Issu d'une capitalisation auprès des acteurs et actrices de dynamiques territoriales de santé, ce dossier ressources propose un état des lieux de la thématique et présente plusieurs actions inspirantes.
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Un appel à projet auquel candidater ? Une publication incontournable ? Une actualité indispensable? Une vidéo particulièrement percutante ? Retrouvez ici les informations repérées chaque jour par notre équipe concernant toutes les thématiques du Rrapps.
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Issu d'une capitalisation auprès des acteurs et actrices de dynamiques territoriales de santé, ce dossier ressources propose un état des lieux de la thématique et présente plusieurs actions inspirantes.
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Cette synthèse des données vise à informer les décideurs et les intervenants des changements survenus dans l’alimentation d’adultes québécois et canadiens durant la pandémie et à orienter les travaux subséquents en promotion de la saine alimentation dans le contexte actuel et pour les années à venir. Pour environ la moitié des thématiques étudiées, les données étaient insuffisamment nombreuses pour en tirer des conclusions. Pour l’autre moitié des thématiques recensées, bien que les données représentent des perceptions autorapportées de changement et qu’elles soient en majorité basées sur des échantillons non probabilistes de petite envergure et/ou non représentatifs, certains constats ont pu être tirés.
Depuis quand distingue-t-on « bons » et « mauvais » pauvres ? Et surtout : comment lutter aujourd'hui contre cette opposition, et contre les discriminations qui s'ensuivent ? Autant de questions auxquelles l'historienne Axelle Brodiez-Dolino tente de répondre ici dans un article passionnant.
L’université est pleinement engagée pour soutenir la qualité de vie de ses étudiants. Depuis le début de la crise sanitaire, un guide des aides est régulièrement actualisé pour répondre à leurs besoins et les orienter dans leurs démarches.
Dans le cadre du réseau PNNS en Bourgogne-Franche-Comté, un atelier créatif est proposé le 11 janvier à Saint Amand en Puisaye pour imaginer des actions de promotion de la santé en nutrition en milieu de travail. Cet atelier s’inscrit dans le projet national Manger mieux, Bouger plus au travail développé par le CNAM ISTNA avec l’INCA.
Depuis quelques décennies, l’idée initiale est devenue consensus établi parmi les chercheurs : les 1000 premiers jours conditionnent la santé et le bien-être de l’individu tout au long de sa vie. Ainsi, dans de nombreux pays comme le Danemark, le Canada, le Royaume Uni, des politiques de santé publique orientée en direction vers cette période ont vu le jour. Des programmes qui font en France l’objet d’une attention croissante. En 2019 par le Président de la République a installé une commission de 18 experts, spécialistes de la petite enfance, présidée par le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, qui a remis en septembre 2020 au Gouvernement un rapport important. Le docteur Thierry Cardoso, responsable de l'unité petite enfance, direction de la prévention et promotion de la santé, à Santé publique France nous explique que cette révolution culturelle a démarré il y a une quarantaine d’années grâce aux avancées de la recherche scientifique.
La première rencontre des acteurs du Programme National Nutrition Santé s’est tenue le 30 septembre 2021 à Saint Apollinaire. Elle a réunit plus de 50 professionnels et élus autour de plusieurs questions : Comment s’appuyer sur le Réseau Régional d’Appui à la Prévention et Promotion de la santé pour développer des actions ? Comment le réseau PNNS peut-il faciliter l'articulation des dynamiques nutrition sur les territoires ? Comment construire des plans d'actions adaptés aux besoins ? Comment penser l’évaluation des actions Nutrition dans le cadre de la dynamique PNNS ?
Cet article critique le modèle intégrationniste de participation des usagers et usagères dans les institutions sociosanitaires au Québec et en France, caractérisé par un rapport extractiviste aux savoirs issus du vécu de ces personnes ainsi que par une vision individualiste, dépolitisée et non conflictuelle de la participation. L’exemple des groupes d’entendeurs et entendeuses de voix suggère un autre rapport aux savoirs expérientiels, que le modèle de l’écologie des savoirs proposé par Boaventura de Sousa Santos permet de mieux comprendre. L’article s’appuie la littérature scientifique ainsi que sur des données empiriques issues des recherches réalisées par l’auteur depuis 2009 dans le champ de la santé mentale.
Les quartiers prioritaires de la politique de la ville sont marqués par de fortes inégalités sociales et territoriales de santé, et la crise sanitaire que nous traversons est venue réaffirmer les vulnérabilités de ces quartiers, et des populations qui les habitent. Inégalités d’accès aux soins, prévalence de certaines pathologies, expositions à de nombreuses nuisances et pollutions… sont autant d’indicateurs qui le confirment. Au regard de ces enjeux, il apparaît donc que les urbanistes et les professionnels du renouvellement urbain ont un rôle à jouer dans la lutte contre ces inégalités de santé. Cette table ronde a réuni ainsi experts de santé publique, du renouvellement urbain et de la politique de la ville, afin d’explorer les solutions que l’urbanisme peut apporter pour répondre aux enjeux de santé dans les quartiers prioritaires.
En 2019, l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT/CGET) a lancé, en partenariat avec l’APVF, une Fabrique Prospective sur le thème : « Petites villes et santé environnementale : quelles attentes, quelles mutations et quelles ressources ? ».
Après l’âge, l’obésité est le principal risque de forme sévère de Covid-19. La sédentarité favorisant le surpoids, l’activité physique pourrait jouer un rôle dans la prévention des complications.
Le Plan santé au travail 4 (PST 4) a été présenté mardi 14 décembre 2021 en Conseil national d’orientation des conditions de Travail (CNOCT), sous la présidence du Secrétaire d’État en charge des retraites et de la santé au travail, Laurent Pietraszewski. Le plan présenté ce jour pour la période 2021-2025 est le fruit d’un travail de co-construction entre l’État, les partenaires sociaux, la Sécurité sociale et tous les organismes de prévention. Il conforte le renversement de perspective opéré à partir du troisième Plan Santé au Travail en accordant la priorité à la prévention sur la réparation, dans la continuité de l’Accord National Interprofessionnel du 9 décembre 2020 et de la loi du 2 août 2021 renforçant la prévention de la santé au travail.