L’ambroisie à feuilles d’armoise (Ambrosia artemisiifolia L.) est une plante invasive dont le pollen émis en fin d’été est particulièrement allergisant. Il suffit de quelques grains de pollen par mètre cube d’air pour que les manifestations allergiques apparaissent chez les sujets sensibles. Les plus courantes sont des rhinites, des conjonctivites, ou des symptômes respiratoires tels que trachéite, toux et parfois urticaire ou eczéma. Dans 50% des cas, l’allergie à l’ambroisie peut entraîner l’apparition de l’asthme ou provoquer son aggravation. Selon la zone infestée par cette « mauvaise herbe » envahissante, 6 à 12 % de la population exposée serait allergique. Les coûts de la perte de qualité de vie sont estimés entre 346 M€ et 438 M€.
Veille documentaire
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Date limite de dépôt de dossier : 31 mai 2024. L’Assurance retraite et la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) lancent à nouveau, en 2024, un appel à projets national doté de 36 millions d'euros pour financer les travaux de réhabilitation et modernisation des résidences autonomie afin d'améliorer le cadre de vie des retraités.
Virus de la Covid-19, de la variole du singe, hausse des infections fongiques, multiplication des cas d’infections bactériennes sexuellement transmissibles… Les maladies infectieuses font leur grand retour dans l’actualité, alors qu’on les pensait vaincues grâce à la vaccination, aux progrès de l’hygiène, et à notre puissant arsenal thérapeutique, au premier rang duquel figurent les antibiotiques, les antiviraux et les antifongiques. Malheureusement, après avoir un temps marqué le pas, ces microscopiques envahisseurs semblent contre-attaquer, et certaines nouvelles en provenance du front ne sont pas très bonnes pour nous. L’antibiorésistance, autrement dit la résistance des bactéries aux antibiotiques, inquiète tout particulièrement les spécialistes. Voici ce qu’il faut en savoir.
Le CLS Grand Besançon en partenariat avec la Mutualité Française Bourgogne-Franche-Comté propose plusieurs formations sur les enjeux autour des perturbateurs endocriniens à destination des professionnels de la petite enfance : comment limiter en pratique les perturbateurs endocriniens dans l’environnement de la structure. Ces formations s’inscrivent dans la Charte Ville et Territoire Sans Perturbateurs Endocriniens de la Ville de Besançon.
Le CLS Grand Besançon s’engage en partenariat avec Promotion Santé Bourgogne-Franche-Comté à déployer sur l’ensemble du territoire, dans les différents milieux de vie de l’enfant, des formations aux compétences psychosociales.
Date limite de dépôt de dossier : 24 mai 2024, minuit. Le périmètre d’intervention du Fonds de lutte contre les addictions (FLCA) a été élargi ces dernières années mais la priorité des actions reste axée sur la réduction des consommations de substances psychoactives, en particulier celles liées au tabac et à l’alcool en tenant compte également de l’importance des poly consommations. Les actions soutenues au niveau régional, annuelles ou pluriannuelles (2 à 3 ans) s’inscriront dans au moins l’un des 3 axes retenus par les instances du fonds et indiqués ci-après : Axe 1 : Protéger les jeunes et prévenir l’entrée dans le tabagisme et autres addictions avec ou sans substance ; Axe 2 : Aider les fumeurs à s’arrêter et réduire les risques et les dommages liés aux addictions avec ou sans substance ; Axe 3 : Amplifier certaines actions auprès de publics prioritaires dans une volonté de réduire les inégalités sociales de santé.
L’engagement peut parfois être difficile et énergivore. Si vous vivez un sentiment collectif d’épuisement au sein de votre groupe ou si vous souhaitez prévenir celui-ci, ce guide est pour vous. Vous découvrirez des stratégies et solutions pour favoriser la bienveillance les un.e.s envers les autres.
La série de brochures d'information en santé mentale Mieux comprendre..mieux vivre avec est le fruit d’une étroite collaboration entre le C’JAAD du GHU Paris Psychiatrie et Neurosciences, le C2RB du CH La Chartreuse de Dijon, le Réseau Transition, et l'association La Maison Perchée. Il a été réalisé dans le cadre du RHU PsyCARE financé via le programme investissements d’avenir (PIA 4). Soigné·es et soignant·es se sont réuni·es pour les co-rédiger afin de les nourrir d’expériences de terrain et du vécu d’une diversité de professionnel·es et de personnes concernées.
La série de brochures d'information en santé mentale Mieux comprendre..mieux vivre avec est le fruit d’une étroite collaboration entre le C’JAAD du GHU Paris Psychiatrie et Neurosciences, le C2RB du CH La Chartreuse de Dijon, le Réseau Transition, et l'association La Maison Perchée. Il a été réalisé dans le cadre du RHU PsyCARE financé via le programme investissements d’avenir (PIA 4). Soigné·es et soignant·es se sont réuni·es pour les co-rédiger afin de les nourrir d’expériences de terrain et du vécu d’une diversité de professionnel·es et de personnes concernées.
La série de brochures d'information en santé mentale Mieux comprendre..mieux vivre avec est le fruit d’une étroite collaboration entre le C’JAAD du GHU Paris Psychiatrie et Neurosciences, le C2RB du CH La Chartreuse de Dijon, le Réseau Transition, et l'association La Maison Perchée. Il a été réalisé dans le cadre du RHU PsyCARE financé via le programme investissements d’avenir (PIA 4). Soigné·es et soignant·es se sont réuni·es pour les co-rédiger afin de les nourrir d’expériences de terrain et du vécu d’une diversité de professionnel·es et de personnes concernées.
La série de brochures d'information en santé mentale Mieux comprendre..mieux vivre avec est le fruit d’une étroite collaboration entre le C’JAAD du GHU Paris Psychiatrie et Neurosciences, le C2RB du CH La Chartreuse de Dijon, le Réseau Transition, et l'association La Maison Perchée. Il a été réalisé dans le cadre du RHU PsyCARE financé via le programme investissements d’avenir (PIA 4). Soigné·es et soignant·es se sont réuni·es pour les co-rédiger afin de les nourrir d’expériences de terrain et du vécu d’une diversité de professionnel·es et de personnes concernées.
En fin d’année 2023, l’Association des Proviseurs des Lycées à Classes Préparatoires aux Grandes Écoles (APLCPGE) a fait circuler une enquête auprès de l’ensemble des étudiants en CPGE. Le but de cette enquête était de mieux comprendre la qualité de vie et de travail des étudiants en classes préparatoires. L’Observatoire du Bien-Être du CEPREMAP a été sollicité pour analyser les premiers résultats de cette enquête, ce rapport détaille ces résultats.