Le rapport 2023 de la Fondation Abbé Pierre se penche, pour la première fois, sur le genre du mal-logement. Un phénomène qui touche d’abord les femmes seules, particulièrement si elles ont des enfants et si elles ont été victimes de violences.
Veille documentaire
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La prévention du suicide est un enjeu majeur de santé publique. C’est une priorité pour le ministère chargé de la santé qui l’a inscrite dans l’action 6 de la Feuille de route santé mentale et psychiatrie de 2018 et dans l’instruction du 6 juillet 2022 actualisant la stratégie multimodale de prévention du suicide. Leur objectif consiste à mettre œuvre de façon coordonnée dans les territoires un ensemble d’actions intégrées de prévention du suicide, présentées dans la stratégie nationale de prévention du suicide. Elle propose 4 actions phares : VigilanS : garder le contact avec les personnes ayant fait une tentative de suicide ; Rénover les formations à la prévention du suicide ; Prévenir la contagion suicidaire ; Créer un numéro national de prévention du suicide
Le suicide peut être évité. La plupart des personnes suicidaires ne souhaitent pas mourir. Elles ne veulent tout simplement plus vivre avec la souffrance. Parler ouvertement des pensées et des idées suicidaires peut sauver une vie. Ne sous-estimez pas vos capacités à aider, voire à sauver une vie.
Ces recommandations de bonnes pratiques professionnelles constituent le troisième volet d’un programme portant sur la prévention des addictions et la réduction des risques et des dommages qui avait été confié à l’Agence nationale de la qualité et de l’évaluation des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ANESM). Le premier volet, consacré aux centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues (CAARUD), est paru en octobre 2017. Le deuxième volet, portant sur les centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA), a été publié en septembre 2019. Ce troisième volet concerne l’ensemble des établissements et services du secteur social et médico-social (ESSMS) non spécialisés en addictologie. Il est décliné en quatre documents dédiés aux quatre secteurs : Personnes âgées, Handicap, Protection de l’enfance, Inclusion. Ces recommandations ont pour objectif de fournir des repères et outils aux professionnels sociaux et médico-sociaux en vue de : -prévenir ou retarder l’entrée dans les conduites addictives des personnes accompagnées et leur transition vers l’addiction -réduire les risques et les dommages liés à ces pratiques et améliorer la qualité de vie des personnes ayant des conduites addictives -accompagner vers les ressources spécialisées les personnes désireuses de se soigner ou de réduire leurs pratiques à risque et adapter le projet personnalisé d’accompagnement. Ce document porte sur le secteur des personnes âgées.
Ces recommandations de bonnes pratiques professionnelles constituent le troisième volet d’un programme portant sur la prévention des addictions et la réduction des risques et des dommages qui avait été confié à l’Agence nationale de la qualité et de l’évaluation des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ANESM). Le premier volet, consacré aux centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues (CAARUD), est paru en octobre 2017. Le deuxième volet, portant sur les centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA), a été publié en septembre 2019. Ce troisième volet concerne l’ensemble des établissements et services du secteur social et médico-social (ESSMS) non spécialisés en addictologie. Il est décliné en quatre documents dédiés aux quatre secteurs : Personnes âgées, Handicap, Protection de l’enfance, Inclusion. Ces recommandations ont pour objectif de fournir des repères et outils aux professionnels sociaux et médico-sociaux en vue de : -prévenir ou retarder l’entrée dans les conduites addictives des personnes accompagnées et leur transition vers l’addiction -réduire les risques et les dommages liés à ces pratiques et améliorer la qualité de vie des personnes ayant des conduites addictives -accompagner vers les ressources spécialisées les personnes désireuses de se soigner ou de réduire leurs pratiques à risque et adapter le projet personnalisé d’accompagnement. Ce document porte sur le secteur du handicap (enfants et adultes).
Une meilleure couverture vaccinale mondiale, insuffisante par manque de volonté politique, pourrait sauver plusieurs centaines de milliers d’enfants. Démonstration par des chiffres concrets.
Questionner l’accompagnement de la fin de la vie et non de « la fin de vie » prend toute sa place dans les débats sur le suicide assisté.
Ce poster rédigé en Facile à lire et à comprendre est à destination des personnes ayant des difficultés à lire le français et concerne la prévention des virus de l'hiver.
La durée de vie moyenne des femmes atteintes de mucoviscidose est de 49 ans, contre 56 ans pour les hommes. Pourquoi une telle différence ? La réponse pourrait se trouver du côté de l'inflammation.
En France comme ailleurs, la population vieillit. Préserver la santé mentale des seniors devient donc un défi majeur de santé publique. La méditation offre de réelles perspectives.
Ce nouveau numéro des Cahiers engagés a pour objectif de faire connaître les bénéfices et les risques associés aux usages des écrans.
À destination des jeunes de 16 à 25 ans, les 11 activités proposées permettent d'identifier des stratégies de prévention face aux cyberviolences, à la dépendance aux écrans. Ces activités questionnent également les normes et stéréotypes présents sur les réseaux sociaux et dans les jeux vidéo.
Cette synthèse du rapport sur le mal-logement en France de la Fondation Abbé-Pierre propose des contenus simplifiés et efficaces, illustrés par des graphiques. La première partie est consacrée à un état des lieux de la problématique et à un plaidoyer en faveur de plus d'action publique. La deuxième interroge la question du genre dans le mal-logement, la troisième revient sur les enjeux de 2022, et la quatrième apporte des données chiffrées.