Le projet PROSCeSS (PROmotion de la Santé dans les Clubs Sportifs) a pour objectifs de promouvoir la santé dans les clubs de sport et de les accompagner à devenir des milieux de vie promoteurs de santé.
Veille documentaire
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La jeunesse a été durement éprouvée par les deux ans de pandémie : insertion professionnelle ralentie, perte de liens sociaux dans une période de la vie où ceux-ci sont essentiels, dégradation de la santé psychique. En mars 2022, alors que le virus semble moins menaçant, mais que débute la guerre en Ukraine, le moral des 18-30 ans s’améliore. Les jeunes Français se montrent ainsi plus positifs sur leur vie actuelle et leurs perspectives. Au-delà de l’effet du retour à la vie normale, la reprise du marché du travail semble nourrir ce regain d’optimisme. Quelques stigmates de la période subsistent toutefois : des sentiments de solitude épisodiques plus fréquents et, chez les jeunes femmes, une part d’états d’esprit positifs en retrait de 6 points par rapport à la période pré-crise.
Cette étude, réalisée par l'association Qualité Mobilité pour le compte de la Fédération nationale des associations d'usagers des transports (Fnaut), analyse les facteurs déterminant l'usage des différents modes de transport dans 47 grandes villes françaises. Elle montre que si l'urbanisme conditionne largement la manière dont les habitants se déplacent, de nombreux autres facteurs complémentaires entrent en ligne de compte, d'où la nécessité de travailler sur tous les tableaux et dans la durée.
Les études épidémiologiques montrent un lien clair entre tabagisme (actif ou passif) et le risque de développer un diabète de type 2 (DT2). Le tabagisme majore la mortalité toutes causes ainsi que le risque de complications macro- et micro-angiopathiques (néphropathie chez le patient DT2, rétinopathie et neuropathie chez le diabétique de type 1), il participe au déséquilibre glycémique et favorise le diabète gestationnel. Prévenir le tabagisme chez le sujet à risque de DT2 et promouvoir le sevrage tabagique chez le patient DT2 constituent donc une priorité de santé publique selon un récent consensus d’experts publié par la Société francophone de tabacologie (SFT) et la Société francophone du diabète (SFD).
Le Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale (CNLE) s'est saisi de la question du déterminisme social et des inégalités croissantes. Un groupe de travail sur l'égalité des chances a donc été créé, et a travaillé selon quatre axes : les conditions de vie des familles, la réussite scolaire, la continuité éducative et l'égalité territoriale. 24 recommandations, co-construites avec tous les représentants des personnes concernées, émanent de cet avis. Il a donc pour but d'alerter les pouvoirs publics sur certains angles morts des politiques d'éducation, de santé et de solidarité en faveur des plus précaires.
Pour sensibiliser la communauté éducative aux phénomènes de harcèlement dans le milieu scolaire, la journée nationale de lutte contre le harcèlement est organisée chaque année au mois de novembre. Cette journée est l'occasion de rappeler combien la prévention et la lutte contre le harcèlement sont fondamentales pour permettre aux élèves d'avoir une scolarité épanouie dans le cadre de la priorité donnée au bien-être.
Que ressentent les jeunes éco-anxieux ? Comment perçoivent-ils l’aspect personnel, intime, collectif et politique de l’imminence du réchauffement climatique et de ses conséquences ? Dans une étude conduite par la Fondation Jean-Jaurès et le Forum français de la jeunesse, les auteurs dressent le portrait d’une génération qui fait face aux conséquences du dérèglement climatique en s’appuyant sur 34 entretiens menés avec des jeunes de 18 à 30 ans – dont 30 répondants particulièrement préoccupés par la perspective du dérèglement climatique.
Le programme national de lutte contre le tabac 2018-2022 se donnait pour ambition que les enfants nés depuis 2014 et qui fêteront leur majorité à partir de 2032 deviennent la première génération d’adultes non-fumeurs. Comment y parvenir ? Vaut-il mieux les encourager ou les contraindre lorsque l’on s’adresse à eux ? Sur Facebook, la distance entre eux et le relais d’un message de santé publique est-elle importante ?
L’Observatoire des inégalités a testé sur plusieurs villes auprès de centaines de jeunes de 11 à 25 ans et de professionnels de l’éducation et de l’animation un nouvel outil pédagogique : le Monopoly des inégalités. Ce jeu propose aux participant·es d’endosser la peau de personnages aux caractéristiques multiples (âge, catégorie sociale, appartenances ethno-raciales, genre, handicap) afin de « faire prendre conscience des inégalités auxquelles les jeunes peuvent être confrontés ». La phase de jeu terminée des échanges sont ensuite organisés pour revenir sur la prise de conscience et les leviers existants pour lutter contre ces mécanismes.
Les campagnes de prévention sur les dangers de la consommation d’alcool ont plus de chances d’influencer les comportements lorsqu’elles impliquent les jeunes plutôt qu’en restant dans la prescription.
Que ressentent les jeunes éco-anxieux ? Comment perçoivent-ils l’aspect personnel, intime, collectif et politique de l’imminence du réchauffement climatique et de ses conséquences ? Dans une étude conduite par la Fondation Jean-Jaurès et le Forum français de la jeunesse, les auteurs dressent le portrait d’une génération qui fait face aux conséquences du dérèglement climatique en s’appuyant sur 34 entretiens menés avec des jeunes de 18 à 30 ans – dont 30 répondants particulièrement préoccupés par la perspective du dérèglement climatique.
L’un des axes du programme scientifique de l’ODENORE, dispositif de recherche du Laboratoire « Politiques publiques, Action politique et Territoires » (PACTE), porte sur le renoncement en matière de santé. La production de connaissances sur le phénomène se fait en interaction permanente avec des acteurs du monde sanitaire et social. En 2014 par exemple, la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) du Gard et l’ODENORE ont mis au point un outil pour observer et décrypter le renoncement aux soins. Concrètement, le « Baromètre du renoncement aux soins » (BRS) consiste en une démarche d’enquête mêlant méthodes quantitative et qualitative. Sa finalité première est de donner aux organismes d’Assurance maladie (et à leurs partenaires) une idée du phénomène tel qu’il « se présente » en leur sein (voire tel qu’il prend forme chez les partenaires).