation des risques dite « nanospécifique », qu’elle vient de tester sur l’additif alimentaire E171, ou dioxyde de titane (TiO2), qui est le nanomatériau le plus étudié. Son usage dans l’alimentation est interdit en Europe depuis aout 2022. Cette application concrète de la méthodologie montre à la fois son bien-fondé et l’ampleur des données manquantes pour mener à bien une évaluation des risques adaptée aux nanomatériaux dans l’alimentation.